Article 28 du 10 juin 2023 : fai de ben a Bertrand, te lo rendra en cagant

FAI DE BEN A BERTRAND, TE LO RENDRA EN CAGANT Proverbe en occitan provençal signifiant : « fais du bien à Bertrand, il te le rendra en caguant. »

À méditer et à partager avant les péripéties à venir et les réactions de résistance qui s’ensuivront.

Lorsque les militaires boliviens parvinrent à débusquer Ché Guevara de sa cachette grâce au renseignement d’un berger, ils demandèrent à ce dernier :

«  Pourquoi avoir dénoncé un homme qui se sacrifiait pourtant pour votre liberté et votre bien-être ?

– Je l’ai dénoncé parce que le crépitement des armes fait peur à mes animaux en pâture répondit le berger ! »

Lorsque Mohamed Karim, en l’occurrence l’égyptien qui entreprit de résister contre l’assaut d’Alexandrie lancé par Napoléon, fut arrêté par l’armée et condamné à la peine capitale, Napoléon le fit appelé et lui dit:

« J’ai de la peine à exécuter un homme qui a défendu vaillamment son pays, je ne souhaiterais pas que l’Histoire retienne de moi l’image d’une personne qui étouffe l’élan des patriotes à défendre l’intégrité de leur patrie, ainsi, je te promets la liberté si tu payes dix mille pièces d’or à titre de compensation financière à mes soldats que la résistance a tué « ,

– Je n’ai pas la totalité de la somme demandée sur moi, répondit Mohamed Karim, mais je suis redevable de plus de cent mille pièces d’or aux commerçants d’Alexandrie, ils payeront à coup sûr cette amende, afin que j’aie la vie sauve ! « 

Enchaîné, il fut conduit au marché d’Alexandrie pour le tour des comptoirs en quête de la somme dont dépendra sa liberté. Mais, à sa grande surprise, aucun commerçant ne s’apitoya sur son sort, pire, les indigènes l’accusèrent de fauteur de troubles, de destructeur de biens, et d’atteinte à la vitalité économique de la ville portuaire d’Alexandrie! « 

Napoléon, au vu du dénigrement des siens à son égard, déclara:

– Je concéderais que l’on mette la sentence de peine capitale en exécution, pas parce que tu as tué mes soldats, mais pour avoir lutté pour des personnes lâches, qui comptent plus sur leur commerce que sur leur intégrité ! « 

Mohamed Rachid Rida, réformateur arabe syrien disait: « Se révolter pour le compte d’un peuple ignorant, revient à s’immoler par le feu pour éclairer le chemin à un aveugle ! »

Lorsque Ponce Pilate laissa le sort de Jésus-Christ entre les mains du peuple, celui-ci choisit, comme un seul homme, de sauver Barabas, le bandit des grands chemins et non celui qui était venu les libérer.

Dans L’Exode », Moïse libéra son peuple du joug égyptien. Durant la traversée du désert, celui-ci se rebella en masse contre lui lorsque la nourriture commença à manquer, en arguant que lors de la captivité, au moins, ils avaient tout ce dont ils avaient besoin. (GUY FAURE)

Article 27 du 20 mai 2023 : comment et pourquoi en sommes-nous arrivés là (deuxième partie)

COMMENT ET POURQUOI EN SOMMES-NOUS ARRIVÉS LÀ ? (DEUXIÈME PARTIE)

Et voici une suite à ma publication du 13 mai dernier sur le développement des principes de propagande au cours des dernières décennies. Aujourd’hui, ce sont les outils et les armes utilisés pour ces grandes manœuvres que je vous propose. L’extrait suivant est toujours tiré du dernier livre de Laurent Gounelle, « Le Réveil ». Pour moi, les pratiques propagandistes sont omniprésentes dans les médias et il faut s’attendre à des manigances d’envergure dans un avenir très proche. Si ce texte et le précédent vous aident à y faire face, je n’aurais pas perdu mon temps. Comme pour le précédent, je fais figurer les notes personnelles utiles par (NB :…………).

Entre les deux publications, j’ai relayé, le 15 mai sur Facebook, un post estimant les « rapports de force » entre les différentes attitudes humaines en regard des multiples campagnes de propagande. Il a eu beaucoup de succès et je vous le propose de nouveau à la fin de ce texte.

« ÉMETTRE DES INJONCTIONS PARADOXALES

Une injonction paradoxale est un ordre qui induit un résultat totalement contraire à ce qu’il semble annoncer.

Exemples :

– L’ordre « sois spontané » enferme celui à qui il est destiné dans un choix impossible : s’il obéit à l’ordre en s’efforçant d’être spontané, il sera donc tout sauf spontané puisque son attitude ne sera que le résultat de son obéissance…Si, à l’inverse, il refuse d’obéir à l’ordre, alors il fera preuve d’une spontanéité…qui correspond à l’ordre qui lui était donné, faisant donc de lui un obéissant malgré lui.

– Promettre la liberté à ceux qui se soumettront. « Faites ceci et cela vous rendra libre ! » ( NB : le v—–n rend libre [dixit Gabriel Attal, alors porte-parole du gouvernement français, qui avait oublié, en cette circonstance, certains éléments de notre Histoire] ). L’ordre fait croire que la liberté s’obtient par…obéissance à cet ordre.

Effets :

L’injonction paradoxale sème inconsciemment le trouble et court-circuite le libre arbitre de l’individu, le poussant à abandonner tout jugement critique. Elle empêche le sujet de faire des choix selon son désir. Grégory Bateson et son équipe de psychologues de l’école de Palo Alto ont démontré que les injonctions paradoxales engendraient des maladies mentales telles que la schizophrénie.

CARICATURER LA POSITION DES RÉSISTANTS

Il s’agit de tourner en dérision la position des résistants afin de les décrédibiliser.

– empêcher le peuple d’écouter les propos en rendant ceux-ci totalement ridicules à ses yeux.

Exemple :

Si certains émettent des doutes sur les dangers d’une nouvelle technologie, les accuser de « vouloir retourner à l’éclairage à la bougie ».

Effet :

Permet d’éviter de devoir apporter des réponses sur le fond. Empêche tout débat.

INSTAURER DES CLIVAGES

– diviser la population en flattant les consentants qui acceptent de suivre les consignes et en désignant les résistants comme responsables de la situation.

– Imputer aux résistants la responsabilité de la perte de la liberté des consentants.

– Induire de la colère chez les consentants pour pousser la population à rejeter les résistants : ils se retrouveront naturellement conspués, exclus, marginalisés. Les mesures coercitives qui seront en fin de compte prises à leur égard seront alors applaudies par les autres.

INFANTILISER LES GENS

– s’adresser aux personnes comme à des enfants en bas âge.

– Utiliser des mots et des attitudes caractéristiques d’un parent surprotecteur.

Effets :

– Permet de désamorcer le sens critique des individus.

– Contribue à dissoudre leurs résistances.

– Pousse à l’obéissance.

CONJUGUER FLATTERIE ET CULPABILITÉ

Flatter les gens sur leur intelligence, puis leur faire croire qu’ils sont responsables de leurs problèmes et qu’il serait malvenu de ne pas mettre en œuvre la solution proposée.

Effets :

– La flatterie induit une posture d’accueil du message culpabilisant qui suit.

– Remplace l’indignation que le système pourrait susciter par une culpabilisation permanente de soi-même.

– Pousse à accepter la solution proposée.

– Complique très fortement la rébellion.

ÉTIQUETER LES RÉSISTANTS

Étiqueter les résistants en assimilant leurs réflexions à celle d’une mouvance honteuse. Exemple : complotisme (NB : ou sectarisme, populisme, radicalisme, extrémisme…le choix personnel se trouve très restreint).

Effets :

– Décrédibiliser le résistant aux yeux de la population.

– Induit en lui un sentiment de honte qui l’empêche de suivre son argumentation.

– Brouille l’écoute de la population en détournant son attention des arguments avancés.

– Évite de devoir répondre sur le fond aux objections soulevées.

– Empêche tout débat démocratique sur la question.

– Tue dans l’œuf tout début de contestation.

PRATIQUER LA GRADUALITÉ

– Introduire graduellement les mesures que les gens n’accepteraient pas si elles étaient appliquées d’un bloc.

– Le faire étape par étape en respectant un délai suffisamment long entre chacune.

Effets :

Quand le peuple s’est suffisamment habitué à la première étape de la mesure, il la trouve naturelle, et l’on peut alors passer à la deuxième, et ainsi de suite.

OBSCURCIR LES REPÉRES INFORMATIONNELS

– Supprimer les informations qui pourraient créer un système de référence authentique, et permettraient la comparaison et l’expression du sens critique.

Effets :

Ne disposant que du seul discours officiel, le peuple adhère facilement. » Laurent Gounelle, « Le Réveil », Calmann-Lévy, février 2022

L’auteur a inventorié d’autres outils que je n’ai pas reproduits, car ils sont plus du domaine de la torture individuelle. Et grand merci à lui pour ce travail de salut public ! (GUY FAURE) Bien sûr, vous pourrez retrouver ce texte sur ma page Facebook, accessible à partir de l’onglet FB de ce blog. 

Article 26 du 13 mai 2023 : comment et pourquoi en sommes-nous arrivés là ? (première partie)

COMMENT ET POURQUOI EN-SOMMES NOUS ARRIVÉS LÀ ? (PREMIÈRE PARTIE)

C’est ce que nous sommes en droit de nous demander en passant en revue les évènements de ces trois dernières années. Il me manquait quelques éléments d’histoire pour avancer un peu sur le chemin de la compréhension de péripéties, qui a priori, échappent à la raison. Afin  de vous aider à y voir plus clair, je vous propose un extrait du dernier roman de Laurent Gounelle, « Le Réveil » paru chez Calmann Lévy en Février 2022. Je n’y ai strictement rien changé excepté l’ajout de quelques notes indispensables présentées ainsi (NB : ………..) L’auteur de « Dieu voyage incognito » et du « Philosophe qui n’était pas sage » a écrit ce livre en urgence, en réaction à la « crise ». Voici le passage choisi.

Pages 27 à 36

«Tout avait commencé en 1917 aux États-Unis… La Première Guerre mondiale fait rage en Europe et le président Woodrow Wilson veut que son pays entre en guerre. Mais il se heurte à un double problème : le peuple américain y est farouchement opposé ; et lui-même s’est fait réélire l’année précédente grâce au slogan « He kept us out of war » (il nous a maintenus hors de la guerre). Il est coincé. Pour résoudre ce problème,Wilson décide alors de créer une commission baptisée « Committee on Public Information » du nom du journaliste qui l’a dirigée. Le but ? Retourner l’opinion publique en lui insufflant l’envie de cette guerre. Ses membres ? Non pas des hauts fonctionnaires de l’état, mais…des journalistes, des illustrateurs et des professionnels de l’influence. L’idée n’est pas de convaincre avec des arguments rationnels, mais d’induire des émotions chez les gens pour forger de toutes pièces l’opinion publique en la façonnant dans le sens voulu par le pouvoir. L’un de ses membres est un certain Edward Bernays, neveu de Freud, qui a repris de son oncle l’idée que les gens se croient dotés d’un esprit rationnel alors qu’en réalité ils sont soumis sans le savoir à leur inconscient. Pour Bernays, il ne sert à rien d’essayer de convaincre les gens avec des arguments ciblant leur raison : il faut faire appel à leur instinct et à leurs émotions. La commission est dotée de moyens considérables. La première idée consiste à utiliser la presse pour lui faire relayer de fausses informations porteuses d’émotions fortes afin d’induire un profond sentiment anti-allemand. La commission rédige un épais bulletin quotidien qui est envoyé chaque jour à tous les organes de presse, aux quatre coins du pays. Elle diffuse à grande échelle des histoires inventées de toutes pièces, par exemple celle de bébés belges embrochés par les Allemands sur des baïonnettes. La commission produit des films, y compris des longs-métrages. Elle crée des affiches illustrées, comme celle montrant un soldat américain arrêtant un allemand en train de terroriser une mère et son enfant. Une autre montre un affreux gorille coiffé d’un casque à pointe, portant la moustache blonde de l’empereur et armé d’un gourdin, enlevant une femme à moitié dénudée. En arrière-plan, l’Europe dévastée et la cathédrale de Reims incendiée. En énorme, le slogan « Destroy this mad brute » (détruisez cette brute enragée). Très vite, on voit naître dans la population des sentiments de colère, puis de haine des Allemands. Des orchestres se mettent à refuser de jouer de la musique de compositeurs allemands. Les artistes sont mis à contribution, invités partout dans le pays à prendre la parole pour exprimer la nécessité d’entrer en guerre. En un rien de temps, l’opinion publique est retournée et soutient à fond la guerre. Cette vaste opération est un énorme succès. La commission maintient ses actions de manipulation du peuple américain jusqu’à la fin du conflit, continuant à faire relayer par la presse de fausses informations, comme celle de bateaux escortant la 1° division en Europe qui aurait coulé plusieurs sous-marins allemands, ou encore celle d’une pléiade d’avions de combat volant vers la France alors qu’il n’en existe qu’un seul exemplaire…encore en phase de test dans son atelier : les photos diffusées dans la presse sont truquées. La commission élargit son objectif initial et cible aussi la presse étrangère pour influencer l’opinion publique internationale ; des journalistes étrangers se voient offrir de beaux voyages aux États-Unis, ce qui, comme par miracle, les motive à relayer l’information voulue. Une fois la guerre finie, la commission est dissoute. Son membre le plus influent, Edward Bernays, a alors l’idée de transposer ses techniques de propagande dans le privé pour aider de grandes entreprises à influencer le peuple. Il ne s’agit pas de faire de la publicité, mais bien de lancer des opérations de grande envergure pour modeler les esprits et induire chez les gens les comportements voulus. Il écrira plus tard : « L’étonnant succès que la commission a rencontré pendant la guerre a ouvert les yeux d’une minorité d’individus intelligents sur les possibilités de mobiliser l’opinion, pour quelque cause que ce soit. » Bernays crée une agence de Conseil en relations publiques, terme qu’il invente pour l’occasion, toujours en vogue cent ans plus tard. Les clients affluent. Bernays développe sa pratique en s’appuyant sur les sciences sociales : psychologie, psychologie sociale, sociologie, psychanalyse, sociopsychologie. Il utilise les relais d’opinion, et souvent parmi eux deux cibles de choix : les journalistes et les médecins. Pourquoi les médecins ? Parce qu’ils inspirent respect et confiance : on s’en remet à eux pour notre santé, on a donc l’habitude de suivre leurs recommandations.

Les actions que Bernays entreprend pour le compte de ses clients sont d’une efficacité redoutable. Les résultats pleuvent, les clients se multiplient, dans des domaines très variés. Christos (NB : l’un des personnages du roman de Laurent Gounelle) se souvenait encore de la campagne de manipulation menée pour un fabricant de bacon. Une campagne totalement à l’image des actions de Bernays. Le fabricant veut accroître ses ventes. Comme d’habitude, Bernays voit grand. Il a l’idée de développer pour lui l’ensemble du marché du bacon. Pour cela, il paye des médecins pour réaliser une étude qui conclut à l’utilité pour la santé d’un petit-déjeuner copieux. Il va ensuite diffuser les résultats de cette étude à plus de quatre mille médecins aux quatre coins des États-Unis en les incitant à motiver leurs patients à adopter un tel petit-déjeuner. Précisément au même moment, il inonde les médias de publicités pour le bacon. En à peine quelques années, le petit-déjeuner à base de bacon s’est imposé aux Etats-Unis, s’inscrivant durablement dans les comportements alimentaires, allant jusqu’à devenir une nouvelle tradition… Dans un autre domaine, Bernays parvient à un renversement d’opinion en réussissant à amener les femmes à fumer alors que la cigarette est vue comme une pratique machiste. Plus tard, il utilise une fois de plus les médecins, cette fois-ci pour promouvoir la marque Camel, parvenant à leur faire dire que c’est leur marque de cigarettes préférée.

Fort de ses succès auprès des entreprises privées, Edward Bernays décide de retourner mettre ses méthodes au service des pouvoirs politiques. Il est en cela cohérent avec ses valeurs puisqu’il a déclaré dans le passé : « si l’on parvenait à comprendre le mécanisme et les ressorts de la mentalité collective, ne pourrait-on pas contrôler les masses et les mobiliser à volonté sans qu’elles s’en rendent compte. Bernays pense en effet que les gens sont dans l’ensemble incapables de comprendre les affaires publiques et donc d’assumer leur rôle de citoyen : les gens sont idiots et il faut décider à leur place. Ceux qui les gouvernent doivent donc berner le peuple pour qu’il les laisse mener les affaires comme ils le souhaitent. Pour le bien de tous, naturellement. Il faut pour cela utiliser les nouvelles techniques d’influence et les médias de masse pour « cristalliser l’opinion publique » et « fabriquer le consentement », selon ses propres termes. Il écrit : « La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays.» Bernays aura rapidement l’occasion de mettre à l’œuvre ses principes. Au Guatemala, un petit pays tranquille d’Amérique latine, le président démocratiquement élu Jacobo Àrbenz Guzman met en place une forme agraire qui nuit aux intérêts d’une multinationale américaine : la United Fruit Company. Cette grande entreprise se paye alors les services de Bernays pour changer la donne. Bernays imagine un stratagème pour discréditer le président guatémaltèque aux yeux de l’opinion américaine en le faisant passer pour un communiste menaçant la sécurité des Etats-Unis. Il crée un bureau de presse soi-disant indépendant, en réalité financé par la United Fruit Company. Ce bureau communique régulièrement à la presse un flot d’informations sur le caractère prétendument communiste du Guatemala. Il offre des voyages aux journalistes pour les influencer. Ceux-ci commencent à relayer les fausses informations, qui bientôt inondent la presse. Très vite, le peuple s’émeut de cette menace qui semble grandissante. Les gens ont peur, très peur. Cela finit par pousser le gouvernement à agir. En 1953, la CIA monte une opération secrète baptisée PBSUCCESS pour renverser le président guatémaltèque. Le coup d’état réussit en juin 1954 avec l’aide d’avions de combat américains et de mercenaires formés par la CIA. On met au pouvoir un ancien général, Carlos Castillas Armas, à la tête d’une junte militaire. Des milliers de sympathisants de l’ancien président seront emprisonnés ou assassinés dans la foulée. Chomsky (NB : Noam Chomlsky est un universitaire et intellectuel auteur du livre  » La fabrique du consentement ») dira du nouveau régime en place qu’il s’agissait « d’un véritable enfer sur Terre, probablement le régime de l’époque contemporaine le plus proche de l’Allemagne nazie ». Mais la United Fruit Company récupéra des dizaines de milliers d’hectares de terres qui avaient été distribués aux paysans. Et le peuple américain fut satisfait. À partir de là, les contrats vont pleuvoir pour l’agence d’Edward Bernays. Il avait obtenu qu’un état se mette au service d’une entreprise privée, nuisant à l’intérêt d’honnêtes citoyens. Aujourd’hui, cent ans plus tard, cette pratique s’est généralisée dans la plupart des pays dits démocratiques…Les grandes multinationales, notamment américaines, parfois plus puissantes que les états, œuvrent en permanence en coulisses pour influer sur les politiques publiques afin qu’elles collent à leurs intérêts. Mais ce lobbying intense et efficace qu’elles mènent auprès des élus ne leur suffit pas : elles vont plus loin en façonnant directement l’opinion publique afin que les élus n’aient plus qu’à suivre la volonté apparente du peuple, volonté induite à son insu. En 1923, Bernays publie un livre pour relater ses exploits en matière d’influence de la population, sans doute dans le but d’élargir encore sa clientèle : Crystallizing Publi Opinion. Il est fier d’y détailler ses techniques. Dix ans plus tard, Karl von Wiegand, journaliste américain d’origine allemande basé en Allemagne, trouve ce livre dans la bibliothèque de Joseph Goebbels. Goebbels…ce proche d’Hitler, surnommé « le nain venimeux», considéré comme expert en lavage de cerveau. Ministre de la Propagande de 1933 à 1945, il réussit à manipuler l’opinion publique allemande pour inculquer la haine des juifs à une population pourtant éduquée, rendant possible l’avènement de la barbarie au sein d’une société moderne.

