ARTICLE 19 du 22 octobre 2022 : Réflexions synthétiques autour de la conception de la Grande Pyramide de Gizeh / Première partie

RÉFLEXIONS SYNTHÉTIQUES AUTOUR DE LA CONCEPTION DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH

AVANT-PROPOS : la lecture de cet article sera plus claire pour ceux qui sont familiarisés avec les relations mathématiques et astronomiques révélées dans les articles précédents, surtout les 16 et 17, et sur Facebook. Il ne m’est pas possible de reprendre tous ces exposés dans le cadre restreint de cette communication. Vous pouvez néanmoins avoir accès à un résumé visuel à travers les illustrations ci-dessus. Celle de gauche, intitulé « le sceau de l’architecte » est suffisamment explicite pour donner un bon aperçu des découvertes ; celui de droite nécessite quelques explications facilement accessibles à partir de cette nouvelle publication. ABCD représente la base carrée de la pyramide et les cercles évoquent les projections du Soleil (S) de la Terre (T) et de la Lune (L) sur ce carré. La présentation Facebook est certainement plus aisée à parcourir car, pour avoir un œil sur le texte et l’autre sur les schémas, il suffit de double-cliquer dessus. Puis, en double-cliquant à nouveau sur la flèche de défilement latérale, vous avez aussi accès aux articles précédents. Ces derniers renvoient, pour les détails des calculs et les démonstrations, à mon livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE, (PDF en libre accès  https://vu.fr/W0PA ). Donc, si vous prenez cet article en chemin, je suis désolé de vous annoncer que vous avez deux tours de retard.
Et bon courage pour digérer ces premières conclusions que je vous propose aujourd’hui, lesquelles j’insiste, ne peuvent avoir de signification rationnelle qu’après la lecture de tout ce qui précède.

PREMIÈRE PARTIE : LES MESSAGES ESSENTIELS

Toutes les singularités que j’ai exposées dans le livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE et reprises dans les articles Facebook depuis le 27 août dernier, ainsi que dans mon blog, sont une belle démonstration du génie dont pourrait parfois faire preuve le hasard puisqu’à l’époque officielle de la Grande Pyramide de Gizeh, ses bâtisseurs présumés ne connaissaient ni π ( Pi ), ni φ ( Phi ), ni le mètre, ni la numération décimale, ni la vitesse de la lumière ( c ). Et ils ne possédaient pas les rudiments des savoirs pour faire émerger toutes ces relations mathématiques et astronomiques. Quant aux moyens techniques de construction, je n’en parle pas, pour l’instant. Il est donc temps de renier le dieu « hasard » et de revenir sur Terre tout en gardant les yeux pointés vers le ciel.
De fait, il n’aura échappé à aucun lecteur que l’ensemble des particularités rencontrées tout au long de mon étude, ne peut être mis en évidence que dans le système métrique décimal, c’est-à-dire en prenant comme unité de longueur le mètre, et la numération en base 10 pour les mesures et les opérations. Ils auront pareillement noté que tout décalage de l’édifice de quelques mètres ou que tout écart de quelques centimètres dans ses dimensions, auraient faussé une partie des calculs. Autrement dit, tout ce que j’ai pu étaler au grand jour dans mes articles et le livre, n’est valable que parce que la pyramide est située à cet endroit précis, avec ces dimensions centimétrées, voire millimétrées, et parce que les calculs ont été effectués en utilisant le mètre dans le système de numération décimale, et la seconde comme unité de temps. Dès lors, la question récurrente de savoir « comment les bâtisseurs de Khéops auraient bien pu connaître tout ça à leur époque », n’a plus de raison d’être puisque nous avons, en plus, précédemment identifié le concepteur et elle doit céder sa place à celle-ci, bien plus pertinente : « COMMENT L’UNIVERS, NOUS A-T-IL COMMUNIQUÉ, AU FIL DE NOTRE ÉVOLUTION TOUTES CES CONNAISSANCES ?» La réponse est simple : par les interactions entre l’Esprit universel et l’Esprit humain, compte tenu du fait qu’un cerveau n’a pas pour vocation de secréter la pensée, ni le moindre affect, mais seulement de réceptionner et canaliser les multiples types d’énergie et messages captés vers l’ensemble des fonctions humaines, pour le meilleur (santé, équilibre, amour, discernement, paix) ou le pire (pathologies, déséquilibres, ressentiment, confusion mentale, guerres). En général, les informations viennent d’abord solliciter les structures les plus profondes de l’inconscient, avant de se propager vers l’intellect en utilisant le canal de l’intuition. Nous sommes des récepteurs, des canaux, des émetteurs de l’Expression universelle, et notre responsabilité est d’entretenir nos fonctions afin de participer à Son Œuvre en la diffusant à notre tour, par l’exercice du potentiel que nous incarnons. À ce sujet, voici une très belle citation ATTRIBUÉE à Gaudi, l’architecte de la « Sagrada Familia », l’originale cathédrale de Barcelone, et qui était, en même temps un « initié » à certaines connaissances :
« Rien n’est inventé, parce que la nature a déjà tout écrit. L’originalité consiste toujours à revenir aux origines. Ainsi, l’originalité signifie revenir, par ses ressources, à la simplicité des premières solutions. » Antoni Gaudi (1852-1926).
J’apprécie tout particulièrement la mise en relation des mots « origine » et « origin-alité ».
De ce fait, la lumière existait bien avant nous, sa célérité ( c ) aussi, bien avant sa forme chiffrée actuelle qui date de 1983, et nous sommes allés la chercher dans le grand livre de l’Harmonie universelle. Les Égyptiens du temps de Khéops n’en étaient pas encore là, et il s’agissait pour leurs descendants d’aller dare-dare y chercher la roue pour faire avancer leurs chars. Mais, au rayon d’à côté, toujours à la portée de notre conscience et de notre libre arbitre, on trouve la vaste encyclopédie du chaos.