Quand on s’y prend bien, en jouant sur les émotions, on peut faire croire aux gens n’importe quoi, y compris des horreurs même aux plus intelligents et cultivés d’entre eux. »

(…)

page 56

« Bernays est mort en 1995, mais ses techniques de propagande lui ont survécu. Elles sont même enseignées depuis longtemps dans les grandes universités américaines où étudient les futurs dirigeants de multinationales, mais aussi dans les écoles d’études politiques où l’on forme les futurs élus, un peu partout dans le monde. Après quoi les sociétés de conseil américaines qui sévissent dans la plupart des pays prennent le relais afin de conseiller les grands patrons, mais aussi les chefs d’état et leurs ministres, sur l’art de manipuler la population (NB : il semble que les journalistes n’aient pas l’habitude d’intégrer ces écoles). Les conseils ne sont jamais neutres parce que ces cabinets ne le sont pas : tous sont américains et tous tirent d’abord leurs subsides des multinationales américaines, auxquelles ils sont donc intimement attachés. Ces firmes exercent elles-mêmes un lobbying intense, auquel elles consacrent des budgets considérables, pour obtenir des gouvernements des décisions en leur faveur. » Laurent Gounelle, Le Réveil, Calmann Levy, février 2022).

Et voilà !

Je ne savais pas que Sigmund Freud avait un neveu qui s’appelait Edward Bernays. Cette grosse lacune est maintenant comblée. La semaine prochaine, je vous proposerai, du même auteur, un inventaire des outils de manipulation des masses utilisés pour la mise en pratique des principes de propagande illustrés dans le texte présenté aujourd’hui. (GUY FAURE)

Vous pourrez retrouver ce texte et bien d’autres sur ma page Facebook, accessible par l’onglet FB ci-dessus.

Article 25 du 17 mars 2023 : tout est écrit quelque part (troisième volet)

TOUT EST ÉCRIT QUELQUE PART (TROISIÈME VOLET)

TROISIÈME VOLET : ENTRÉE DE PLUTON EN VERSEAU

Après les deux premières parties des 24 février (TOUT EST NOMBRE) et 11 mars (LA PROPHÉTIE DES PAPES), voici une piste astrologique à l’occasion de l’entrée de la pseudo-planète Pluton en Verseau, ce jeudi 23 mars 2023. Ce transit durera jusqu’à l’entrée en Poissons, le 19 janvier 2044. Par le jeu apparent des rétrogradations, Pluton retournera en Capricorne le 11 juin 2023 où elle séjournera pendant quelques mois avant de redevenir directe et de retrouver le Verseau entre les 21 janvier et 02 septembre 2024 ; puis, après un bref retour en Capricorne, elle s’installera durablement en Verseau où elle restera du 19 novembre 2024 au 09 mars 2043.

Les mots-clés de Pluton sont renouveau, mourir et renaître, métamorphose, transformation radicale. Quant au Verseau, il évoque entre autres, l’indépendance, la fraternité, la nouveauté et la liberté. À quoi donc pouvons-nous nous attendre de la part de ce transit qui me semble capital pour l’Humanité ? À de gros bouleversements, c’est sûr. En remontant dans le temps, on note que la dernière période où Pluton a transité le Verseau s’est étendue entre avril 1777 et décembre 1798, intervalle correspondant à la Révolution Française de 1789 et aux changements qu’elle a entraînés : abolition des privilèges (plus ou moins appliquée), Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (toujours sous certaines conditions non déclarées), la création d’un livret ouvrier obligatoire (pour mieux contrôler la société). En ce qui nous concerne, ce livret pourrait trouver son pendant dans le renforcement d’un contrôle social par le développement d’une identité numérique, si nous laissons faire. À côté de tout cela, il ne faut pas oublier qu’à partir de 1793, la Terreur a régné en France, initiée par la violence de Pluton et la folie des nouveaux dirigeants. En Amérique, cette période correspond à la guerre d’indépendance contre l’occupation anglaise, la conquête de cette indépendance et la signature de la Constitution de 1787. Puis, se succédèrent au moins trois présidents acceptables et dignes : Georges Washington, John Adams et Thomas Jefferson. En Russie, Catherine II a annexé la Crimée (tiens donc ! ) au détriment de l’Empire ottoman, et fondé la ville d’Odessa dans l’Ukraine actuelle. Et pendant ce temps, en Asie, les Chinois vivaient leur âge d’or. D’autres évènements nous reviennent, tels que la découverte de l’homéopathie par Samuel Hahnemann, et la même année (1796), Edward Jenner inoculait, pour la première fois dans l’Histoire, des vésicules de vaccine à un jeune garçon, avancée sanitaire intéressante, mais qui a complètement dérapé par la suite. En 1793, les frères Montgolfier envoyaient, pour la première fois, un certain Jean-François Pilâtre de Rozier dans les airs et dix ans plus tôt, le premier bateau à vapeur avait largué ses amarres (1783).

Comme nous pouvons le constater, le passage de Pluton dans le Verseau s’est accompagné d’un grand nombre de transformations majeures dans différents domaines. Il va nécessairement en être de même dans celui qui se présente. Mais dans quels sens : Liberté ou soumission ? Humanisme ou transhumanisme ? Au rayon des sciences et des techniques, le seul véritable progrès à espérer est celui d’une utilisation raisonnée de tout ce que nous avons à notre disposition. Du côté purement humain, c’est l’émancipation des consciences que nous sommes en droit d’attendre, au lieu de l’assujettissement généralisé préparé depuis longtemps par certains et consenti par la majorité silencieuse. Dans l’aspiration à une véritable évolution, nous devons nous rappeler que l’aide de l’Univers est très active par l’immersion dans la ceinture de photons émanant de la constellation des Pléiades, et que nous sommes juste au milieu du grand cycle de précession des équinoxes, commencé voici environ 12 500 ans. Ce cycle se terminera dans quelque 12 500 ans, lorsque le Grand Sphinx de Gizeh pointera de nouveau dans la constellation du Lion. Le milieu de ce cycle est notre présent, augmenté du proche futur. Il correspond précisément à l’entrée dans l’ère du Verseau, selon le bon vouloir du Créateur de l’Univers. Le PLAN est bien là et il se concrétisera, « quoi qu’il en coûte ». Les forces obscures vont nécessairement être dissoutes dans ce festival d’énergies cosmiques.

Ces derniers points ont été largement traités tout au cours de mes précédentes publications. Y revenir dans le cadre restreint de cet article ne serait pas hors sujet, mais très long. Pour plus de précisions, je vous renvoie à mon livre « KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE » (téléchargeable gratuitement par le lien  https://vu.fr/W0PA ) , et aux articles Facebook. Tout est également accessible à partir de ce blog.

D’autre part, il est bon de savoir que Pluton est le nom latin de Hadès, le dieu des enfers grecs et qu’il a donné son nom à l’élément plutonium, dont un isotopes constitue l’un des deux combustibles utilisés dans les réacteurs nucléaires ; l’autre étant l’uranium, dont la dénomination vient d’Uranus. Nous pouvons considérer que ces deux planètes sont celles de l’énergie nucléaire, même si cette attribution va étonner ou agacer beaucoup de monde. Mais ceux qui me suivent un peu savent parfaitement qu’il n’y a pas de hasard dans l’Univers. Uranus se trouve actuellement dans le signe du Taureau, soit un signe en quadrature (ou carré) avec celui du Verseau dans lequel Pluton se prépare à entrer, dans six jours, le jeudi 23 mars. Veuillez bien noter que ce ne sont pas les deux planètes qui formeront cette quadrature ; ce sont les signes dans lesquels elles se trouveront qui sont naturellement dans cette configuration. Un carré est un aspect de tension entre les énergies de l’Univers que signes et planètes relayent à destination de notre planète. En faisant un petit retour dans un passé récent, nous constatons qu’un tel aspect s’est manifesté voici une douzaine d’années. Pluton était alors en plein Capricorne et Uranus dans le Bélier, deux signes en carré engendrant également des tensions entre les planètes qui s’y trouvent. Les explosions des réacteurs de Fukushima ont commencé à se produire le 13 mars 2011, autrement dit le jour même de l’entrée d’Uranus en Bélier. Je dois ajouter que l’uranium et le plutonium sont aussi les éléments qui entrent en fission dans les bombes A, et dans le premier étage des bombes à hydrogène (bombes H). Tout est donc en place pour que les jours prochains soient cruciaux pour l’Histoire de l’Humanité et déterminent l’orientation des mois et années à venir. Lorsque Pluton s’installera dans le Verseau, à partir du 19 novembre 2024, et ce pour une longue période (environ 20 ans), Uranus aura bien avancé vers la fin du Taureau et la tension sera moins forte entre les énergies Verseau/Pluton d’une part, et Taureau/Uranus d’autre part. Uranus quittera son signe actuel le 27 avril 2026 et continuera sa course dans les Gémeaux, signe qui sera en trigone (aspect très favorable) avec le Verseau. Ouf !

Il est très important de préciser que, dans les mois et les années à venir, les autres astres présenteront, d’une manière générale, mais variablement, des configurations qui favoriseront le passage vers d’autres valeurs plus conformes aux lois de l’Univers. Elles auront, dans l’ensemble, des effets facilitateurs et modérateurs. Je pense particulièrement à Neptune et Saturne en Poissons. Mais il ne faut pas oublier que la valse des planètes dans les signes du Zodiaque ne fait que fournir les énergies utiles à notre évolution, et ne scelle rien. L’avenir nous appartient. Clairement, Pluton en Verseau devrait sonner le glas de toute forme de dictature, en premier lieu, celle de l’argent . Dans l’intervalle de temps où je rédige cet article, il semble que ça ne va pas très fort de ce côté-là, et il est peut-être l’heure d’aller vider nos comptes en banque, dont, je le rappelle, nous ne sommes que les titulaires et non les propriétaires. Cette démarche pourrait nous permettre de devancer le PLAN des gouvernements et le contrarier, conformément à la célèbre proposition formulée par l’ex-footballeur Éric Canton, il y a de cela quelques années. En route pour un banque run (ruée bancaire) à la française ; les autres pays suivront. Personnellement, je n’attends pas d’être le dernier pour le faire. Ce qui est de bon augure, c’est que la première banque américaine à être tombée est la SVB, la banque californienne de la Silicone Valley, lieu où, depuis des décennies, l’avenir technologique de la planète est cogité. Un symbole lourd de sens.(GUY FAURE).

ANDROMAQUE : Cela ne te fatigue pas de ne prévoir que l’effroyable. CASSANDRE : Je ne vois rien, Andromaque. Je ne prévois rien. Je tiens seulement compte de deux bêtises, celle des hommes et celle des éléments. [Jean Giraudoux, « La guerre de Troie n’aura pas lieu », acte1, scène1]

NB1 : selon certaines informations fiables, la guerre de Troie a finalement eu lieu.

NB2 : Cassandre est un personnage de la Mythologie grecque auquel les dieux avaient donné le don de comprendre une situation présente afin de pouvoir prédire la suite. Ce don était assorti des particularités qu’elle aurait presque toujours raison, mais qu’elle ne serait jamais écoutée. Une complotiste en quelque sorte.

NB3 : « la bêtise des éléments » mentionnée par Cassandre serait à remplacer par « l’incompréhension des lois de l’Univers. »

Suggestions de lectures complémentaires accessibles à partir de ce blog

TOUT EST ÉCRIT QUELQUE PART : onglet « autres publications » ; puis « prédictions » ; puis article 22 ( « tout est nombre ») et article 24 (« la prophétie des papes »).

CEINTURE DE PHOTONS : onglet « autres publications ; puis « changements climatiques » ; puis article 4 et article 6

PRÉCESSION DES ÉQUINOXES : onglet « livre » ; puis « PDF » ou « version papier »

MYSTÈRES DE GIZEH, PYRAMIDE DE KHÉOPS, SPHINX : onglet « pyramide de Kheops » ; puis articles 13, 14, 15, 16, 17, 19, 20, 21 et 23.

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Article 24 du 11 mars 2023 : tout est écrit quelque part (deuxième volet)

TOUT EST ÉCRIT QUELQUE PART ( DEUXIÈME VOLET )

Cette publication fait suite au premier volet paru le 24 février dernier (article 22) avec comme sous-titre « TOUT EST  NOMBRE».

DEUXIÈME VOLET : LA PROPHÉTIE DES PAPES

Ces prédictions sont également connues sous le nom de « Prophétie de Saint Malachie », du nom d’un évêque irlandais ayant vécu au XII° siècle, et qui en serait l’auteur, mais qui selon toute vraisemblance, n’y est pour rien dans cette affaire.
Les historiens, officiels ou non, font remonter la première publication de cette prophétie à 1595, après que le texte a été découvert ou rédigé à partir de 1585 par un moine bénédictin du nom de Arnold de Wion. Certains exégètes attribuent sa rédaction à un certain Michel de Notre-dame, c’est-à-dire Nostradamus lui-même. Celui-ci étant décédé en 1555, soit quarante ans seulement avant la première publication du texte, il est naturel qu’il tienne la corde. En fait, peu importe l’auteur puisqu’une version existe depuis près de 450 ans et qu’on en dénombre plusieurs exemplaires dont un à la bibliothèque de Lyon et un autre au Vatican. C’est son contenu qui retient l’attention.
Il est formé de 111 devises de quelques mots, correspondant chacune à un pape ayant régné depuis 1143, soit à partir de Célestin II. Si l’on considère les souverains pontifes depuis la première maxime, alors, la 111° correspond précisément à Benoît XVI, récemment décédé après avoir démissionné de ses fonctions en 2013. À la suite de la devise le concernant, apparaît la prophétie proprement dite ; la voici dans sa traduction du latin, et avec des mots appartenant au langage eschatologique du catholicisme. Elle nous amène au pontificat de François.

« Dans la dernière persécution de la sainte Église romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations.
Celles-ci terminées, la cité aux sept collines (=Rome) sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. »

Pierre le Romain est la traduction de Petrus Romanus. Où est donc passé François dans cette prédiction ? Nous pouvons apporter une réponse en se rappelant que « papas » (pape) est le surnom familier qui était donné, dès le début du christianisme, à l’évêque de Rome, puis officiellement, à tous les futurs papes à partir du huitième siècle. Pour l’Église, le premier pape fut Pierre. François se rappelait peut-être tout cela en déclarant, dès son intronisation : « Je suis l’évêque de Rome ».
Je passe sur les 111 maximes dont la plupart sont en relation avec les armoiries de chacun, sa mission ou son origine, le plus souvent dûment constatées par des historiens officiels. Elles sont faciles à trouver sur Internet, et d’une manière générale, celles concernant les papes ayant régné avant 1595 sont plus conformes à des éléments de réalité que les plus tardives, en vertu du principe qu’il est plus aisé de retrouver le passé que le futur. Je n’en ai retenu qu’une, celle qui correspond à Sixte V. Celui-ci est monté sur le trône en 1585, année où Arnold de Wion aurait pu découvrir le texte complet, ou en commencer la rédaction. Voici, en latin, cette devise : « Axis in meditate signi » qui peut se traduire par « l’axe du milieu du signe. »(anciennement, signe = prophétie). Il nous reste à examiner si Sixte V pourrait être celui qui se trouve à égale distance temporelle entre Célestin II, intronisé en 1143 et la réalisation de la prophétie. Le décompte des années écoulées depuis Célestin II donne 442 ans. Si nous ajoutons ce nombre d’années à 1585, nous tombons sur 2027. Il resterait donc trois ans au pape actuel, si son Dieu lui prête vie, avant « la destruction de Rome » . Quant aux « tribulations », annoncées par Saint Malachie, Arnold de Wion, Nostradamus ou Sixte V lui-même, il faut être sourd et aveugle pour ne pas comprendre que nous les vivons pleinement dans le présent.

La position de la papauté sur ce document, dont elle n’ignore pas l’existence, est floue, comme souvent, et variable aussi. La non-reconnaissance de son origine et de sa finalité est normale, car les responsables de l’Église ne peuvent évidemment pas valider une prophétie annonçant sa propre fin. Cependant, différents éléments indiquent que le pape François ait été instruit de sa mission. En effet, sa première sortie du Vatican, après son intronisation, a été d’aller se recueillir dans une petite chapelle sur le tombeau de…Sixte V, le pape du milieu du signe. De plus, lors de sa première apparition publique (ou deuxième, je ne sais plus) , il a demandé à ses fidèles de « prier pour lui » (sic), requête qui a paru bien énigmatique à l’époque.
Quoi qu’il en soit, François s’est lui-même disqualifié en tant que représentant de Dieu sur Terre en déclarant, au beau milieu de la « crise » sanitaire mondiale, que « se faire v – – – – – – r est un acte d’amour » (re-sic), en oubliant qu’un acte d’amour non consenti qualifie précisément l’acte de viol. Lorsque la Vérité éclatera, François devra donc expliquer à ses fidèles cette prise de position, et nous notifier de qui, exactement, il est le porte-parole.
La fin de Rome est en fait tout simplement la fin de la papauté, sans préjudice pour la ville aux sept collines, bien que je n’en sois pas du tout convaincu. Je dirais même plus : je n’en suis pas du tout convaincu, puisque, bien que le mot final appartienne au Créateur de l’Univers, une bonne partie de l’avenir reste liée à l’évolution des consciences individuelles ; et sur ce point, les signes sont rares.
Pas de fin du monde, bien évidemment, mais transition vers d’autres paradigmes à la suite des évènements complètement abracadabrantesques que nous vivons depuis quelques années.(GUY FAURE).
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Article 23 du 04 mars 2023 : du nouveau du côté de Gizeh

DU NOUVEAU DU CÔTÉ DE GIZEH

C’est évidemment la découverte récente d’un couloir de neuf mètres de long sur trois de large, caractéristique des chambres de décharge, fréquentes dans la Grande Pyramide de Gizeh. Ces constructions protègent d’une trop grosse pression les pièces se trouvant juste en dessous. Il y donc très certainement une chambre à la verticale et il m’est immédiatement venu à l’esprit que l’on va y trouver la momie du pharaon Khéops. Voici ce que j’écrivais, à ce sujet, dans mon livre « Khéops : le sceau de l’architecte » paru en décembre 2019 :

Page 92 : « eEt je peux avancer que le passage du patriarche, père fondateur des trois grandes religions monothéistes, a commencé à sonner le glas du rôle sacré de la pyramide. Elleaurait pu alors être réemployée par Khéops qui, l’ayant trouvée à son goût, l’aurait réquisitionnée pour en faire son tombeau personnel. Il n’est par suite pas tout à fait exclu d’y découvrir un jour sa momie, pour peu qu’il ait repéré un accès à une chambre secrète, dans laquelle elle reposerait donc depuis 4 500 ans. À partir de Khéops, l’édifice allait être absorbé par l’urbanisation galopante, pour être récupéré 45 siècles plus tard par des égyptologues, alors qu’il n’entre pas du tout dans le domaine de l’archéo-égyptologie. »

Il reste à prendre connaissance de l’interprétation que feront les scientifiques de cette découverte, quand elle aura lieu et si momie il y a. En effet, bien que Khéops ne soit en aucune façon le concepteur de l’édifice, un collège d’« experts », Zahi Hawass en tête pourraient considérer la présence de cette momie comme la preuve irréfutable du contraire. Le livre précité démontre que c’est bien le Créateur de l’Univers qui est l’architecte et j’attribue au pharaon et à ses ouvriers un rôle secondaire dans l’histoire de la pyramide. Je vous renvoie à mes publications Facebook depuis le 27 août 2022 et à mon blog, pour en découvrir beaucoup plus. Voici ce que j’ajoutais un peu plus loin :

Page 97 : « Entièrement revêtue de son parement de calcaire blanc, à l’exception de l’entrée et des deux conduits d’aération, elle a été mise en veille à l’époque de Khéops, après l’initiation d’Abraham. »

Et pour finir :

Page 98 : « Khéops semble donc bien avoir joué un rôle important dans l’histoire de la pyramide, mais pas celui que certains lui attribuent habituellement, et les papyrus découverts fort opportunément voilà six ans au Ouadi el-Jarf, soit quelques années après les ruines sous-marines de Thönis, sont là pour en apporter une preuve. À l’époque de Khéops, ces petits travaux d’obturation étaient tout à fait réalisables et n’avaient rien de pharaoniques. »

Vous pouvez retrouver ces points de vue en téléchargeant gratuitement le PDF de mon livre par le lien suivant  https://vu.fr/W0PA , ou en vous procurant le livre broché par celui-ci:  https://vu.fr/WHok Pour terminer, voici l’intégralité des pages 92 à 99 qui servent de cadre aux trois extraits retranscrits plus haut. Je dois avertir que ceux qui ne se sont pas familiarisés avec mon livre ou qui ne connaissent pas grand-chose à cette pyramide, pourraient être un peu déconcertés.

Pages 92 à 99 : « l’entonnoir que forment les deux diagonales, prolongées jusqu’au littoral, canalise les énergies du delta du Nil et de la Méditerranée en direction de l’édifice. Le pivot central qui fait office de fondations s’enfonce dans la Terre avec pour fonction de ramener les énergies telluriques vers l’intérieur du monument. Le centre de la pyramide, à partir duquel les terres ont été réparties, est le point d’équilibre de ces terres, comme l’est tout centre de gravité d’un système donné. Enfin, l’élan vers le ciel permis par la forme pyramidale et le pyramidion aujourd’hui disparu, permettait de capter les énergies cosmiques, diffusées ensuite vers tout le reste.

Équilibre, harmonie, convergence d’énergies vibratoires, telluriques et cosmiques destinaient la pyramide à une autre fonction importante : celle d’un lieu initiatique dans lequel les forces matérielles et spirituelles travaillaient en synergie.

Cette nouvelle fonctionnalité nous permet de comprendre en partie la vocation de certains éléments de la structure interne de l’édifice. La pièce appelée « chambre de la reine » a longtemps été le lieu sacré dans lequel le candidat était initié aux mystères mineurs, tandis que la chambre dite « du roi » était réservée aux mystères majeurs. Le futur initié séjournait alors trois jours, allongé dans le coffre faussement rebaptisé « sarcophage », pour y vivre l’expérience d’une petite mort. Ce sont les trois jours qui sont nécessaires à l’âme d’un défunt pour quitter son corps terrestre. Au cours de cette épreuve, il devait respirer, comme tout être vivant, et ceci était rendu possible par les deux conduits d’aération se trouvant dans la pièce, système de ventilation qui aurait mis à mal la conservation d’une éventuelle momie…On peut penser qu’Abraham, après son départ de Ur et son passage en pays de Canaan ( Palestine), se soit rendu sur le plateau de Gizeh, à la demande de Dieu, y suivre l’initiation dont il aurait besoin pour préparer sa mission future, la fondation du monothéisme (note1 en bas d’article). Et je peux avancer que le passage du patriarche, père fondateur des trois grandes religions monothéistes, a commencé à sonner le glas du rôle sacré de la pyramide. Elle aurait pu alors être réemployée par Khéops qui, l’ayant trouvée à son goût, l’aurait réquisitionnée pour en faire son tombeau personnel. Il n’est par suite pas tout à fait exclu d’y découvrir un jour sa momie, pour peu qu’il ait repéré un accès à une chambre secrète, dans laquelle elle reposerait donc depuis 4 500 ans. À partir de Khéops, l’édifice allait être absorbé par l’urbanisation galopante, pour être récupéré 45 siècles plus tard par des égyptologues, alors qu’il n’entre pas du tout dans le domaine de l’archéo-égyptologie. Et comme ce champ d’investigations n’est pas le mien, j’estime pertinent de ne pas m’aventurer plus loin dans cette voie. Puissent certains faire la même démarche et s’occuper uniquement de la discipline pour laquelle la faculté les a formatés ; ou alors changer de format, se mettre à l’écoute des autres et utiliser leur propre faculté de discernement, afin d’apporter un peu d’eau claire au moulin de leur savoir.

Il est intéressant de noter que, selon certains chercheurs, les quatre conduits des deux fausses chambres du roi et de la reine pointaient vers les étoiles d’où étaient originaires les dieux venus superviser l’éveil des premiers humains (note2 en bas d’article) Dans la pièce de la reine, les deux conduits ne donnent pas à l’extérieur, car sa situation dans l’édifice permettait une ventilation suffisante pour de brefs passages. Dans les premiers temps, ces quatre conduits canalisaient les vibrations en provenance des étoiles concernées. L’obstruction des deux canaux de la chambre de la reine ne gênait aucunement le passage de ces vibrations, qui ont le pouvoir de traverser les murs avec plus d’aisance que les muons ayant permis aux opérateurs de la mission « ScanPyramids » de détecter la grande cavité.

Je continue cette petite visite guidée. Plus près des entrailles de la Terre, la partie souterraine figurait le lieu dans lequel séjournent les âmes des morts, les « Enfers » des Grecs ou le Purgatoire de la religion catholique, avant de remonter vers les sphères célestes régénératrices, peut-être symbolisées par la grande cavité récemment détectée par la mission susnommée, pour finalement revenir sur Terre, dans un autre corps physique afin de poursuivre le cycle des réincarnations. La grande galerie figurait la montée vers l’initiation supérieure. En revanche, je n’arrive pas à discerner de structures symbolisant des lieux de damnation ou de félicité éternelle…

Quant au « puits de service » qui mène du bas de la grande galerie au bas du couloir descendant, il servait à activer l’aération vers la partie souterraine de l’édifice, les Enfers (note3 en bas d’article), passage logique et naturel après la mort, avant le retour sur Terre.

Abordée par le biais de ces fonctions qui ne devraient pas complètement surprendre les égyptologues, la grande pyramide apparaît donc un peu comme le modèle des futures écoles des mystères égyptiennes et grecques et des temples de certaines de nos sociétés secrètes modernes…

Il est temps de revenir sur les documents du Ouadi el-Jarf que j’ai déjà mentionnés au chapitre I. Pour les situer dans leur contexte historique, je rappelle que ces fragments de papyrus, datant du règne de Khéops, ont été découverts par une équipe d’archéologues en 2013. Ils ont été récemment déchiffrés par l’égyptologue français Pierre Tallet et concernent le journal d’un fonctionnaire nommé Merer. Celui-ci y relate des livraisons de pierres en provenance de Tourah et à destination de la pyramide de Gizeh, et rien de plus. Ce décryptage a été interprété par des égyptologues peu respectueux du travail de Pierre Tallet. Ils l’ont transformé en preuve que la pyramide a bien été construite par Khéops. Ces papyrus ont même été l’objet d’un documentaire de 1 h 30 diffusé par une chaîne française (France 5) avec pour titre « le papyrus oublié de la grande pyramide  », dans le cadre de sa série « Science, grand format ». Je vous encourage vivement à visionner ce film car il constitue un modèle rare de mauvaise foi et de tromperie, avec en plus d’une interprétation fallacieuse, la reconstitution, très laborieuse, des travaux. Cette restitution saute des étapes, utilise un bloc de calcaire de dimensions réduites, une grue (?), des burins, des pioches et des marteaux en acier, outillage totalement inexistant à l’époque à laquelle ce simulacre de démonstration est censé se rapporter. À voir absolument, toutes affaires cessantes. Le film « la révélation des pyramides » de Jacques Grimault et Patrice Pouillard , à voir également, mais pour de tout autres raisons, a été critiqué à cause de deux ou trois détails tout à fait secondaires.

Après la rédaction du dernier paragraphe, j’ai eu l’idée de visionner une seconde fois le documentaire de la « Cinq » afin d’étudier de plus près certains détails. Tandis que le film se déroulait, un doute a commencé à s’installer sur les véritables intentions des auteurs de ce documentaire. Il est tellement mal fait pour les objectifs annoncés que j’en suis arrivé à me demander si leur but n’était pas justement de démontrer, par l’absurde, que l’édification d’un tel monument à l’époque de Khéops, était tout simplement impossible au regard des moyens techniques alors disponibles. Seuls eux, pourront apporter une réponse définitive. Cette façon de communiquer des éléments de vérité, sans attirer les foudres des pouvoirs en place, est une pratique courante. C’est comme cela qu’a procédé un certain Nicolas Machiavel, à la Renaissance italienne, pour informer le peuple des dérives de ces pouvoirs, au motif de la raison d’état.

Les déplacements de pierres mentionnés par Merer concernaient bien des matériaux en provenance des carrières de Tourah vers Gizeh. Elles étaient en fait destinées à obstruer l’entrée originale de la pyramide située quelques mètres au-dessus de la percée pratiquée au IXe siècle après Jésus-Christ par le calife Al Mamoun, et devenue depuis l’accès officiel de l’édifice. Ici, on peut s’étonner que les historiens ne se soient pas demandé pourquoi l’explorateur arabe a creusé à cet endroit, alors qu’il aurait suffi de lever les yeux pour apercevoir l’entrée prévue par le concepteur. Il ne l’a pas vue parce qu’elle n’était plus visible, masquée depuis plus de trois mille ans par les ouvriers de Khéops. Dès lors, on comprend toute l’histoire.

Construite par les dieux bien avant l’arrivée des pharaons des premières dynasties, à une époque que l’on tentera d’évaluer au chapitre suivant, la pyramide a rempli les premières fonctions pour lesquelles elle avait été édifiée. Entièrement revêtue de son parement de calcaire blanc, à l’exception de l’entrée et des deux conduits d’aération, elle a été mise en veille à l’époque de Khéops, après l’initiation d’Abraham. Les herses de granite ont alors été abaissées pour condamner la pièce réservée aux initiations majeures, un bouchon est venu barrer l’accès à celle des mystères mineurs, les arrivées d’air ont été obstruées, l’entrée principale masquée.

Lorsque Hérodote a visité la région au Ve siècle avant Jésus-Christ, il a trouvé devant lui une pyramide hermétiquement close et ne pouvant, par conséquent, pas servir à autre chose que de résidence éternelle à une momie, selon les dires des prêtres égyptiens rapportés par l’explorateur grec. Le monument est resté pratiquement en l’état jusqu’au IXe siècle et l’arrivée d’Al Mamoun.

C’est plus tard, au cours du XIVesiècle qu’elle a perdu son parement lors d’un violent tremblement de terre et suite au pillage de ses pierres, celles-ci ayant été récupérées pour la reconstruction de la ville du Caire. La Belle, ainsi dénudée a commencé à nous dévoiler les détails de son anatomie et ses divines proportions. Et petit à petit, tout ce qui était particulièrement destiné à notre civilisation.

Khéops semble donc bien avoir joué un rôle important dans l’histoire de la pyramide, mais pas celui que certains lui attribuent habituellement, et les papyrus découverts fort opportunément voilà six ans au Ouadi el-Jarf, soit quelques années après les ruines sous-marines de Thönis, sont là pour en apporter une preuve. À l’époque de Khéops, ces petits travaux d’obturation étaient tout à fait réalisables et n’avaient rien de pharaoniques. Dieu n’a peut-être même pas eu besoin d’intervenir, pas plus que les extraterrestres. »

Note1 : Cette hypothèse contredit les dates avancées par les exégètes de la Bible qui situent la naissance d’Abraham quelques siècles plus tard, vers 2000/1800 avant Jésus-Christ, cette estimation étant elle-même très controversée.

Note2 : Voir les contributions de Robert Bauval et Graham Hancock.

Note3 : Les Enfers grecs, ou Hadès, sont à distinguer de l’Enfer des religions monothéistes. Des premiers, on revient ; dans le second, on est censé y séjourner pour l’éternité, pas moins.

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ARTICLE 22 du 24 février 2023 : tout est écrit quelque part (premier volet)

TOUT EST ÉCRIT QUELQUE PART (PREMIER VOLET)

«TOUT EST NOMBRE»

C’est à Pythagore, c’est-à-dire celui qui a été annoncé par la Pythie (l’oracle de Delphes) que l’on attribue habituellement ce postulat. Je n’y connais rien à la numérologie, mais je m’y risque malgré tout. C’est un droit qui découle des résultats d’ordre numérologique obtenus après plusieurs années passées à étudier la Grande Pyramide de Gizeh sur le plan métrique. Vous pourrez trouver ces recherches dans mes précédentes publications depuis le 27 août 2022. J’en étais arrivé à la conclusion que : « En marge de l’utilisation que nous faisons des mathématiques traditionnelles, il existe une métamathématique, ou mathématiques sacrées, comme vous voudrez, qui s’exprime par l’énergie portée par les nombres. Cette énergie est aussi importante que le dénombrement et les opérations qui nous sont familières, et que nous croyions les seules possibles. Cette logique n’est certainement pas sans rapport avec la gématrie des kabbalistes, terme issu, est-il besoin de le rappeler, du mot « géométrie ». Et la gématrie nous conduit directement à la numérologie.. ». (dernier paragraphe, page 87 de mon livre « Kheops : le sceau de l’architecte » téléchargeable librement par le lien  https://vu.fr/W0PA ). C’est la mise en évidence de la vitesse de la lumière, à deux reprises, qui m’avait amené à cette conclusion (voir mes précédentes communications sur ce sujet).

En vous soumettant les données qui suivent, je reste donc parfaitement cohérent avec ces conclusions ; c’est même un devoir de le faire, après avoir mûrement réfléchi.

DATE DU DÉBUT DE LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE : 28 JUILLET 1914 soit : 28+07+19+14 = 68

DATE DU DÉBUT DE LA DEUXIÈME GUERRE MONDIALE : 01 SEPTEMBRE 1939 soit : 01+09+19+39 = 68

DATE DE L’INVASION DE L’UKRAINE PAR LA RUSSIE : 24 FÉVRIER 2022 soit : 24+02+20+22 = 68

Nous retrouvons à chaque fois le nombre 68 ! L’Histoire enseignera-t-elle aux descendants des survivants que le 24 février 2022 a été la date du début de la troisième guerre mondiale ? Les grands évènements mondiaux obéissent-ils à des lois universelles régies par les nombres ? Ma réponse à ces deux questions est OUI ! Il y a bel et bien des forces occultes qui échappent à la cognition des humains, en tout premier lieu à ceux, pauvres pantins sans conscience, qui pensent connaître la situation et pouvoir la maîtriser. À titre d’illustration, je publie de nouveau le texte de l’écrivain russe Léon Tolstoï dans lequel il donne son opinion, que je partage pleinement, sur les causes des guerres (« La guerre et la paix », éditions Points du 16 septembre 2010, pages 1051 à 1053).

« Le cheval attaché à la roue mobile d’une batteuse s’imagine qu’il est totalement libre, allant à son gré en partant du pied gauche ou du pied droit, levant ou baissant la tête, qu’il avance parce qu’il a envie de s’élever : c’était exactement ce que pensaient tous ces personnages innombrables qui participaient à cette guerre (note de Guy Faure : il s’agit ici de l’invasion de la Russie par les armées napoléoniennes en 1812), qui avaient peur, se vantaient, s’enflammaient, s’indignaient en s’imaginant qu’ils savaient ce qu’ils faisaient, mais tous n’étaient que des chevaux marchant à pas cadencé sur l’immense roue de l’histoire, effectuant une tâche qui leur était dissimulée mais qui nous est compréhensible. Tel est le destin immuable de tous les hommes d’action qui agissent concrètement, et plus ils se situent haut dans la hiérarchie humaine, moins ils sont libres, plus ils sont hauts, plus ils sont liés, plus libre est la roue, plus le cheval va vite et moins il est libre. Il suffit de poser le pied sur cette roue pour qu’il n’y ait plus de liberté, plus d’action compréhensible, et plus la roue tourne, plus elle est rapide, moins il y a de liberté jusqu’à ce qu’on abandonne. Seuls Newton, Socrate ou Homère agissent de façon consciente et autonome, seuls ces hommes possèdent le libre arbitre que, contre toutes les démonstrations relatives aux nerfs, démontre ma main que je viens de lever et d’abaisser. » […] « La source principale des erreurs que commettent les hommes réside dans cette façon de rechercher et de déterminer les causes des phénomènes de la vie humaine, de ces phénomènes organiques vitaux qui découlent de la combinaison d’une quantité innombrable de nécessités. Voltaire a dit, je crois, que la nuit de la Saint Barthélémy n’aurait pas eu lieu si le roi n’avait pas été constipé. C’est aussi juste que de dire que si les troubles qui précédèrent la nuit de la Saint Barthélémy n’avaient pas existé, le ventre du roi aurait fonctionné plus correctement. C’est aussi juste que de dire que la cause de la nuit de la Saint Barthélémy fut le fanatisme du Moyen Âge, les intrigues des catholiques, etc., etc., ce sur quoi on peut s’informer dans tous les ouvrages historiques. La nuit de la Saint Barthélémy représente l’un de ces phénomènes de la vie qui s’accomplissent inéluctablement selon des lois de toute éternité spécifiques à l’humanité : tuer dans son milieu un nombre excessif d’individus et faire coïncider ses passions avec ce meurtre. »

L’ensemble de ce post ne va certainement pas faire plaisir aux scientifiques ni aux spécialistes en stratégie militaire ou géopolitique, pas plus qu’à ceux qui sont persuadés que Poutine, russe lui aussi, est l’un des sauveurs de l’Humanité, ou qui prennent Zelenski pour un héros moderne. Ce qui est certain, c’est que le premier vient perturber les projets de certaines instances dirigeantes.

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ARTICLE 21 du 18 février 2023 : réflexions synthétiques autour de la conception de la Grande Pyramide de Gizeh (troisième partie)

RÉFLEXIONS SYNTHÉTIQUES AUTOUR DE LA CONCEPTION DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH / TROISIÈME PARTIE

AVANT-PROPOS : la lecture de cet article sera plus intelligible à ceux qui ont parcouru les publications parues depuis le 27 août dernier, toutes consultables sur ce blog ainsi que sur ma page Facebook. Sans la connaissance de ce qui précède, les lecteurs non préparés risquent de se retrouver déboussolés. Les deux premières parties de ces réflexions synthétiques concernaient les messages essentiels et les mystères de la construction. Je précise que l’avant-dernière publication remonte au 11 novembre 2022. Sur ce blog, j’ai regroupé tout ce qui se rapporte à la pyramide dans l’onglet « pyramide de Khéops » sous lequel les articles apparaissent par ordre chronologique.