D’autre part, la pirouette intellectuelle que j’utilise, qui en réalité n’en est pas une, et qui consiste à introduire la notion de congruence, définie comme la particularité qu’ont deux nombres de présenter la même série de trois, quatre chiffres, ou plus, indépendamment des unités et des décimales, me permet d’avancer l’hypothèse que, en marge de l’utilisation que nous faisons des mathématiques traditionnelles, il existe une métamathématique, ou mathématiques sacrées, comme vous voudrez, qui s’exprime par l’énergie portée par les nombres. Cette énergie est aussi importante que les fonctions de dénombrement et les opérations qui nous sont familières, et que nous croyions les seules possibles. Cette logique n’est certainement pas sans rapport avec la gématrie des kabbalistes, terme issu, est-il besoin de le rappeler, du mot « géométrie ». Les numérologues avertis trouveront là, si besoin est, une justification à leurs activités.
À l’opposé, les scientifiques obstinément orientés vers les approches matérialistes traditionnelles pourraient être profondément blessés de subir de tels propos, bien sûr certainement pas autant que ceux qu’ils persécutent pour le seul crime de ne pas se soumettre à leurs points de vue, mais il faudra bien qu’ils prennent conscience, dans cette incarnation ou la future, que la réalité universelle ne peut pas se résumer à celle, réduite, à laquelle ils s’accrochent. C’est une partie des messages laissés par le Concepteur de L’Univers dans sa pyramide à travers ses particularités.
Je voudrais clarifier le sens du mot « matérialiste » utilisé au paragraphe précédent. Il n’est évidemment pas à prendre dans son acception marxiste. Ici, le matérialisme fait référence à une approche des lois de l’Univers qui s’appuie sur une matière primordiale chaotique et un jeu de « hasard et de nécessité », selon la formule popularisée par Jacques Monod et peut-être inspirée par Démocrite. Cette matière, issue d’un Big Bang inventé pour servir la cause matérialiste, s’organiserait de manière à acquérir les propriétés de la vie, pour aboutir à ces manifestations élaborées que sont tous les mécanismes de la pensée et des affects, ou sentiments. « Le cerveau secrète la pensée comme le foie secrète la bile » ont l’habitude de ressasser les scientifiques. Totalement erroné, mais certains n’en sont pas moins récompensés par un prix Nobel, canonisés de leur vivant, en quelque sorte, comme l’a été, en son temps, Jacques Monod, pendant que d’autres se voyaient rejetés jusqu’à en mourir, comme Jacques Benveniste par exemple ( souvenez-vous :« la mémoire de l’eau », recherches en collaboration avec le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel également). Puis, petit à petit, cette matière en arrive à reconstruire les lois de son univers, en fonction d’elle-même, pour elle-même, jusqu’à imaginer le concept de hasard afin d’expliquer le monde qui l’entoure et auquel elle ne peut rien comprendre. Enfin, loin de ses origines, elle termine son odyssée en prenant le pouvoir sur les êtres humains, sur toute autre approche, indépendamment de toute source, comme pourrait le faire l’inintelligence artificielle si on continuait à laisser opérer les apprentis sorciers qui l’insufflent fièrement dans leurs machines.
C’est en réalité le processus inverse qui est impliqué. C’EST DE L’ESPRIT DIVIN (OU UNIVERSEL) QUE PROCÈDE TOUT LE RESTE, dont la matière. Dès lors, l’obscurantisme scientifique se présente comme une attitude extrémiste à laquelle s’accrochent les savants matérialistes, avec le même acharnement que les fanatiques religieux à leurs dogmes, sans dénigrement, de ma part, de tous les apports de la science pour le bien-être de l’humanité, et des religions pour la cohésion des peuples, tant qu’elles vont dans ce sens, et bien que la prise de pouvoir par certaines croyances reste tout de même problématique. C’est à partir des intégrismes que ça devient très problématique. Dans le domaine scientifique, on parle alors de scientisme.
C’est aussi sur une conception matérialiste, mais éclairée, de l’Univers que s’appuient les explorations de la pyramide par les partisans d’une origine civilisationnelle ou extraterrestre. Ces approches, dites alternatives, ont permis, entre autres choses, de mettre en évidence une grande partie des mesures et des relations utilisées dans mes propres études, et d’aborder l’Histoire ancienne sous des angles différents de celui, figé, sous lequel l’appréhendent les historiens officiels. C’est finalement autant à ceux qui défendent les acquis qu’à ceux qui veulent les faire bouger que l’on doit d’avancer.
Quoi de plus pertinent pour illustrer cette collusion entre les différents courants d’idées que la conception relativiste de l’Univers et sa célèbre équation E=mc2 . Je rappelle, en simplifiant à l’extrême, que cette formule quantifie l’énergie E disponible dans une quantité de matière de masse ( m ). Il suffit alors de multiplier cette masse par le carré de la vitesse de la lumière ( c2 ) pour obtenir la quantité d’énergie retenue sous cette forme matérielle. La récupération de cette énergie, par fission nucléaire de certains atomes, peut donner ce que nous connaissons tous : une arme de destruction massive. C’est le carré de la vitesse de la lumière qui est la constante qui nous permet d’évaluer E. Dans la pyramide, c’est la dynamique de la suite des neuf chiffres exprimant ( c ) qui concourt à l’énergie totale de l’édifice (voir chapitre III). Le Démiurge a donc mis cette série au moins à deux reprises, non seulement pour attirer notre attention, mais aussi et surtout, pour harmoniser et énergiser le lieu grâce aux vibrations que produit cette suite.
Au sujet de la lumière, la contrariété des savants aux têtes bien pleines, trop pleines pour qu’il y reste de la place pour la raison, pourrait être atténuée, ou au contraire exacerbée, par la prise en compte que la matière est bien son ultime destination, au point qu’on la retrouve prisonnière dans les atomes sous la forme de sa vitesse au carré, dans la célèbre formule. Il est vrai que dans cet exemple, l’équation résulte de calculs mathématiques complexes et savants, seule approche compatible avec les croyances de ceux formés uniquement à la discipline scientifique. Albert Einstein l’a démontrée en partant de celle de l’énergie cinétique E d’un objet de masse ( m ) se déplaçant à une vitesse ( v ) ; elle est alors égale à E = 1/2 m v2. Dans cette formule, il a remplacé les expressions du temps et de la distance par les transformées de Lorentz qui prennent en compte la dilatation de la dimension temporelle et la contraction de la composante spatiale, principes de la relativité restreinte. Le développement qui mène à la formule est long et compliqué. Il aboutit, pour l’objet au repos ( v = 0 ) à la célèbre équation. La lumière joue donc bien un rôle dans la construction des atomes. « Dieu est Lumière, le Soleil est son ombre » aurait écrit Platon.
Veuillez noter que, dans mon livre et mes précédentes communications, la présence de la vitesse de la lumière dans la pyramide a également été mise en évidence, à deux reprises, dont une fois par des calculs, soit une chance sur 81 millions de milliards de trouver une telle conjoncture.
Et si elle se retrouve dans un atome sous la forme chiffrée démontrée par les mathématiques, pourquoi ne la retrouverait-on pas dans un monument, lui-même fait d’atomes ? Le grand Ordonnateur de l’Univers et le Maître d’œuvre de la pyramide ne sont-ils pas les mêmes, la même énergie ? À sa source ne retrouve-t-on pas le même principe qui insuffle son Esprit à l’Univers entier, visible et invisible ?