TROISIÈME PARTIE : UNE ESTIMATION DE L’ÂGE DE LA PYRAMIDE

Pour cette détermination, nous avons à notre disposition plusieurs approches possibles dont j’ai posé les jalons tout au long des communications précédentes. Auparavant, je ne m’étais pas exprimé sur l’époque de construction car il m’aurait fallu un espace suffisant pour le faire. Et puis, je suis persuadé que, pour la majorité d’entre vous, un certain Polichinelle s’est chargé de révéler le mystère bien avant moi. Le postulat, point de départ de toutes les démarches proposées, est que le Créateur de l’Univers a travaillé avec un souci de précision et d’harmonisation dont lui seul est pourvu. Je propose donc des accès à l’âge de la pyramide sans avoir la certitude de toutes ses intentions. Ces pistes pourraient s’avérer fausses. Il n’est pas très facile pour un humain d’essayer de comprendre la volonté de notre Démiurge ; la réciproque n’étant pas vraie, bien évidemment. Tout d’abord, en nous référant au souci d’exactitude de l’Architecte, identifié sans équivoque depuis longtemps, l’étude topographique des fonds sous-marins, le long de la côte égyptienne, pourrait nous fournir des indications sur l’époque où le Pôle Sud, le centre de la pyramide, les milieux des côtés de la base carrée, le point le plus septentrional du littoral méditerranéen et le pôle Nord étaient aussi parfaitement alignés que possible, tout en tenant compte du déplacement de la plaque africaine sur laquelle repose la pyramide. Cet alignement devrait coïncider avec une symétrie parfaite de la côte égyptienne de part et d’autre de l’axe nord-sud. Je n’ai évidemment pas les capacités requises pour m’être lancé dans de telles explorations, et je ne suis pas certain que tout ceci soit un jour réalisable. Et est-ce vraiment utile ?

Une deuxième façon d’évaluer l’âge du monument serait de remonter à la date où la projection de son centre sur le rayon polaire coupait ce rayon exactement en son milieu, et non avec un écart de 10,659 km comme je l’ai établi dans une publication précédente. Ici aussi, il faudrait prendre en compte, non seulement le déplacement apparent de la pyramide, mais également les mouvements de l’axe de rotation de la Terre sur elle-même. Là encore, je me suis abstenu d’aller plus loin.

La troisième procédure ressortant de mon étude consisterait à repérer à quelles dates les positions corrélées de la Terre, du Soleil et de la Lune présentaient la configuration, peu fréquente, d’un périhélie de notre planète, d’un apogée de son satellite et d’une éclipse solaire totale. Cette recherche nous donnerait un panel de dates possibles puisque nous avons établi que la hauteur de la pyramide est congruente avec la distance Lune-Soleil, dans cette configuration seulement. L’Ordonnateur de l’Univers y aurait intégré la pyramide à un moment où elle s’est produite, conformément aux principes d’harmonie universelle à la base de toute la Création.

Naturellement, toutes ces méthodes proposées aux experts en géodésie, cartographie et astronomie prérequièrent a minima l’idée de la possibilité d’un ordre divin pour qu’ils daignent consacrer un peu de temps à ce genre de recherches. Ils se heurteront, de toute façon, à l’écueil du déplacement, en direction du nord-est, de la plaque africaine dont la vitesse approchée de 2,15 cm par an, donnée par les géodésiens, n’est ni précise ni constante dans le temps. Toutefois, quelles que soient les procédures utilisées, elles devraient toutes converger vers une dizaine de milliers d’années avant Jésus-Christ. C’est l’âge auquel sont arrivés les deux chercheurs indépendants, Robert Bauval et Graham Hancock, en utilisant un logiciel d’astronomie. Ils ont repéré le moment où la disposition des trois grandes pyramides de Gizeh, faussement attribuées à Khéops, Khéphren et Mykérinos, présentait une corrélation avec celle des trois étoiles du baudrier de la constellation d’Orion, dont ils avaient remarqué auparavant une nette similitude de graphisme (photo de droite ci-dessous). Le logiciel fait remonter cette corrélation, selon ces deux chercheurs, à 12 500 ans. Le positionnement des pyramides par rapport au Nil correspondait alors exactement à celui des trois étoiles du baudrier d’Orion avec la voie lactée. De ce constat, Bauval et Hancock ont déduit une théorie sur les dieux égyptiens très intéressante et à laquelle je vous renvoie, car elle semble s’accorder parfaitement avec la mythologie égyptienne, et bien que je n’y comprenne pas grand-chose…Depuis ces investigations, un autre chercheur, Mathieu Laveau, semble être arrivé à des résultats plus précis. Quant à moi…je me contente de transmettre leurs conclusions. À cette époque, le grand Sphinx qui complète cet énigmatique site de Gizeh, fixait la constellation du Lion de ses yeux qui, logiquement, devaient être ceux d’un lion, avec un corps de lion, à tel point que certains n’hésitent pas à appeler cette constellation, la constellation du Sphinx (figure de gauche). De nos jours, son corps nous apparaît comme difforme, suite aux nombreux rafistolages auxquels il a été soumis au cours du temps ; de nos jours, son visage, devenu celui d’un être humain décrépi, pointe vers la fin de la constellation des Poissons, à la porte de celle du Verseau, qui est aussi le nom de l’ère dans laquelle l’Humanité se prépare à entrer, l’ère de l’homme accompli, celui ayant réalisé l’équilibre entre la matière et l’Esprit. C’est le mouvement cyclique connu sous le nom de « précession des équinoxes » qui permet ce prodige. La corrélation entre les graphismes du baudrier d’Orion et les trois pyramides pourraient d’ailleurs être incluse, pour sa partie cosmique, dans ce que j’ai appelé précédemment LE SCEAU DE L’ARCHITECTE.. Le Créateur, pour nous montrer l’ampleur de son savoir-faire, a donc laissé son empreinte bien au-delà des monuments, du delta du Nil et de la Terre. Nous pouvons observer la même configuration, entre autres lieux, au Mexique, sur le site de Teotihuacán où les pyramides du Soleil, de la Terre et de la Lune présentent la même disposition que les trois étoiles du Baudrier d’Orion. 12 000 à 12 500 ans semble bien être l’âge de l’ensemble des quatre éléments majeurs du site de Gizeh. Si nous accordons quelque attention à l’érosion du Sphinx, nous sommes amenés à conclure, avec les géologues, que seules des eaux de pluie ont pu l’éroder de cette façon. Et il ne pleut plus guère dans cette région depuis au moins 8 000 ans. Il se pourrait néanmoins que toutes ces réalisations soient postérieures à 12 000 ans, et dans ce cas, elles auraient été édifiées pour nous rappeler des évènements ayant trait à cette époque plus reculée. Personnellement, je ne crois pas du tout à cette postériorité, pour des raisons d’harmonie temporelle, mais je la mentionne tout de même.

Il ne nous reste plus qu’à essayer de repérer ce qu’il a bien pu se passer de remarquable à l’entrée dans l’ère du Lion, pour que le Créateur de l’Univers ait manifesté le besoin de nous le rappeler, à une période du futur où ce serait vraiment la dernière de nos préoccupations, c’est-à-dire maintenant. L’inventaire des évènements s’avère plutôt impressionnant. Tout d’abord, la climatologie nous renseigne sur un réchauffement climatique mondial d’environ 4° Celsius qui s’est étalé sur une quarantaine d’années, autour de 11 680 ans (la période diffère légèrement d’une source à l’autre, mais peu importe), et apparemment sans gaz à effet de serre…Les climatologues situent ces changements climatiques à la fin du Dryas récent et les incluent dans la période qui a suivi la glaciation de Würm, alors qu’il s’agissait d’un phénomène cyclique de nature bien différente : le passage à travers la ceinture de photons émanant de la constellation des Pléiades. Les hauts responsables de la NASA nous fourniront les détails de ce processus dans un avenir très proche, lorsque les conclusions du GIEC auront été dépoussiérées de leurs erreurs et mystifications. Le GIEC est l’instance internationale chargée d’étudier les causes des changements climatiques, et en premier lieu du réchauffement global. Son décret principal a été d’attribuer cette cause à des gaz à effet de serre, non concernés, ou alors pour une toute petite part, pas plus que les cycles solaires ou ceux de Milankovitch. Ce réchauffement a bien sûr entraîné la fonte de glaciers et par conséquent une importante montée des eaux faisant penser à un effet progressif de déluge… Par ricochet, on enregistre la disparition lente ou soudaine de certaines espèces animales telles que les mammouths, les rhinocéros laineux, les tigres à dents de sabre et les chevaux d’Amérique. Pour beaucoup de paléontologues, l’une des causes de ces disparitions serait la surconsommation de viandes animales par les êtres anthropomorphes qui vivaient jadis sur Terre ! Pour tous les scientifiques, ces entités, un peu hâtivement qualifiées d’ « hommes » préhistoriques, sont passées de l’âge de la pierre taillée (paléolithique) à celui de la pierre polie (néolithique), montrant dans ce changement une poussée d’intelligence aussi spontanée qu’inattendue. Cette accélération cognitive et la disparition soudaine de certaines espèces animales montrent qu’il s’agit d’un processus qui implique d’autres paramètres, avec d’autres conséquences que celle mesurée par le thermomètre. En outre, le philosophe grec Platon a situé l’engloutissement de l’Atlantide à un peu plus de 9 000 ans avant la rédaction du Timée et du Critias, dialogues où il en est fait mention et datant de 360 avant Jésus-Christ, ce qui nous fait une durée totale de plus de 11400 ans. Et bien sûr, il y a eu la construction des pyramides de Gizeh et la sculpture du Sphinx puis, presque simultanément, l’édification d’énigmatiques complexes un peu partout dans le monde. Toutes ces constructions, aussi mystérieuses que gigantesques, étaient destinées aux toutes premières « civilisations » post-diluviennes, en voie d’incarnation et donc hors du champ d’investigation des historiens et de bien d’autres. Puis, ces monuments ont été délaissés avant d’être réemployés par d’autres, puis à nouveau abandonnés avant d’être in fine récupérés par le tourisme et les archéologues modernes, qui essaient obstinément de les incorporer à l’Histoire telle qu’ils la conçoivent. Peu après tous ces évènements, notre Démiurge, Déméter, Dieu, ou tout autre, au choix du lecteur, nous ont fait le don de l’agriculture et de l’élevage, car il fallait entretenir ces corps physiques faits de chair. Ces acquis nous ont permis de nous regrouper en civilisations bien implantées dans la matière, tandis que les entités « préhistoriques », mangeuses de mammouths et précitées, disparaissaient petit à petit, comme précédemment leurs homologues néandertaliens, rayés des recensements démographiques. depuis longtemps.

Nous savons à peu près tout cela maintenant. Le site de Gizeh aurait donc aussi une fonction de message laissé aux hommes par leur Créateur afin de se rappeler à leur souvenir et surtout de les informer sur l’imminence de grands changements, retour inattendu de ce qu’il s’est passé voici plus de 12 000 ans. Du fond des âges, l’Univers nous adresse un «  coucou ! Je suis là, je vous aime, j’ai besoin de tout le monde et ne vous abandonnerai jamais! » Si un tel rappel est bien une réalité, c’est que nous avons les moyens de rester maîtres de notre destin et que nous bénéficierons pour cela d’un soutien intégral de tout l’Univers, dans le respect du libre arbitre, principal moteur de notre évolution spirituelle, l’Amour en étant le carburant. Mais ça, presque tout le monde le sait. Notre Démiurge estime peut-être que nous avons suffisamment évolué pour nous affranchir des guerres, épidémies, génocides, famines et autres mécanismes de régulation. Nous avons, à notre niveau d’évolution, par le jeu du libre arbitre et de la fraternité, les moyens de nous autoréguler, en pleine conscience, sans le recours aux « plaies » habituelles. Le message communiqué est donc un message d’optimisme, en plus d’un message d’amour. Il s’adresse plus spécialement à ceux qui, au cours de leur évolution, de vie en vie, auraient mésusé du libre arbitre, délaissé ou persécuté leurs frères humains, et omis d’utiliser leur intellect dans sa fonction première de discernement. Les autres n’ont pas besoin de cette démonstration, car ils retrouvent les lois de l’Univers partout : dans une fleur, dans les lois biologiques, dans la musique, dans la religion ou, comme le grand mathématicien suisse Euler…dans les formules de mathématiques. Notre Créateur sait tout cela puisque c’est son plan pour l’Humanité et qu’il était prévu, après la sortie de l’époque éthérée de l’Atlantide, une « immersion » dans les profondeurs de la matière de son Univers. Il s’agit maintenant de  « refaire surface », avec tout le potentiel développé au cours des 12 500 ans écoulés et parachever ce grand cycle de précession des équinoxes, lorsque le Sphinx regardera à nouveau dans la constellation du Lion, dans 12 500 ans environ. Son visage aura alors retrouvé un aspect plus resplendissant et lumineux, un peu comme le portrait de Dorian Gray dans le livre éponyme d’Oscar Wilde. Il aura, à cette occasion, retrouvé son nez, dans le sens de flair (intuition). Observées sous cet angle, les douze constellations du Zodiaque forment une matrice qui façonne notre évolution. Une nouvelle phase évolutive débutera alors.

Pour l’heure, il n’y a rien à ajouter à ce synopsis, sauf à réécrire toute notre Histoire, celles des religions, de la Préhistoire, à proposer aux scientifiques éclairés une réorientation vers l’Esprit, à inviter les responsables religieux à assumer leurs responsabilités, à exhorter les êtres humains à arrêter de se faire administrer n’importe quoi dans leur corps, même en échange du droit de s’offrir quelques distractions innocentes ; et à ne jamais se laisser implanter quoi que ce soit sous la peau (la marque de la bête…). Il me reste à informer les peuples qu’ils n’ont rien à attendre des politiques actuellement en usage, sinon leur propre perte par le capitalisme et son rejeton diabolique qu’est le libéralisme économique. Ces deux modes de fonctionnement sont totalement incompatibles avec toute politique d’adaptation aux changements climatiques, mais pas avec un projet de sélection sociale concocté par une « élite » autoproclamée et…. LARGEMENT CONSENTI par les autres, il faut bien le souligner. À ce sujet, au seizième siècle, Étienne de La Boétie écrivait déjà, dans son « Discours de la servitude volontaire »  :  « Il n’est pas croyable comme le peuple, dès lors qu’il est assujetti, tombe si soudain en un tel et si profond oubli de la franchise (=liberté), qu’il n’est pas possible qu’il se réveille pour la ravoir, servant si franchement et tant volontiers qu’on dirait, à le voir, qu’il a non pas perdu sa liberté, mais gagné sa servitude. » . Ou encore : « Soyez résolu de ne servir plus, et vous serez libres. » Et je me permets de confirmer que ce ne sont ni les seringues ni le travail, basé sur la rentabilité et la compétition, qui rendront cette liberté accessible. Je précise que j’ai bien écrit « ADAPTATION » aux changements climatiques » et non pas  « lutte contre le réchauffement planétaire » puisqu’il s’agit d’un phénomène tout à fait naturel auquel nous sommes invités à nous adapter, en toute liberté, bien sûr.

C’est donc un vaste programme qui nous attend. Et pour peu que nous commencions à apprendre progressivement à nous abstenir de nous prosterner devant des icônes, des symboles religieux, des gourous, dans des directions et des postures imposées, avec des vêtements réglementaires et en psalmodiant des textes stéréotypés, alors le canal de l’intuition s’ouvrira et les dialogues avec le Démiurge largement laïcisé se rétabliront. Et pour peu que la tolérance vis-à-vis de ceux qui tiennent à leurs croyances passées soit observée, alors, tout est possible. Ce n’est pas tant la vision que nous avons de l’univers qui est importante que la relation que nous pouvons nouer avec les autres par ces liens universels que sont l’amour et ses composantes : la fraternité, l’amitié, la convivialité, le partage, le respect, la tolérance, toutes ces dispositions de l’Esprit humain indispensables au développement d’une spiritualité laïque, c’est-à-dire indépendante de toute religion passée, présente ou à venir.

ARTICLE 20 du 11 novembre 2022 : réflexions synthétiques autour de la conception de la Grande Pyramide de Gizeh / Deuxième partie

RÉFLEXIONS SYNTHÉTIQUES AUTOUR DE LA CONCEPTION DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH / DEUXIÈME PARTIE

AVANT-PROPOS : la lecture de cet article sera plus accessible à ceux qui ont parcouru les publications parues depuis le 27 août dernier, toutes consultables sur ma page Facebook et ce blog ; ou lu mon livre KHÉOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE ( en téléchargement libre par le lien :  https://vu.fr/W0PA ). Sans la connaissance de ce qui précède, les lecteurs non préparés risquent de se retrouver déboussolés, avec la configuration du « cheveu sur la soupe » . Ce qui arrive vient en toute logique après ce qui précède et il ne m’est pas possible de reprendre tous les développements dans le cadre restreint de cette communication. Afin d’illustrer cet article, j’ai choisi la photo remaniée qui met en évidence la concordance entre les neuf chiffres de la vitesse de la lumière et ceux d’un parallèle qui traverse la pyramide à la latitude s’exprimant avec ces mêmes neuf chiffres, en COORDONNÉES DÉCIMALES (et non sexagésimales, comme c’est le cas pour les GPS ou les encyclopédies). Le centre de la pyramide se trouve légèrement plus au sud. C’est le parallèle que j’ai pris l’habitude d’appeler le parallèle-lumière car j’ai de bonnes raisons de penser que son étude approfondie pourrait nous éclairer sur pas mal de mystères persistants. Affaire à suivre. Veuillez noter que, sur ce schéma, le parallèle-lumière est placé très approximativement.

DEUXIÈME PARTIE : LES MYSTÈRES DE LA CONSTRUCTION RÉVÉLÉS

Après les résultats partagés sur plusieurs communications, il me faut à présent, sans plus tarder, traiter de la question des moyens techniques utilisés pour la construction proprement dite. Je me verrai contraint de déborder par quelques parenthèses indispensables. Ces digressions meubleront un peu mon texte car du côté du savoir-faire déployé pour l’édification de la pyramide, ce sera vite réglé tellement c’est simple ; et désolé pour les amateurs de difficultés et de complexités. Les techniques utilisées coulent de la source divine qui a été identifiée tout au long de mes derniers articles, et cette genèse n’est pas totalement incompatible avec les déclarations des scientifiques. Ceux-ci reconnaissent en effet qu’ils ne peuvent comprendre et étudier que 5 % du fonctionnement de l’Univers, et que les 95 % restants leur échappent, rapprochant ainsi, inconsciemment, leur incompréhension des lois de l’Univers de la méconnaissance qu’ils ont de son Créateur. Ils n’acceptent pas l’idée que ces 95 % d’inconnu ne sont que la manifestation de l’action de Dieu. Ils lui ont donné des noms derrière lesquels il est pratique de se retrancher : matière noire, énergie noire, antimatière, trous noirs, boson de Higgs ( la fameuse bien nommée «  particule de Dieu »), et bien évidemment le hasard, dieu de rien du tout, mais à l’origine de tout pour une grande majorité d’entre eux. Ils n’acceptent pas d’autres conceptions parce qu’ils n’ont pas besoin d’un Créateur, l’ayant, pensent-ils, avantageusement remplacé par leurs découvertes, qui ne sont en réalité que des révélations. En fait, ils se trompent sur leur estimation de 5 % car c’est l’intelligence de leur univers qui est elle-même erronée. Il faudrait en premier lieu remettre en ordre ces 5 % avant de se lancer dans les 95 % à redécouvrir. Les moyens techniques utilisés sont donc tout simplement la mise en œuvre, dans la matière, de la volonté divine, celle également déployée pour le ciselage du delta du Nil et de tout le reste de la Terre et de l’Univers. Tout ceci a été traité dans mes précédentes publications.