Je vous rappelle que vous pouvez télécharger gratuitement le livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE par ce lien :
 https://vu.fr/W0PA

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Auteur : Guy FAURE

Je pense qu’une petite présentation est quand même utile. La voici. Je suis né à Marengo en Algérie (actuellement Hadjout), le 9 février 1952 vers 12 h 40, mais j’ai vécu en France, en Avignon. J’ai subi ma scolarité au lycée Frédéric Mistral avant de jouer les prolongations dans diverses facs de l’université Aix-Marseille où je me suis familiarisé avec les mathématiques, la physique, la chimie, la psychologie et la biologie avant de me tourner vers des formations plus universelles telle que la naturopathie, l’astrologie, la kinésiologie, la PNL et les traditions ésotériques. Sans diplôme utilisable, j’ai pu rester libre et indépendant, autant que faire se peut. Mon parcours m’a amené à exercer l’activité de moniteur de plongée subaquatique au Club Med pendant plusieurs années…Mais c’est ma curiosité pour les mythologies et l’Histoire, en particulier l’Antiquité, qui a alimenté l’essentiel de ma connaissance. Je vis actuellement en Cerdagne, dans les Pyrénées orientales après être passé par les Hautes Alpes (Ceillac en Queyras), le Var (Six-Fours-les-Plages) et bien sûr des endroits où l’on peut visiter de superbes fonds sous-marins, entre 1978 et 1990 (Guadeloupe, Martinique, Mexique, Bahamas, Maldives, Tahiti, Israël...). C’est terminé pour ce synopsis qui permettra peut-être à certaines personnes perdues de vue de me retrouver.

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