Avant de développer un peu, je dois ouvrir une première parenthèse importante sur la terminologie utilisée dans cet exposé. Il s’agit d’un problème de vocabulaire que je n’ai, à ce jour, pas résolu. Mais rien ne m’empêche de faire savoir où j’en suis. En effet, j’ai utilisé des mots tels que Dieu, « divin », « Créateur », à plusieurs reprises, sans préciser davantage à quel concept je me référais ni à quel dieu je faisais allusion. Dieu est en fait le mot qui s’impose, avec ses dérivés, dans notre civilisation occidentale aux origines judéo-chrétiennes, gréco-romaines et, qu’on le veuille ou non, arabo-musulmanes. C’est le mot employé par les croyants comme par les déistes et les athées, dès qu’on en arrive à la création de l’Univers et à la formulation de ses lois. C’est le nom que j’ai utilisé spontanément et je ne voudrais pas qu’il soit perçu comme un « gros mot ». Mais de qui s’agit-il ? De l’un des « Dieu » des trois religions monothéistes ? Des dieux et déesses des polythéismes de l’Antiquité ? Du Principe créateur issu de certaines philosophies ? Du Démiurge de Platon ? Du Grand Architecte des sociétés secrètes ? À vrai dire, la question est importante, mais les réponses n’ont pas beaucoup d’intérêt en dehors de celui qui se la pose. Pour ma part, et pour l’instant, la dénomination « Créateur de l’Univers » me semble la mieux adaptée, la plus neutre, la plus large en sens profond ; il y a aussi des noms possibles comme « Esprit universel », « l’Univers », « Démiurge », afin d’éviter les répétitions. Pour me positionner sur ce sujet, je dirais, puisque je me sens contraint de le faire, que c’est la conscience de sa propre place dans l’Univers qui doit apporter à chacun la réponse, et non les dogmes d’autorités autoproclamées, quels que soient leurs titres et les droits que ces pouvoirs s’arrogent pour légitimer leurs compétences dans ce domaine. Le vocable de Dieu est tout simplement celui qui s’impose traditionnellement, comme le plus général. Certains adhérents aux monothéismes, c’est-à-dire aux doctrines d’un Dieu unique pour seul interlocuteur de leur conscience, oublient un peu les hiérarchies célestes, ses « lieutenants » (anges, archanges…) mentionnés dans les textes sacrés de leur religion. Par ailleurs, dans le passé, nous avons côtoyé les dieux et les déesses sans trop nous soucier du principe créateur qui est à leur origine. Au lecteur de faire son choix. Chacun de nous est un « prêtre » libre et laïc qui officie, à sa façon, dans le Temple terrestre, avec le potentiel développé d’incarnation en incarnation. Et le Dieu de l’Univers est forcément laïc, lui aussi, et n’a pas de religion, bien qu’il en approvisionne régulièrement l’Humanité, au fur et à mesure des besoins. De mon point de vue, les religions, qui divisent si insidieusement les êtres humains, doivent se transformer en une religion qui reliera les hommes par les seuls liens de la fraternité et du partage des ressources offertes par notre planète, sans aucune référence à des valeurs d’origine douteuse qui altèrent leurs relations. Les religions codifiées ont eu un rôle à jouer dans notre Histoire tant qu’elles ont permis à des communautés de se former et à leurs membres, de rester à peu près unis. Elles deviennent par la suite des «  chemins de perdition » sur lesquels il est aisé de s’égarer. Par exemple, l’Église catholique, dominante en Occident, a permis de canaliser les peuples « barbares » en provenance de tout le reste de l’Europe et d’Asie centrale. Et si, ni la Renaissance, ni la Réforme, ni les Lumières et la Franc-maçonnerie, ni la Rose-Croix, ni le matérialisme n’ont pu en venir à bout, c’est qu’elle a pu avoir et a encore quelque utilité ; mais jusqu’à quand ? Ainsi, une religion peut progressivement devenir un boulet. Dieu, dieux, déesses, anges, archanges, esprits de la nature, Grand Architecte, Démiurge sont des mots qui font écho au contexte socioculturel et à la conscience de chacun. Personnellement, je peux résumer ma position en une seule phrase, à connotation très familière : « j’en ai rien à cirer ». Tout au plus, je me dois de mentionner une certaine sympathie pour Éros et Dionysos, mais plutôt pour convenances personnelles, sans oublier Prométhée bien sûr ! Et bien que les textes sacrés n’abordent pas leur(s) Dieu(x) sous l’angle que j’ai choisi pour m’exprimer, parmi tous les messages qu’ils nous ont laissés par les voix de leurs prophètes, on peut s’interroger sur le sens donné à certains propos, par exemple cet intéressant extrait d’Isaïe XIX, 19 et 20 : « Ce jour-là, il y aura un autel dédié à l’Éternel au milieu du pays d’Égypte, et près de la frontière un monument dressé à l’Éternel sur la frontière. Ce sera un signe et un témoin de Yahvé au pays d’Égypte. Quand ils crieront vers l’Éternel par crainte des oppresseurs, il leur enverra un Sauveur et un défenseur pour les délivrer ». Cependant, la compréhension que j’ai des lois me dicte de préciser que ce Sauveur attendu se trouve à l’intérieur de Soi ; c’est bien l’une des spécificités dans lesquelles réside un fort contraste entre les besoins de l’évolution spirituelle de notre époque et ceux des temps bibliques.

Après cette longue digression, je reviens à l’objet de cet article : les méthodes de construction de la Grande Pyramide de Gizeh. Comme déjà mentionné, les moyens techniques utilisés sont la mise en œuvre, dans la matière, de la volonté divine. Ainsi, la découpe des roches a été réalisée par des rayons inconnus, émanations de ce vouloir divin pour Sa création, et inaccessibles à notre entendement ; et leurs déplacements, par des forces antigravitationnelles, toujours niées par la science. Ce n’est pas plus compliqué que ça, bien que totalement inacceptable pour les adeptes de la tradition matérialiste de l’Univers. Concrètement, si vous aviez été spectateur du chantier, vous auriez assisté à une animation ressemblant à ce que vous pouvez observer sur un site moderne, mais sans les grues, les camions et les hommes outillés qui s’affairent. Vous auriez été surpris de voir la colline-fondation se démonter toute seule, des blocs de granite et de calcaire se détacher des carrières d’Assouan et de Tourah. Vous les auriez vus se déplacer dans les airs ou le long du Nil, et finir par s’assembler sur le plateau de Gizeh. C’est la réalité dans sa plus simple expression. Ce qui est difficile, voire impossible pour un très grand nombre, c’est bien de remettre en question ce que l’on croie savoir sur ce sujet. Les croyances sont le plus grand obstacle à l’émergence de la vérité sur les chemins de la connaissance et de l’évolution personnelle, et ceux qui sont concernées ne le savent pas. Lorsqu’une personne prend conscience qu’une croyance limite son Être, elle peut alors faire un travail sur elle-même. Cette prise de conscience s’effectue en général à la suite d’un évènement de grande ampleur, très perturbateur la plupart du temps. Le doute s’installe alors sur une ou plusieurs croyances et leur victime inconsciente peut entreprendre consciemment ce travail de renaissance, avec l’aide éventuelle d’un praticien formé aux techniques comportementales adaptées, à condition que cette aide soit demandée. Et là, le danger, plus sournois encore que les croyances elles-mêmes, est d’être récupéré par un guide aux intentions douteuses…Actuellement, les croyances qui affirment sans partage la primauté de la matière sur l’Esprit sont certainement les plus récalcitrantes à être remises en balance, beaucoup plus que celles liées à la politique ou à la religion. Les réactions s’apparentent à des dénis de réalité dont l’exemple le plus flagrant est le rejet systématique des évidences mathématiques révélées par la Grande Pyramide de Gizeh. Cependant, dans cette conjoncture, il n’y a pas de mise en danger de la survie de l’Humanité, ce qui est loin d’être le cas pour d’autres certitudes, notamment celles autour de la santé. Ceci est une autre histoire, mais je vous laisse imaginer les conséquences si, dans ce domaine, les experts se trompaient avec autant d’éloquence que les spécialistes qui étudient les monuments anciens ! Cet aparté sur les croyances étant terminé, je reviens à la construction de la Pyramide. Tout ce que j’expose n’est évidemment pas consigné dans les papyrus, car à l’époque de ces travaux, beaucoup plus reculée qu’on ne le croit habituellement, l’écriture n’existait pas. Ces évènements avaient été oubliés lorsque les hiéroglyphes ont commencé à parler. Malgré ça, des égyptologues n’hésitent pas, à l’occasion, à mettre en relation certains documents tardifs tels que les fragments de papyrus du Ouadi el-Jarf, avec la construction de la pyramide, ceci afin de donner un peu de poids à leur théorie sépulcrale. Il sera intéressant d’étudier, plus tard, les enseignements historiques que l’on peut déduire de ces documents, s’ils s’avèrent authentiques, et je reviendrai ultérieurement sur cette confusion des époques concernant la construction de la pyramide.

C’est maintenant l’opportunité d’apporter quelques éclaircissements, sans toutefois s’éterniser, sur d’autres mystères qui risqueraient de rester dans cette situation aussi longtemps que leur approche sera la même. Je fais allusion bien sûr aux autres constructions d’Égypte et d’ailleurs, dont les conceptions sont également d’origine divine, liens entre le « Ciel » et la Terre, donnés aux hommes s’éveillant à leur propre conscience humaine. Il en va ainsi de bien d’autres grands édifices d’Égypte, des pyramides d’Amérique comme celles de Teotihuacán (découverte par les Aztèques), de Chichén Itza et Tikal chez les Mayas ou encore de la première version du Machu Picchu au pays des Incas, du site de Göbekli Tepe en Turquie actuelle, des structures de Stonehenge, et de bien d’autres monuments cyclopéens. Quant aux réalisations non foncièrement architecturales, elles sont les résultats d’épreuves initiatiques auxquelles ont été soumis, plus tard, les futurs prêtres destinés à des fonctions sacrées. Ces candidats à l’initiation devaient réaliser, sous la direction des dieux ou des hiérophantes, des ouvrages de matière comme les Moaï de l’île de Pâques, les agencements de blocs monolithiques ( Carnac ), les sphères de pierre du Costa Rica, etc. Pour les lignes de Nazca et de Palpa, c’est autre chose sans lien toutefois avec des extraterrestres. Les géoglyphes de Nazca et de Palpa semblent être la somme des connaissances, en mathématiques et en astronomie, auxquelles étaient arrivés ces peuples. Les dessins zoomorphiques sont plutôt des messages envoyés aux dieux, en vain, à une époque où leurs civilisations commençaient à montrer des signes de déclin, comme toujours. Les prêtres d’alors n’avaient pas d’autres recours, avec évidemment les sacrifices humains, arme fatale pour leurs civilisations, à Nazca et ailleurs. Spectateurs de tous ces « chantiers » initiatiques, nous aurions observé les mêmes scènes que pour la construction des pyramides, avec en supplément, des êtres humains utilisant les pouvoirs de la pensée comme seuls outils. Il y aurait bien évidemment beaucoup à raconter là-dessus, et il faudrait en fait reprendre tous ces sujets depuis le début, dans le cadre d’une réécriture de l’Histoire et de la Préhistoire, mais ce serait s’écarter de l’objet de ce travail et de mes compétences, et donc finalement, un peu hors de propos. Pour certaines réalisations, il faut bien reconnaître que l’origine théorique est bien difficile à discerner, d’autant plus qu’il y a toujours une volonté divine derrière toutes les réalisations humaines, même lorsqu’elles sont a priori en contradiction avec le « bien », libre arbitre oblige.

Pour récapituler et en guise de conclusion de cet exposé, la compréhension de la nature divine du « Sceau de l’architecte » de la pyramide ( voir les publications précédentes ) repose sur la dualité de sa configuration. À ce stade, les informations contenues dans mes publications précédentes s’avèrent indispensables à connaître. Une partie de ce que j’ai appelé l’architectonique est « naturelle », façonnée par l’activité de la nature et ses forces telluriques. L’autre est « artificielle », fruit d’une intelligence dont cette nature n’est pas censée être dotée, cette intelligence se rapprochant de celle de l’être humain, mais lui restant malgré tout, nettement supérieure. Il y a, en première analyse, dissonance entre ces deux modes d’expression. Sinon, il faudrait admettre que la pyramide est le fait de l’érosion, ou que le delta du Nil, avec son littoral ordonné symétriquement, résulte d’une action humaine. Inenvisageable, même avec les moyens et le savoir-faire dont nous disposons au XXIe siècle. L’agencement harmonieux de l’ensemble géo-architectural étudié dans les publications précédentes et le livre, ne peut être que le fait d’une intelligence à la fois supra naturelle et supra humaine. Seul le Créateur de l’Univers est capable de ce cumul et il nous le fait comprendre à travers cette dualité.

Le plan divin prévoyait l’affaissement de la partie du littoral méditerranéen où se trouvaient Thönis et son port. Cet effacement provisoire avait été prévu pour masquer, pendant un certain temps, la symétrie par rapport à l’axe nord-sud, jusqu’à ce que nos moyens technologiques permettent la localisation de ce site, en l’an 2 000,   et remettent en pleine lumière le sceau de l’Architecte dans son ensemble. Merci à l’explorateur français Franck Goddio et son équipe, bien inspirés dans cette entreprise de recherches sous-marines, lesquelles auguraient idéalement de ce troisième millénaire et l’entrée dans l’ère des révélations.

Téléchargement libre du livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE :

https://vu.fr/W0PA

ARTICLE 19 du 22 octobre 2022 : Réflexions synthétiques autour de la conception de la Grande Pyramide de Gizeh / Première partie

RÉFLEXIONS SYNTHÉTIQUES AUTOUR DE LA CONCEPTION DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH

AVANT-PROPOS : la lecture de cet article sera plus claire pour ceux qui sont familiarisés avec les relations mathématiques et astronomiques révélées dans les articles précédents, surtout les 16 et 17, et sur Facebook. Il ne m’est pas possible de reprendre tous ces exposés dans le cadre restreint de cette communication. Vous pouvez néanmoins avoir accès à un résumé visuel à travers les illustrations ci-dessus. Celle de gauche, intitulé « le sceau de l’architecte » est suffisamment explicite pour donner un bon aperçu des découvertes ; celui de droite nécessite quelques explications facilement accessibles à partir de cette nouvelle publication. ABCD représente la base carrée de la pyramide et les cercles évoquent les projections du Soleil (S) de la Terre (T) et de la Lune (L) sur ce carré. La présentation Facebook est certainement plus aisée à parcourir car, pour avoir un œil sur le texte et l’autre sur les schémas, il suffit de double-cliquer dessus. Puis, en double-cliquant à nouveau sur la flèche de défilement latérale, vous avez aussi accès aux articles précédents. Ces derniers renvoient, pour les détails des calculs et les démonstrations, à mon livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE, (PDF en libre accès  https://vu.fr/W0PA ). Donc, si vous prenez cet article en chemin, je suis désolé de vous annoncer que vous avez deux tours de retard.
Et bon courage pour digérer ces premières conclusions que je vous propose aujourd’hui, lesquelles j’insiste, ne peuvent avoir de signification rationnelle qu’après la lecture de tout ce qui précède.

PREMIÈRE PARTIE : LES MESSAGES ESSENTIELS

Toutes les singularités que j’ai exposées dans le livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE et reprises dans les articles Facebook depuis le 27 août dernier, ainsi que dans mon blog, sont une belle démonstration du génie dont pourrait parfois faire preuve le hasard puisqu’à l’époque officielle de la Grande Pyramide de Gizeh, ses bâtisseurs présumés ne connaissaient ni π ( Pi ), ni φ ( Phi ), ni le mètre, ni la numération décimale, ni la vitesse de la lumière ( c ). Et ils ne possédaient pas les rudiments des savoirs pour faire émerger toutes ces relations mathématiques et astronomiques. Quant aux moyens techniques de construction, je n’en parle pas, pour l’instant. Il est donc temps de renier le dieu « hasard » et de revenir sur Terre tout en gardant les yeux pointés vers le ciel.
De fait, il n’aura échappé à aucun lecteur que l’ensemble des particularités rencontrées tout au long de mon étude, ne peut être mis en évidence que dans le système métrique décimal, c’est-à-dire en prenant comme unité de longueur le mètre, et la numération en base 10 pour les mesures et les opérations. Ils auront pareillement noté que tout décalage de l’édifice de quelques mètres ou que tout écart de quelques centimètres dans ses dimensions, auraient faussé une partie des calculs. Autrement dit, tout ce que j’ai pu étaler au grand jour dans mes articles et le livre, n’est valable que parce que la pyramide est située à cet endroit précis, avec ces dimensions centimétrées, voire millimétrées, et parce que les calculs ont été effectués en utilisant le mètre dans le système de numération décimale, et la seconde comme unité de temps. Dès lors, la question récurrente de savoir « comment les bâtisseurs de Khéops auraient bien pu connaître tout ça à leur époque », n’a plus de raison d’être puisque nous avons, en plus, précédemment identifié le concepteur et elle doit céder sa place à celle-ci, bien plus pertinente : « COMMENT L’UNIVERS, NOUS A-T-IL COMMUNIQUÉ, AU FIL DE NOTRE ÉVOLUTION TOUTES CES CONNAISSANCES ?» La réponse est simple : par les interactions entre l’Esprit universel et l’Esprit humain, compte tenu du fait qu’un cerveau n’a pas pour vocation de secréter la pensée, ni le moindre affect, mais seulement de réceptionner et canaliser les multiples types d’énergie et messages captés vers l’ensemble des fonctions humaines, pour le meilleur (santé, équilibre, amour, discernement, paix) ou le pire (pathologies, déséquilibres, ressentiment, confusion mentale, guerres). En général, les informations viennent d’abord solliciter les structures les plus profondes de l’inconscient, avant de se propager vers l’intellect en utilisant le canal de l’intuition. Nous sommes des récepteurs, des canaux, des émetteurs de l’Expression universelle, et notre responsabilité est d’entretenir nos fonctions afin de participer à Son Œuvre en la diffusant à notre tour, par l’exercice du potentiel que nous incarnons. À ce sujet, voici une très belle citation ATTRIBUÉE à Gaudi, l’architecte de la « Sagrada Familia », l’originale cathédrale de Barcelone, et qui était, en même temps un « initié » à certaines connaissances :
« Rien n’est inventé, parce que la nature a déjà tout écrit. L’originalité consiste toujours à revenir aux origines. Ainsi, l’originalité signifie revenir, par ses ressources, à la simplicité des premières solutions. » Antoni Gaudi (1852-1926).
J’apprécie tout particulièrement la mise en relation des mots « origine » et « origin-alité ».
De ce fait, la lumière existait bien avant nous, sa célérité ( c ) aussi, bien avant sa forme chiffrée actuelle qui date de 1983, et nous sommes allés la chercher dans le grand livre de l’Harmonie universelle. Les Égyptiens du temps de Khéops n’en étaient pas encore là, et il s’agissait pour leurs descendants d’aller dare-dare y chercher la roue pour faire avancer leurs chars. Mais, au rayon d’à côté, toujours à la portée de notre conscience et de notre libre arbitre, on trouve la vaste encyclopédie du chaos.

D’autre part, la pirouette intellectuelle que j’utilise, qui en réalité n’en est pas une, et qui consiste à introduire la notion de congruence, définie comme la particularité qu’ont deux nombres de présenter la même série de trois, quatre chiffres, ou plus, indépendamment des unités et des décimales, me permet d’avancer l’hypothèse que, en marge de l’utilisation que nous faisons des mathématiques traditionnelles, il existe une métamathématique, ou mathématiques sacrées, comme vous voudrez, qui s’exprime par l’énergie portée par les nombres. Cette énergie est aussi importante que les fonctions de dénombrement et les opérations qui nous sont familières, et que nous croyions les seules possibles. Cette logique n’est certainement pas sans rapport avec la gématrie des kabbalistes, terme issu, est-il besoin de le rappeler, du mot « géométrie ». Les numérologues avertis trouveront là, si besoin est, une justification à leurs activités.
À l’opposé, les scientifiques obstinément orientés vers les approches matérialistes traditionnelles pourraient être profondément blessés de subir de tels propos, bien sûr certainement pas autant que ceux qu’ils persécutent pour le seul crime de ne pas se soumettre à leurs points de vue, mais il faudra bien qu’ils prennent conscience, dans cette incarnation ou la future, que la réalité universelle ne peut pas se résumer à celle, réduite, à laquelle ils s’accrochent. C’est une partie des messages laissés par le Concepteur de L’Univers dans sa pyramide à travers ses particularités.
Je voudrais clarifier le sens du mot « matérialiste » utilisé au paragraphe précédent. Il n’est évidemment pas à prendre dans son acception marxiste. Ici, le matérialisme fait référence à une approche des lois de l’Univers qui s’appuie sur une matière primordiale chaotique et un jeu de « hasard et de nécessité », selon la formule popularisée par Jacques Monod et peut-être inspirée par Démocrite. Cette matière, issue d’un Big Bang inventé pour servir la cause matérialiste, s’organiserait de manière à acquérir les propriétés de la vie, pour aboutir à ces manifestations élaborées que sont tous les mécanismes de la pensée et des affects, ou sentiments. « Le cerveau secrète la pensée comme le foie secrète la bile » ont l’habitude de ressasser les scientifiques. Totalement erroné, mais certains n’en sont pas moins récompensés par un prix Nobel, canonisés de leur vivant, en quelque sorte, comme l’a été, en son temps, Jacques Monod, pendant que d’autres se voyaient rejetés jusqu’à en mourir, comme Jacques Benveniste par exemple ( souvenez-vous :« la mémoire de l’eau », recherches en collaboration avec le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel également). Puis, petit à petit, cette matière en arrive à reconstruire les lois de son univers, en fonction d’elle-même, pour elle-même, jusqu’à imaginer le concept de hasard afin d’expliquer le monde qui l’entoure et auquel elle ne peut rien comprendre. Enfin, loin de ses origines, elle termine son odyssée en prenant le pouvoir sur les êtres humains, sur toute autre approche, indépendamment de toute source, comme pourrait le faire l’inintelligence artificielle si on continuait à laisser opérer les apprentis sorciers qui l’insufflent fièrement dans leurs machines.
C’est en réalité le processus inverse qui est impliqué. C’EST DE L’ESPRIT DIVIN (OU UNIVERSEL) QUE PROCÈDE TOUT LE RESTE, dont la matière. Dès lors, l’obscurantisme scientifique se présente comme une attitude extrémiste à laquelle s’accrochent les savants matérialistes, avec le même acharnement que les fanatiques religieux à leurs dogmes, sans dénigrement, de ma part, de tous les apports de la science pour le bien-être de l’humanité, et des religions pour la cohésion des peuples, tant qu’elles vont dans ce sens, et bien que la prise de pouvoir par certaines croyances reste tout de même problématique. C’est à partir des intégrismes que ça devient très problématique. Dans le domaine scientifique, on parle alors de scientisme.
C’est aussi sur une conception matérialiste, mais éclairée, de l’Univers que s’appuient les explorations de la pyramide par les partisans d’une origine civilisationnelle ou extraterrestre. Ces approches, dites alternatives, ont permis, entre autres choses, de mettre en évidence une grande partie des mesures et des relations utilisées dans mes propres études, et d’aborder l’Histoire ancienne sous des angles différents de celui, figé, sous lequel l’appréhendent les historiens officiels. C’est finalement autant à ceux qui défendent les acquis qu’à ceux qui veulent les faire bouger que l’on doit d’avancer.
Quoi de plus pertinent pour illustrer cette collusion entre les différents courants d’idées que la conception relativiste de l’Univers et sa célèbre équation E=mc2 . Je rappelle, en simplifiant à l’extrême, que cette formule quantifie l’énergie E disponible dans une quantité de matière de masse ( m ). Il suffit alors de multiplier cette masse par le carré de la vitesse de la lumière ( c2 ) pour obtenir la quantité d’énergie retenue sous cette forme matérielle. La récupération de cette énergie, par fission nucléaire de certains atomes, peut donner ce que nous connaissons tous : une arme de destruction massive. C’est le carré de la vitesse de la lumière qui est la constante qui nous permet d’évaluer E. Dans la pyramide, c’est la dynamique de la suite des neuf chiffres exprimant ( c ) qui concourt à l’énergie totale de l’édifice (voir chapitre III). Le Démiurge a donc mis cette série au moins à deux reprises, non seulement pour attirer notre attention, mais aussi et surtout, pour harmoniser et énergiser le lieu grâce aux vibrations que produit cette suite.
Au sujet de la lumière, la contrariété des savants aux têtes bien pleines, trop pleines pour qu’il y reste de la place pour la raison, pourrait être atténuée, ou au contraire exacerbée, par la prise en compte que la matière est bien son ultime destination, au point qu’on la retrouve prisonnière dans les atomes sous la forme de sa vitesse au carré, dans la célèbre formule. Il est vrai que dans cet exemple, l’équation résulte de calculs mathématiques complexes et savants, seule approche compatible avec les croyances de ceux formés uniquement à la discipline scientifique. Albert Einstein l’a démontrée en partant de celle de l’énergie cinétique E d’un objet de masse ( m ) se déplaçant à une vitesse ( v ) ; elle est alors égale à E = 1/2 m v2. Dans cette formule, il a remplacé les expressions du temps et de la distance par les transformées de Lorentz qui prennent en compte la dilatation de la dimension temporelle et la contraction de la composante spatiale, principes de la relativité restreinte. Le développement qui mène à la formule est long et compliqué. Il aboutit, pour l’objet au repos ( v = 0 ) à la célèbre équation. La lumière joue donc bien un rôle dans la construction des atomes. « Dieu est Lumière, le Soleil est son ombre » aurait écrit Platon.
Veuillez noter que, dans mon livre et mes précédentes communications, la présence de la vitesse de la lumière dans la pyramide a également été mise en évidence, à deux reprises, dont une fois par des calculs, soit une chance sur 81 millions de milliards de trouver une telle conjoncture.
Et si elle se retrouve dans un atome sous la forme chiffrée démontrée par les mathématiques, pourquoi ne la retrouverait-on pas dans un monument, lui-même fait d’atomes ? Le grand Ordonnateur de l’Univers et le Maître d’œuvre de la pyramide ne sont-ils pas les mêmes, la même énergie ? À sa source ne retrouve-t-on pas le même principe qui insuffle son Esprit à l’Univers entier, visible et invisible ?

Je vous rappelle que vous pouvez télécharger gratuitement le livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE par ce lien :
 https://vu.fr/W0PA

ARTICLE 18 du 15 octobre 2022 : J’ai fait un rêve inhabituel

J’AI FAIT UN RÊVE INHABITUEL

J’ai fait un rêve inhabituel pour moi, dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 octobre 2022. J’en suis sorti vers deux heures du matin et l’ai immédiatement retranscrit, en sachant très bien que les images d’un rêve s’estompent dans les heures qui suivent. J’ai décidé de le partager car je l’ai compris plutôt comme un message à transmettre. Je l’ai reconstitué aussi fidèlement que possible, et par conséquent, en m’abstenant de toute interprétation ou analyse dans le fil du récit. Le voici :

« À travers ce qui ressemblait à de gros nuages, une sphère de lumière, plus grosse que notre Soleil, mais pas immense, est apparue, flanquée d’une croix tout aussi lumineuse. Les deux objets se sont déplacés dans le ciel, ensemble, pour disparaître derrière les nuages, puis réapparaître, et disparaître à nouveau. Un grand bruit, genre grondement de tonnerre atténué, pas désagréable, s’est alors fait entendre, et des vaisseaux ont commencé à apparaître. Ils n’étaient pas très grands, mais extrêmement lumineux, tout autant que la sphère et la croix. Certains ressemblaient à de gros avions, à multiples carlingues, d’autres à des sphères. À la fenêtre de notre maison, un char est apparu, ressemblant à un traîneau de père noël tiré par un animal non identifiable mais possédant quatre pattes. Un renne, un poney..? L’attelage s’est posé en équilibre sur la fenêtre et trois hommes en sont descendus. Le plus petit, blond et vêtu d’habits ressemblant à ceux d’un ménestrel du temps jadis, se présente à moi, accompagné des deux autres, plus grands et entourés d’un halo les rendant très discrets, presque invisibles. L’homme me fait savoir, à mon grand étonnement (dans le rêve), qu’il s’appelle Ashtar. Il me parle mais je ne sais pas ce qu’il me dit, c’est un discours engendrant des impressions positives, agréables et optimistes. Pendant ce temps, le ballet des vaisseaux amorce un quadrille, dans une atmosphère nuageuse. Les nuages sont sombres, mais pas noirs, d’un gris agréable, et se déplacent rapidement. Des objets volants continuent d’apparaître en libérant, à chaque fois un espace lumineux. Le dénommé Ashtar et moi-même, nous retrouvons dehors avant de pénétrer dans une construction toute en longueur. Nous cheminons à travers l’allée centrale et des êtres humains jeunes, de sexe masculin, sont attablés de chaque côté. Ils discutent. Ceux situés sur notre gauche sont habillés de noir et portent tous une casquette de même couleur. Mon nouvel ami m’explique que ces êtres humains ne pourront pas tous être améliorés. De l’autre côté, sur notre droite, nous voyons d’autres personnes, habillées de blanc et sans casquette, semble-t-il. Il me fait comprendre que ceux-ci seront sauvés. Tout le mode discute calmement, à droite comme à gauche et ces êtres sont mélangés à ceux descendus des vaisseaux qui leur donnent des explications. Nous nous retrouvons dehors avec d’autres entités dont je sens la présence mais que je ne peux clairement identifier, ni décrire. Nous rencontrons des humains, dont certains membres de ma propre famille. Tous présentent un état de santé défaillant, mais voient spontanément leur état nettement amélioré, au fur et à mesure qu’Ashtar les rencontre et leur fait des « passes » avec ses mains. Ils esquissent alors un sourire montrant un mélange de satisfaction et d’étonnement. De mon côté, j’explique que ces êtres venus d’ailleurs veulent notre bien. La valse des vaisseaux se poursuit, dans ce décor fait de nuages et de lumières et une ambiance sonore particulière de douce violence. »

Là-dessus, je me réveille, frais et dispos et rempli de joie et d’optimisme. Il est deux heures du matin, je prends du papier, mon stylo habituel et je commence à transcrire ce que je viens de vivre, aussi fidèlement que possible. Vers deux heures et demie, je bois un verre d’eau, me recouche et m’endors rapidement en méditant sur ce rêve. C’est la première fois que je faisais un tel rêve, sur un thème qui, par ailleurs, n’alimente absolument pas mes réflexions conscientes, ni aucune croyance enracinée, et qui est même plutôt en contradiction avec mon point de vue sur le libre arbitre. C’est pour ces raisons que la surprise m’a accompagné tout au long de ces aventures oniriques. Je n’ai évidemment aucun doute sur les contacts avec des êtres venus d’autres dimensions, et suis pleinement convaincu, depuis longtemps, que certains œuvrent parmi nous avec pour finalité leur propre évolution, en évitant et réparant des catastrophes anthropogéniques qui, sans eux, nous auraient fait disparaître depuis longtemps. Voilà ma seule certitude dans ce domaine avec celle de la réalité d’autres entités, malveillantes celles-ci, qui orchestrent le bal des ténèbres, via les « élites » autoproclamées de notre chère planète. J’ai eu maintes occasions de m’exprimer sur ce sujet, dans d’autres communications. J’espère que ce récit, dont je garantis l’authenticité, aura retenu votre attention. »(GUY FAURE).

Rappel du lien de téléchargement du PDF de mon livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE

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ARTICLE 17 du 08 octobre 2022 : architectonique du complexe Grande Pyramide de Gizeh-delta du Nil. LE SCEAU DE L’ARCHITECTE

ARCHITECTONIQUE DU COMPLEXE GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH-DELTA DU NIL. LE SCEAU DE L’ARCHITECTE

Cet article fait suite à celui du 24 septembre dernier qui posait la question de savoir si cette pyramide est bien la projection quadridimensionnelle du système Soleil-Terre-Lune. La réponse est apparue de façon flagrante, et c’est oui ! Sauf, évidemment, pour ceux dont les croyances, enracinées au plus profond de leur savoir, écartent trop de cette vérité. La plupart d’entre eux réagiront, de toute façon, de la même manière lorsqu’ils auront pris connaissance de ce qui vient. Pour ce nouvel exposé, nous revenons sur Terre, nous la visiterons et en ferons même le tour, sans aucun passeport…Il pourrait être tout autant remue-méninges que le précédent, mais reste à un niveau de géométrie descriptive très simple. Donc, pas de maths dans ce qui suit, ni d’explications compliquées. Il suffit de lire et regarder. Les conclusions vous appartiennent et je suggérerai les miennes. La photo double ci-dessous représente ce que j’appelle l’architectonique de l’ensemble formé par la Grande Pyramide de Gizeh et le delta du Nil, telle que vous pourrez la trouver à la page 24 du livre KHÉOPS LE SCEAU DE L’ARCHITECTE (PDF en accès libre  https://vu.fr/W0PA ). Je l’ai reproduite avec quelques aménagements afin de l’adapter à une communication plus synthétique, et d’y faire figurer mes dernières découvertes. J’y ai notamment tracé, en bleu, le parallèle-lumière, celui dont les neuf chiffres, EN DEGRÉS DÉCIMAUX, correspondent exactement aux neuf chiffres de la vitesse de la lumière en m/s. Cette figure est très parlante et bien légendée mais je reviens tout de même sur ce qu’elle nous enseigne. Vous pourrez facilement reproduire cette configuration chez vous pour peu que vous possédiez une règle et un ordinateur avec Google Earth installé. Une procédure en dix étapes est détaillée sur le livre susnommé dans les pages 9 à 16. Lorsque ce sera fait, apparaîtront sur votre écran les figures géométriques ci-dessous.

Vous verrez d’emblée qu’elles présentent une symétrie quasi parfaite par rapport à l’axe Nord-Sud, entachée au niveau de la baie d’Aboukir d’un creux que j’ai noté « Thönis » et que l’on ne retrouve pas de l’autre côté de cet axe. L’explication est toute simple : cette dissymétrie est due au fait qu’à l’époque de l’Antiquité, il y avait des terres et un grand port appelé Thönis (ou Héraklion pour les Grecs). Celles-ci se sont progressivement affaissées jusqu’à disparaître complètement pour faire place à cette baie. Tout ceci est détaillé dans les pages 16 à 24 à la suite de l’exposé des dix étapes de la procédure à suivre.

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Ce détail réparé, on voit clairement que l’axe Nord-Sud (traits jaunes) est celui autour duquel s’articulent les symétries des deux photos annotées de la structure. Sur celle du bas, on reconnaît une vue à la verticale de la Grande Pyramide de Gizeh, celle faussement attribuée à Khéops, tandis que la photo du haut montre le delta du Nil situé à environ 180 km plus au Nord avec le littoral qui se découpe sur le bleu de la Méditerranée. On distingue bien la base carrée de l’édifice avec ses deux diagonales, en traits rouges sur le schéma. Prolongées vers le nord-ouest et le nord-est, elles délimitent parfaitement le delta du Nil, ce qu’avaient déjà remarqué les géomètres qui accompagnaient Napoléon Bonaparte dans sa campagne d’Égypte (1798-1801). L’axe de symétrie est la PROJECTION, sur un plan, du méridien qui passe exactement par les pôles Sud et Nord, le centre de l’édifice, les milieux des côtés de sa base carrée et le cap le plus septentrional S de la côte égyptienne, soit six points alignés. On voit que le parallèle Ouest-Est passe également par le centre de l’édifice et les milieux des deux autres côtés, donc en tout onze points répartis dans une admirable géométrie.

En effet, tout ceci est parfaitement ajusté, à quelques centièmes de degré près, légers écarts causés sans doute par le déplacement de la plaque tectonique sur laquelle repose tout le plateau de Gizeh. On trouve encore une distribution harmonieuse que je viens tout juste de remarquer et qui ne figure donc pas dans le livre. Et pourtant, elle est simple, flagrante et loin d’être anecdotique. C’est même un coup de maître : les distances d’environ 180 km, qui relient la pyramide au littoral, aux points E (vers Alexandrie), G (premier cap), S (extrême nord de la côte), K (deuxième cap) et F (vers Port-Saïd), sont sensiblement égales. C’est ce que j’ai indiqué en blanc par des signes ( = ) . Ces concordances de longueur mettent de plus en évidence quatre triangles isocèles égaux et accolés. Ces tours de force ne sont pas anodins et je m’étonne encore de ne pas les avoir remarqués plus tôt. Une telle réalisation nécessite que l’arc de cercle EF soit focalisé sur le centre de la pyramide, et que les cinq points soient situés à égale distance. N’est-il pas étrange que les archéo-égyptologues oublient de parler de l’ensemble de cette configuration ? Ou plutôt, ils ne veulent pas en entendre parler.

Imaginez la tâche que cela a dû être pour les ouvriers de Khéops de tailler ces quelque 300 km de côte pour les ajuster à son tombeau, et ce, en tapant sur des burins de cuivre avec des pierres en dolérite, et des cordes et des rondins de bois pour aider. Un grand bravo à l’artiste concepteur et à sa main d’œuvre. C’est à tout cet arrangement spatial que j’ai donné le nom de  SCEAU DE L’ARCHITECTE. Mais ce n’est pas tout, loin de là…Voici la suite.

Pour ce faire, j’ai laissé le delta du Nil afin d’étendre mes investigations à la Terre entière. Sur n’importe quel globe terrestre, il est aisé de constater que le méridien passant par le centre de la pyramide est celui qui parcourt la plus grande surface de terres émergées, alors que son antipodique, celui qui passe par les îles Tumaî, est celui qui traverse la plus grande surface de mers et d’océans, donc le moins de terres. À partir de la mer de Béring au Nord, jusqu’aux premières terres du continent antarctique au Sud, il n’en rencontre même plus du tout. Et si vous y regardez de plus près, vous pourrez vérifier avec quelle précision les ajustements ont été réalisés, surtout au niveau des pôles. Ceci est enfantin à établir, et si vous êtes à l’aise avec les outils Google Earth, vous pourrez faire ce bilan en 3D, lequel s’ajoutera au reste. Ces constats ne peuvent évidemment pas être établis sur un planisphère, qui est la projection de la Terre sur un plan. Ici également, imaginez le travail pour déplacer les continents et les océans avec les mêmes outils que précédemment pour le delta du Nil, et vraisemblablement la bière en prime pour oublier la rudesse des travaux. À moins que toutes ces opérations aient débuté bien avant, soit quelques centaines de millions d’années plus tôt, pour les faire coïncider avec les mouvements telluriques. Et si tel était le cas ? De plus, si nous effectuons une comparaison des surfaces de terres de chacun des hémisphères séparés par ces deux méridiens, on note qu’elles sont très proches. Dans les pages 28 à 31, je vous expose comment j’ai procédé pour ce travail. C’est un peu fastidieux, mais très facile ; j’ai appris cette méthode d’évaluation APPROXIMATIVE d’aires lorsque j’étais au CM1 ! Pour terminer ce panorama, je voudrais vous rappeler que la projection du centre de la base carrée coupe le rayon de la Terre en son milieu, avec, selon mes calculs, un écart de 10,659 km sur une longueur de 6 352,8km, différence à mettre là encore sur le dos de la tectonique des plaques (voir pages 84 à 86). Les bâtisseurs du tombeau de Khéops auraient donc également voyagé à l’intérieur de la Terre bien avant les héros de Jules Verne, ou concédons qu’ils connaissaient leur planète dans ses moindres détails, aussi bien que s’ils l’avaient eux-mêmes conçue et fabriquée.

Aux questions que tout ceci soulève, certains ont des explications préparées depuis longtemps, à savoir qu’il y a 4500 ans, ou plus selon les théories, des Égyptiens possédaient un savoir colossal, hérité d’une ancienne civilisation et qu’il a suffi de l’utiliser pour la construction de la pyramide. Il reste à dénicher et étudier cette civilisation. En attendant et faute de mieux, il nous faut noter encore que c’est une chance que le plateau calcaire qui a servi de fondation se soit trouvé en cet endroit précis pour faire ressortir toutes les relations avec le reste de la planète et le système solaire (voir les articles publiés depuis le 27 août 2022 sur Facebook et mon blog). Arrivé à ce stade, il ne restait plus qu’à détecter l’emplacement exact, sur ce plateau, de telle sorte que la pyramide soit traversée par un parallèle qui affiche exactement les mêmes neuf chiffres, en DEGRÉS DÉCIMAUX, que la vitesse de la lumière. Comme tous les points d’un même parallèle sont, par définition, à la même latitude, il n’y a qu’un point qui, en plus, se situe sur le méridien (longitude) parcourant le maximum de terres émergées. Mais ce n’est pas terminé, car son antipodique doit en rencontrer le minimum, les deux formant un plan qui partage notre planète en deux hémisphères aux surfaces de terres à peu près égales. Pour l’heure, il semble difficile de déterminer l’emplacement exact de ce point au début de la construction de la pyramide à cause de la mobilité de la plaque africaine sur laquelle elle repose.

Alors, maintenant que vous êtes en possession de toutes ces données, connues ou originales, présentées de façon logique et cohérente, et non en vrac comme cela a toujours été le cas par le passé, je me permets de vous demander votre avis sur le concept ou le principe à l’origine de la Grande Pyramide de Gizeh, quel que soit le vocable que vous souhaitiez utiliser pour le définir. Concept renvoie à « concepteur » et il ne s’agit pas de rechercher d’éventuelles entités cosmiques ayant mis la main à la pâte pour la réalisation des travaux du site de Gizeh. Et si vous hésitez, vous pourrez trouver quelques éléments complémentaires dans mes derniers articles et dans le livre.

Et dans quel but le maître d’œuvre nous aurait-il fait ce cadeau sinon pour nous faire savoir qui est vraiment le «patron» , celui qui aura le dernier mot ? Y compris pour le chaos manifeste dans lequel les ténèbres essaient d’entraîner l’Humanité, sans grandes réactions, il faut bien le signaler. Car en actionnant leurs marionnettes dans tous les sens, les fils s’emmêlent au point que même les plus conscients d’entre nous finissent par avoir du mal à se frayer un chemin sur les voies étroites du discernement et de la sagesse.

Cette pyramide a longtemps été une énigme qui ne pouvait pas être vraiment résolue sans les moyens dont nous disposons actuellement, en ce milieu de cycle ( pour ces notions de cycle et demi-cycles, voir le chapitre IV). Le site de Gizeh a été, il y a bien longtemps, un lieu d’éveil pour les pionniers de l’Humanité sortie du monde « éthéré » de l’époque atlante de notre évolution, un peu comme le monolithe du film de Stanley Kubrick « 2001 Odyssée de l’espace » l’a été pour une famille de primates. Il faut noter que, dans ce film, l’imagination féconde du réalisateur anglais nous fait descendre d’hominidés, ce qui est un contresens total, désolante confusion issue du darwinisme, mais c’était malgré tout une bonne idée. Puis, la pyramide, dans la continuité, est devenue une école d’initiation aux mystères mineurs dispensée dans la « chambre de la reine » et majeurs (« chambre du roi »), avant de constituer une source de revenus pour le gouvernement égyptien. À chaque époque son utilité. La voici à présent redevenue un centre d’éveil, pour ceux qui le veulent bien, libre arbitre oblige, afin d’aborder la deuxième partie de ce cycle de l’Évolution humaine, car cette pyramide et les autres réalisations de ce site (pyramides dites de Khéphren et Mykérinos, et le Sphinx) ont encore bien des choses à nous enseigner. Rendez-vous prochainement pour une synthèse.

Pour télécharger le PDF du livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHTECTE https://vu.fr/W0PA (accès libre)

Article 16 du 24 septembre 2022 : La Grande Pyramide de Gizeh, projection quadridimensionnelle du Système Soleil-Terre-Lune ?

Avant-propos : la même figure géométrique apparaît plusieurs fois afin que le lecteur puisse suivre le fil de mes explications.

LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH : PROJECTION QUADRIDIMENSIONNELLE DU SYSTÈME SOLEIL-TERRE-LUNE ?

C’est cette réflexion que je vous soumets dans ce cinquième article sur le pseudo-tombeau du pharaon Khéops. À partir de maintenant, nous entrons vraiment dans le vif du sujet, dans une série d’investigations originales qui vont nous permettre de mieux cerner l’identité et les intentions du Concepteur de cette pyramide. C’est assez long, plutôt remue-méninges mais fascinant.

Pour cette nouvelle production, j’ai repris la figure géométrique simplifiée de mon article du 27 août 2022. Le carré ABCD étant la base de l’édifice, j’ai ajouté aux deux cercles précédents (S) et (T), deux nouveaux que j’ai appelés (L) et (H). Dans cette publication, j’ai choisi de ne communiquer aucun chiffre pour ne pas en alourdir la lecture. Vous trouverez tout, absolument tout ce que vous souhaitez avoir comme complément, démonstrations, calculs détaillés, au chapitre II du livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE à partir de la page 45 jusqu’à la page ras-le-bol-des-maths, et dans son annexe (p. 119 et suivantes).

Nous sommes donc maintenant en présence de quatre cercles : (S) ; (T) ; (H) ; (L).

(S) comme Soleil, de rayon RS. Il a été construit de façon à être exactement exinscrit à la base ABCD de la pyramide, c’est-à-dire qu’il contient le carré.

(T) comme Terre, de rayon RT. . Ce cercle est, lui, parfaitement inscrit dans le carré ABCD.

(H) comme Hauteur de la pyramide, de rayon RH. Ce cercle a été construit de telle façon que son périmètre soit exactement égal à celui de la base carrée ABCD.

(L) pour Lune, de rayon RL. (L) a la propriété de pouvoir être tracé n’importe où autour de (T), tout comme la Lune gravite autour de la Terre. Il est tangent à (T) et son centre est situé sur (H).

Voici pour le décor, avec les proportions bien respectées..

J’ai choisi postérieurement les dénominations des cercles, après que les relations de chacun avec le système Soleil-Terre-Lune ont été établies. C’est ce que nous allons voir.

NB 1 : pour la suite, ne confondons pas (T) qui est le cercle tracé sur la figure avec la Terre, notre planète. Mêmes choses pour (S) et (L).

NB 2 : L est la longueur des côtés de la base de la pyramide, H sa hauteur, à ne pas confondre avec les cercles (L) et (H).

NB 3 : les calculs des rayons et les suivants sont exposés dans les pages indiquées plus haut.

NB 4 : pour l’ensemble de mes recherches, le symbole (≈) signifie « congruent avec », en définissant la congruence comme la particularité qu’ont deux nombres de s’écrire avec la même série de chiffres, indépendamment de leurs décimales et de ce qu’ils mesurent (p. 53…) Cette notion se réfère à une « magie » des chiffres sur laquelle je reviendrai ultérieurement. Donc, que les lecteurs qui veulent nous faire savoir triomphalement que les virgules sont mal placées, ou que l’on ne peut pas comparer des longueurs avec des vitesses, attendent un peu, ou aillent sur d’autres pages et sites pour y trouver ce qui leur convient mieux.

Dans l’article du 27 août dernier, j’ai révélé à ceux qui ne se doutaient de rien, la présence des neuf chiffres de la vitesse de la lumière dans la pyramide, par cette première congruence :

1) PÉRIMÈTRE DE (S) – PÉRIMÈTRE DE (T) ≈ VITESSE DE LA LUMIÈRE (p. 61…)

Je rappelle que les neuf chiffres de la vitesse de la lumière sont aussi ceux qui correspondent à un parallèle, c’est-à-dire une latitude, exprimée en DEGRÉS DÉCIMAUX, qui traverse la pyramide et que j’ai appelé le parallèle-lumière. Les probabilités nous donnent une chance sur 810 millions de milliards de rencontrer deux fois cette série (annexe 14 page126).

Je vais à présent ajouter deux congruences qui font intervenir les deux nouveaux cercles, en relations avec des données astronomiques (p. 51…)

2) RH ≈ HAUTEUR DE LA PYRAMIDE ≈ DISTANCE LUNE-SOLEIL (p. 57…) dans une configuration astronomique particulière assez complexe examinée au bas de la page 57. Il s’agit en fait ici d’une double congruence.

3) RAYON POLAIRE DE LA LUNE / RAYON POLAIRE DE LA TERRE ≈ RAYON DE (L) / RAYON DE (T) (p. 59…)

Le symbole slash (/) indique un rapport, ou une division.

Et voici une quatrième congruence, assez connue, relative à la base carrée :

4) DEMI-PÉRIMÈTRE DE LA BASE ABCD ≈ VITESSE DE ROTATION DE LA TERRE A L’ÉQUATEUR

Cette dernière n’étant pas dans le livre, je me permets de communiquer les chiffres malgré la promesse faite plus haut.

Demi-périmètre de la base = AB + BC = 230,35 x 2 = 460,70 m

Vitesse de rotation d’un point à l’Équateur : 465,10 m/s

D’autre part, la composition géométrique ci-dessus est très explicite pour saisir les correspondances avec le système Soleil-Terre-Lune. En effet, (T) est lié à ABCD par 4 points de tangence (par construction), et à (L) par un point de contact qui exprime bien la proximité de notre planète avec son satellite. En outre, (L) peut être positionnée n’importe où autour de (T), tout comme la Lune se déplace autour de la Terre. Par conséquent, on peut aller plus loin, tout en ajoutant enfin un brin de poésie. En représentant la Lune par son symbole habituel, le « croissant », on constate qu’à partir d’une position initiale au milieu de AB que l’on va appeler « pleine lune », (L) dessine un « C » (hachuré) qui est en analogie avec notre satellite décroissant qui forme également un « C » dans le ciel, après sa phase de pleine lune. Puis, après un passage au milieu de CD (en pointillé) en un point que je peux appeler « nouvelle lune », le cercle dessine un « D » (hachuré) comme la Lune lorsqu’elle devient croissante, après sa phase de nouvelle lune. Enfin, (L) revient à son point de départ, pour débuter un nouveau cycle. Je n’avais pas remarqué ce phénomène auparavant, et cette analyse n’apparaît donc pas dans mon livre. Encore une merveille révélée après coup par cette pyramide, et qui montre que son étude est évolutive, à l’infini en toute logique. Sous la forme d’un croissant, (L) est donc bien inclus dans (S), tout comme (T). Le cercle (S) englobe toute la figure géométrique présentée, comme le Soleil domine et illumine la Terre et la Lune. La vitesse avec laquelle les photons en provenance du Soleil arrivent sur notre planète est chiffrée par la différence entre les périmètres de (S) et (T). C’est une bizarrerie que je vais tenter de dissiper un peu plus loin.

Comme je vous l’ai promis au début de cet article, tout ceci est plutôt remue-méninges et même très déstabilisant pour les incorrigibles tenants d’une conception humaine de la Grande Pyramide de Gizeh.

Les quatre relations établies précédemment et la figure ci-dessous montrent, et je peux même dire démontrent, bien que ce terme ne soit pas mathématiquement correct, que les dimensions de la Grande Pyramide de Gizeh ont été choisies pour afficher ces liens entre la Terre et le « Ciel ». C’est du moins ce que nous sommes enclins à déduire. En fait, il semble plutôt que l’édifice soit la projection d’une partie du Système solaire, selon des transformations géométriques et temporelles dont les algorithmes ne nous sont pas encore accessibles. Les transformations géométriques sont des opérations mathématiques plus ou moins complexes, qui font correspondre, point par point, un objet géométrique à un autre lui-même (translation, symétrie, homothétie, inversion, distorsion…) Ici, dans l’étude qui nous occupe, ces transformations sortent du domaine des mathématiques actuellement connues, en faisant intervenir, par l’implication de la vitesse de la lumière, une dimension temporelle. Ce dernier point ne devrait pas surprendre puisque nous savons maintenant, depuis plus d’un siècle, que notre évolution, dans le domaine sensible, se fait dans un espace-temps à quatre dimensions, dans lequel les distances et le temps sont étroitement liés. Ces liens ont été mis en équation par le physicien néerlandais Hendrik Lorentz à la fin du XIX° siècle. Les quatre dimensions sont les trois références spatiales c’est-à-dire la longueur, la largeur, la hauteur ; et le temps, qui nous donne donc la quatrième. Naturellement, il y a en a bien d’autres, et notre évolution spirituelle se fait dans un univers multidimensionnel, mais ça, c’est une autre Histoire.

Quoi qu’il en soit, l’exposé de cette étude devrait commencer à amener à se poser des questions sur l’identité du concepteur de la Grande Pyramide de Gizeh, son savoir-faire et ses intentions.

Pour les démonstrations pas à pas et le détail des calculs, je vous renvoie au chapitre II du livre susnommé (pages 45 et suivantes) et dont vous pouvez télécharger librement le PDF par la magie du lien suivant :

https://vu.fr/W0PA

ARTICLE 15 du 10 septembre 2022 : quelques précisions sur la latitude de la Grande Pyramide de Gizeh et sa relation avec la vitesse de la lumière

QUELQUES PRÉCISIONS SUR LA LATITUDE DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH ET SA RELATION AVEC LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

Il faut bien admettre que lorsque l’on consulte le fil d’actu de Facebook, on ne prête pas toujours l‘attention qu’il faudrait aux publications. Il s’ensuit une lecture approximative ou faussée. C’est parfois mon cas et c’est aussi celui des rares lecteurs qui ne semblent pas avoir très bien compris la photo légendée de la Grande Pyramide de Gizeh (voir ci-dessous à gauche). Elle révèle la parfaite correspondance entre les 9 chiffres de la vitesse de la lumière et ceux d’un parallèle (parallèle-lumière) qui la traverse un peu au nord de son centre (post du 27 août 2022 sur ma page FB et article 13 de mon blog). La latitude de la pyramide habituellement rapportée dans les livres étant celle de son centre, nous trouvons un léger décalage entre les deux mesures. Je précisais en outre, dans le texte joint à cette photo, que cette coordonnée est indiquée en degrés décimaux et non sexagésimaux comme le font en général les GPS. Afin de dissiper ces malentendus, j’ai apporté au document quelques modifications qui ne changent par ailleurs rien à la réalité qu’il révélait (voir les deux schémas ci-dessous).

1) J’ai tout d’abord supprimé le mot «coïncidence » qui, pour moi ne signifie pas grand-chose.

2) La vitesse de la lumière est à présent indiquée en m/s (lettres minuscules en conformité avec le système international des mesures) et non plus en M/S (majuscules).

3) Le mot « coordonnées » est remplacé par « latitude » puisqu’il ne s’agit que de cette coordonnée, et d’elle seule.

4) J’ai réécrit la latitude avec une virgule : 29,979 245 8°N. Je précise qu’en coordonnées sexagésimales, elle s’écrirait : 29°97’92,458’’N, ce qui n’a aucun sens puisqu’il ne saurait y avoir 97’ et 92’’ dans une numération de base 60. Ça s’arrêterait à 59.

Il m’a également semblé que certains lecteurs confondent latitude et longitude. Cette dernière indique la distance en degrés, sexagésimaux ou décimaux, à partir du méridien zéro situé près de Greenwich, dans la banlieue de Londres. La latitude d’un point O est l’angle (lat) que dessine le plan de l’Équateur avec le rayon CN reliant le centre de la Terre C à ce point, comme le montre la figure ci-dessous. Tous les points se trouvant sur un même parallèle ont donc la même coordonnée et la latitude zéro correspond à l’Équateur.

Le parallèle-lumière, exprimé en degrés décimaux, coïncide avec les 9 chiffres de la vitesse de la lumière. Il passe actuellement un peu au nord du centre de la pyramide et semble traverser la « chambre du roi ». La recherche de ses pérégrinations au fil des millénaires serait un sujet d’étude intéressant à peaufiner, mais les chercheurs se heurteront au problème du déplacement de la plaque africaine sur laquelle repose la pyramide, car sa vitesse estimée à 2,15 cm par an vers le nord-est, n’est ni précise, ni constante dans le temps. J’ai essayé de m’y frotter, mais je me suis rapidement retrouvé déboussolé.

Afin de rendre cet article un peu plus consistant et moins rébarbatif, je vous fais part d’une nouvelle particularité très intéressante de la Grande Pyramide de Gizeh, et que je réservais pour plus tard : la projection de son centre O sur le rayon polaire CN de notre planète (N pour pôle Nord) coupe ce rayon en son milieu H2. C’est du moins ce qui devait être la configuration d’origine. Depuis l’édification de la pyramide, les mouvements dus à la tectonique des plaques ont fait apparaître un écart de 10,659 km sur 6 352,8 km (longueur du rayon du centre de la Terre au fond de l’océan Arctique).

Vous trouverez les détails de cette démonstration aux pages 84 à 86 du livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE et les calculs dans l’annexe  15 (p 126 à 129).

RAPPELS : lien pour télécharger librement le livre :  https://vu.fr/W0PA

ARTICLE 14 du 3 septembre 2022 : relations entre les nombres pi, phi et les dimensions de « la chambre du roi » de la Grande Pyramide de Gizeh

INTRODUCTION: Après les nombreuses réactions Facebook à mes deux communications du 27 août dernier sur les relations entre la vitesse de la lumière et la Grand Pyramide de Gizeh, j’ai décidé, sans hésitation et avec allégresse de continuer dans cette voie. Je prépare quelque chose de solide et inédit, donc pas connu en dehors de ceux qui ont parcouru le livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE. Pour patienter, voici encore une particularité à la fois élégante, simple et étonnante.

RELATIONS ENTRE LES NOMBRES PI, PHI ET LES DIMENSIONS DE LA « CHAMBRE DU ROI » DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH

Je ne parle pas ici de la gigantesque cavité située au-dessus de la grande galerie, dévoilée voici trois ans par les chercheurs de la mission ScanPyramids, et dont nous sommes sans nouvelle depuis, mais bien de la pièce que l’histoire officielle appelle, arbitrairement et sans partage, la « chambre du roi », et qui est, en fait, le lieu des initiations majeures qui débutèrent bien avant la très lointaine Égypte prédynastique, après que nous eûmes terminé la phase atlante de notre Évolution. La pseudo-chambre de la reine, plus petite et située plus bas, était, elle, dédiée aux mystères mineurs.

L’Architecte a conçu la pièce consacrée à ces initiations aux mystères majeurs de façon à inclure, encore une fois, les nombres Pi (π) et Phi (φ) dans ses dimensions. Le nombre Pi est connu de tout le monde, du moins de nom, et il représente, dans un cercle, le rapport du périmètre à son diamètre. Quant à Phi, il est moins familier bien qu’un grand nombre de livres lui soient consacrés. On l’appelle le nombre d’or ou encore la divine proportion. Il a été utilisé pour la construction d’une multitude d’édifices depuis la plus haute Antiquité, et par des peintres comme Léonard de Vinci, Poussin, Degas, Monet, Dali, afin d’harmoniser leurs œuvres avec les lois universelles, ou divines si vous préférez.

Les constantes π et φ valent respectivement 3,14 et 1,618.

La longueur de la pièce est de 4 φ2,, sa largeur, de 2 φ2, toutes deux choisies de telle manière que le périmètre soit congruent à π. J’ai pris pour habitude d’appeler « congruence » entre deux nombres, la particularité qu’ils présentent de s’écrire avec la même série de chiffres, indépendamment des unités de mesure et des décimales. Je ne peux pas donner de justification de ce choix dans le cadre restreint de cette communication. Autrement, il faudrait entrer dans des notions de métamathématiques que j’aborde ailleurs et qui seront le sujet d’un article à paraître ultérieurement.

Voici, par les chiffres, ce que cela donne, en prenant pour les dimensions de la chambre, les valeurs usuelles au centimètre près, car c’est tout ce que j’ai à ma disposition :

Longueur de la chambre du roi : 10,47 m et 4 φ2 = 10,47

Largeur : 5,23 m et 2 φ2 = 5,23

Périmètre de cette chambre :

( 10,47 + 5,23 ) x 2 = 31,4 m

et π = 3, 14

Et rien qui dépasse !

Il existe bien sûr beaucoup d’autres particularités mathématiques dans cette pièce et son « sarcophage », mais j’ai pris pour habitudes de rester simple et de garder ce qui est aisément communicable, car il est très facile de se perdre dans ce dédale de chiffres ou de rester coincer dans une galerie ou un puits…

Pour des éclaircissements sur la structure de l’édifice et des explications sur ses singularités, je vous renvoie bien évidemment au livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE dont vous pouvez télécharger librement le PDF en cliquant sur le lien suivant :

https://vu.fr/W0PA

Pour l’objet de cet article et ses corrélations métaphysiques, rendez-vous aux pages 99 à 101.

Des versions papier sont accessibles via ce blog à partir duquel vous pouvez, par ailleurs, vous abonner gratuitement en cliquant sur le bouton dédié à cet effet.

ARTICLE 13 du 27 août 2022 : relations entre la Pyramide de Khéops et la vitesse de la lumière

RETOUR À GIZEH

Initialement, ma page Facebook était destinée à présenter le livre « KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE » publié en décembre 2019. Puis, à partir de février 2020, ont commencé les évènements que l’on sait, et qui m’ont profondément inspiré, comme je l’avais été en 2009 pour des faits analogues (vous vous souvenez ?) J’ai donc un peu délaissé Khéops pour m’exprimer sur ce sujet. En juin 2020, j’ai néanmoins posté deux articles qui ont intéressé un grand nombre de lecteurs (481 réactions, 447 partages et 143 commentaires pour le premier) et les ai repartagés en janvier 2021. Je viens de choisir de les publier à nouveau, un an et demi plus tard, afin que ceux qui n’y ont pas encore eu accès puissent en profiter maintenant. Il s’agit, pour les deux publications, de « coïncidences », établies mathématiquement, entre la Grande Pyramide de Gizeh, celle dite de Khéops, et les neuf chiffres donnant la vitesse de la lumière (c = 299 792 458 m/s). Voici la première :

Pour trouver très facilement cette première relation, il suffit d’aller sur Google Earth et de sélectionner « options » dans le menu « outils » de la barre de commande ; puis d’afficher « lat/long » et enfin de cocher « degrés décimaux ». Ensuite, il faut aller sur « rechercher », en haut à gauche, et taper « pyramide de Khéops ». Arrivé à ce stade, le curseur de la souris, baladé autour du centre de la pyramide, nous indique, en bas à droite, la latitude en degrés décimaux, qui correspond exactement aux 9 chiffres de la vitesse de la lumière. C’est très simple et le « piège » vient du fait que la plupart du temps, les coordonnées nous sont données en degrés sexagésimaux qui sont légèrement différents des décimaux. Vous pouvez aussi aller à la page 81 de mon livre (onglet « livre » de ce blog). Vous y trouverez les explications à cette singularité, et bien d’autres étrangetés.

ET VOICI LA SUITE DE « RETOUR À GIZEH »

Dans cette nouvelle relation, qui prolonge la précédente, je fais ressortir une deuxième fois la série des 9 chiffres de la vitesse de la lumière dans la Pyramide dite de Khéops, après avoir établi, la première fois, que sa latitude correspondait, elle aussi, à cette suite. Cette nouveauté est en fait très connue de tous ceux qui s’intéressent sérieusement à ce monument et je m’adresse ici plutôt à ceux qui ne connaissent pas encore cette relation.

Pour ce faire, j’ai pris pour longueur « L » des côtés de la base de la pyramide, la valeur de 230,380 923 903 585 m, à la place des 230,35 m donnés par Wikipédia. Je précise, à ce sujet, que la valeur fournie par l’encyclopédie en ligne est la moyenne des 4 longueurs telles que nous pouvons les mesurer à l’heure actuelle et que celle pour laquelle j’ai opté est bien comprise entre le côté le plus court (230,25) et le plus long (230,45). Nul ne peut savoir quelle est exactement la suite des chiffres choisie par son Créateur pour l’édification de la pyramide. Disons que la longueur d’origine des côtés de la base se situe entre 230,25 et 230,45. En fait, cette mesure n’existe pas de façon totalement fiable et définitive. C’est pour cela que nous pouvons en rencontrer presque autant qu’il y a eu de chercheurs dans l’histoire. Vous trouverez les détails de cette approche des chiffres, et plus encore, tout au long du chapitre II du livre « KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE » dont je rappelle le lien du libre accès au PDF :

https://vu.fr/W0PA

Versions papier disponibles à partir de l’onglet « livre » de ce blog.

ARTICLE 12 du 12 août 2022 : des commandos pour prendre soin de notre santé ?

DES COMMANDOS POUR PRENDRE SOIN DE NOTRE SANTÉ ?

Je suis resté silencieux, sans voix même, pendant plusieurs semaines, conséquence d’une ambiance globale dans laquelle étaient imbriqués un certain nombre d’évènements (co*ro.nav*iru.s, élections françaises, guerres, crise climatique, destruction du Georgia Guidestones) qui ne concouraient pas à m’inspirer des communications cohérentes. Un décret paru au journal officiel le dimanche 31 juillet 2022, et annonçant la création d’un nouveau comité d’experts en santé, m’a sorti de cette apathie en me ramenant à une lucidité inspirée par la situation vers laquelle nous nous dirigeons. En vérité, pas de quoi se réjouir dans l’immédiat.

Pour les champs de bataille en général et les hostilités à l’est de l’Europe en particulier, j’ai confié ma pensée à la plume de l’écrivain russe Léon Tolstoï sur le post Facebook du 1er avril 2022 et l’article 11 de mon blog (https://guyfaureblog.fr/). Sur ce plan, comme sur bien d’autres, nous sommes sur la même longueur d’onde.

Pour ce qui concerne les élections françaises, j’ai exprimé mon opinion dans différentes autres publications et n’y reviendrai certainement pas avant les prochains scrutins. Vous pourrez les retrouver sur ma page et sur le blog.

Quant aux gaz à effets de serre soi-disant à l’origine du réchauffement planétaire, je les ai rejetés depuis longtemps, en impliquant un phénomène naturel cyclique et j’ai insisté sur l’adaptation comme seule réponse admissible ( https://guyfaureblog.fr/ : articles 4 et 6 ; post FB des 29 octobre et 11 décembre 2021).

Mon blog contient des précisions sur lesquelles je ne peux pas m’étendre dans le cadre restreint de cet exposé. C’est pour cette raison que je vous y renvoie constamment.

Ce qui va m’occuper à présent, c’est ce décret du 31 juillet dernier car il augure bien du scénario des pi*qû.res forcées à venir. Je vais vous en faire un résumé en plaçant des guillemets à son contenu original ainsi qu’aux commentaires des personnes autorisées à s’exprimer sur ce sujet. Je rappelle que les décisions à venir font bien partie d’un scénario d’in-jec*ti.ons répétitives à toute la population mondiale. Pour les détails des objectifs, du plan sous-jacent et de la présence de na*no-part-icul*es dans les cocktails inoculés, je vous renvoie encore à mes précédentes publications sur FB (31 janvier 2021) et mon blog (article 1 du 7 août 2 021).

Voici sans plus tarder quelques morceaux choisis du décret annoncé, sans toutefois qu’il puisse être question d’un hors contexte puisque j’ai seulement pris soin d’ôter les redondances et le superflu. Je me suis sciemment abstenu de mentionner les prérogatives liées « aux polluants environnementaux et alimentaires, et aux changements climatiques », car secondaires pour mon propos.

Ce « comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires » a été créé pour remplacer l’action du Conseil scientifique présidé jusqu’à présent par le professeur Jean-François Delfraissy. Cette nouvelle instance, inspirée par des conseillers spéciaux, et prescrite par le ministre de la santé, aura pour mission, entre autres choses, de « veiller sur les risques sanitaires liés aux agents infectieux » et « d’émettre des recommandations lorsqu’une projection fera apparaître un risque sanitaire » et en outre « d’émettre des recommandations sur les mesures envisagées par les autorités publiques afin de contrer une crise sanitaire et sur la stratégie v*ac*c*ina.le mise en œuvre, le cas échéant, face à une menace sanitaire. »

Le 27 juillet, Christian Braun, l’actuel ministre de la santé a déclaré, sur franceinfo et le plus sérieusement du monde, que ce comité serait « un peu une équipe commando de scientifiques de très haut niveau » et « serait indépendant, transparent dans ses avis, et extrêmement réactif. » Les missions du comité « dépasseront le c*o.vi*d vu les risques d’émergence d’autres v*iru-s. » (Christian Braun)

Quant à Jean-François Delfraissy, sa déclaration dans un entretien au Parisien dimanche (édition du 31 juillet) laisse perplexe : « on aura de nouveaux outils, mais on sera surpris par un nouveau v*i-ru*s qui aura d’autres propriétés. » Pas de surprise en réalité puisque nous voici prévenus. Je vous invite à relire attentivement cette déclaration de l’ancien président du Conseil scientifique.

Si l’on résume les missions du « Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires » à partir de quelques mots-clés relevés, on se retrouve avec le condensé suivant :

Des scientifiques de très haut niveau et très réactifs pourront, par projection de risques sanitaires à venir, rédiger par anticipation des décrets liés à ces risques et à d’autres vi.r-u*s, sur les mesures à envisager.

Voilà qui change tout. Une explication de texte n’est pas vraiment indispensable mais je la fais tout de même en m’appuyant sur ce que nous avons vécu ces deux dernières années. Bien sûr, ceux auxquels il manque encore quelques éléments de compréhension sur l’état des lieux verront là une interprétation, alors qu’il ne s’agit que d’un constat avec ses projections les plus prévisibles.

1) Les v*ir.u*s vont proliférer et varier, de nouveaux vont apparaître en fonction des besoins des in-jec-tio*ns forcées.

2) Le comité se verra dicter directement ses décisions par l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques. Elles seront relayées par le gouvernement, leurs porte-parole et les médias.

3) Les experts ne se tromperont pas dans leurs conclusions car tous seront des scientifiques de très haut vol, ce qui n’était pas le cas du Conseil scientifique dont les membres, quoique tous excellents, étaient sans doute d’un niveau inférieur. Ceci m’a fait penser au vieux sketch de Coluche sur la lessive qui lave plus blanc que blanc : à présent, il s’agira de se faire in*jec*té.s plus profond que profond !

4) Ces nouveaux spécialistes, à coup sûr largement rémunérés, plus que leurs prédécesseurs, communiqueront leurs conclusions empaquetées dans des discours propagandistes qui ont fait leurs preuves tout au long des deux années passées.

Ce sont les protocoles sanitaires qui vont être profondément modifiés. Ils vont s’appuyer sur ce qui avait été essayé lors de la pseudo-épidémie de grippe H1*N1 de 2009.

En effet, il n’a pas pu échapper aux autorités qu’un taux d’au moins 30 à 60 % des personnels habilités à piquer ont simulé pour eux-mêmes et que les produits se sont retrouvés dans les éviers au lieu de rejoindre leur circulation sanguine. J’ai quelques exemples autour de moi mais je ne citerai évidemment personne. Malgré les recommandations et les injonctions de l’Ordre, on ne peut pas faire plusieurs années d’études dans le domaine de la médecine pour, en fin de compte, se livrer sur soi à des pratiques expérimentales contraires à tout ce qui avait été enseigné dans les facultés. C’est donc un très grand nombre de médecins, biologistes, pharmaciens, infirmières et infirmiers, leurs familles, amis et relations diverses qui sont détenteurs de vrais faux pa*s.s, sans que l’on puisse un jour savoir plus précisément combien au total. Il faudra bien sûr remédier à cet inconvénient incontrôlable par les procédures actuelles. Le comité va donc créer des centres dits de vac*in-at.o.ns dédiés, comme en 2009 pour H1*N1, sans qu’il ne soit possible d’aller ailleurs. Chaque centre était formé d’une équipe de 10 à 12 personnes dont 2 ou 3 seulement médicalement habilitées à piquer. Le reste était composé d’administrateurs et de « surveillants » issus de je ne sais où… Les doses étaient le plus souvent uniques et chaque élément (produit, seringue, aiguille) doté d’un code-barres précisant, entre autres, les compositions en na*no-par-ti*cules. Il ne fallait surtout pas se tromper dans la transcription des informations, ce qui explique la présence d’un si grand nombre de superviseurs. Bien sûr, aucun des membres de ces centres n’était au courant de la finalité de leurs actions, pas plus qu’ils ne le seront au prochain épisode. Chacun fera son métier en toute bonne foi, et obéira aux ordres, comme d’habitude… Pour éviter les « tricheries » inévitables, les médecins n’étaient pas autorisés à pratiquer dans leur cabinet. Bis repetita dans quelques mois.

Je me dois de rappeler que cette fausse pandémie avait été décrétée vers la fin du mois de mai 2009 par une certaine Madame Margaret Chan, alors directrice de l’OMS, et que tout était prêt dès la fin du mois de septembre de la même année, malgré les réticences de certains spécialistes. À cette époque reculée, ces derniers avaient encore la possibilité de s’exprimer. Je rappelle aussi que le bilan, en France, n’avait pas été vraiment catastrophique puisque, d’après le service de l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) qui s’occupe de recenser les décès et leurs causes, le nombre de morts liés au redoutable H1*N1 avait été d’environ 500, dont 48 seulement en l’absence de comorbidité connue… Sans commentaire.

Puis, en toute logique, on avait prévu de former des unités militarisées (commandos ?) pour aller servir les personnes officiellement dénommées « captives » : résidents des EHPAD et des maisons de retraite, prisonniers, scolaires, etc. Je vous laisse deviner la suite.

Tout ceci est en fait mal connu ou oublié du public car les médias n’en avaient pas fait étalage à l’exception notoire de la journaliste française Élise Lucet dans son magazine « Pièces à conviction » programmé sur France 3, le 31 mars 2010. Vous y puiserez certaines informations intéressantes et y rencontrerez quelques similitudes avec la « crise » actuelle.

Nous voici à présent bien avertis de ce qui nous attend dans un avenir très proche, dès le début du mois de septembre à mon avis. Les médias officiels ont récemment annoncé que le gouvernement dévoilera le nouveau protocole sanitaire applicable aux scolaires, une dizaine de jours avant la rentrée. Patientons donc, mais nous n’aurons certainement pas à attendre longtemps, afin que les complications liées aux précédentes pi*qu-res n’attirent pas l’attention de trop de monde.

La réussite, ou l’échec, de l’opération est donc nettement de notre responsabilité, mais je gage que les réactions des personnels soignants ayant choisi, en connaissance de cause, de se soustraire aux obligations de santé, seront un écueil difficile à franchir pour le gouvernement. Je peux me tromper, il faudra alors compter sur d’autres contingences…

Pour terminer, je pense qu’il est important de rappeler l’adresse de mon blog sur lequel vous pourrez retrouver cet article et bien d’autres que, pour différentes raisons, j’ai décidé de ne pas poster sur Facebook :

https://guyfaureblog.fr/

Et bien sûr, je vous invite à télécharger gratuitement mon livre « KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE » en cliquant sur ce lien :

https://vu.fr/W0PA

Cet ouvrage publié en décembre 2019 sera une aide précieuse à la compréhension de la situation actuelle dans sa globalité.

J’insiste pour vous reporter à ces précédentes publications car elles contiennent des informations qui préparent la présente et la complètent. (GUY FAURE)

NB : Au moment où je publie cet article, les membres du comité n’avaient toujours pas été désignés.

ARTICLE 11 du 1er avril 2022 : La guerre et la paix

Je vous propose un texte de l’écrivain russe Léon Tolstoï, tiré de son roman « Guerre et Paix » . Dans cet extrait, il expose pourquoi les évènements comme la guerre échappent à toute analyse pertinente et à toute logique proprement humaine.

« Le cheval attaché à la roue mobile d’une batteuse s’imagine qu’il est totalement libre, allant à son gré en partant du pied gauche ou du pied droit, levant ou baissant la tête, qu’il avance parce qu’il a envie de s’élever : c’était exactement ce que pensaient tous ces personnages innombrables qui participaient à cette guerre (note de Guy Faure : il s’agit ici de l’invasion de la Russie par les armées napoléoniennes en 1812) , qui avaient peur, se vantaient, s’enflammaient, s’indignaient en s’imaginant qu’ils savaient ce qu’ils faisaient, mais tous n’étaient que des chevaux marchant à pas cadencé sur l’immense roue de l’histoire, effectuant une tâche qui leur était dissimulée mais qui nous est compréhensible. Tel est le destin immuable de tous les hommes d’action qui agissent concrètement, et plus ils se situent haut dans la hiérarchie humaine, moins ils sont libres, plus ils sont hauts, plus ils sont liés, plus libre est la roue, plus le cheval va vite et moins il est libre. Il suffit de poser le pied sur cette roue pour qu’il n’y ait plus de liberté, plus d’action compréhensible, et plus la roue tourne, plus elle est rapide, moins il y a de liberté jusqu’à ce qu’on abandonne. 

Seuls Newton, Socrate ou Homère agissent de façon consciente et autonome, seuls ces hommes possèdent le libre arbitre que, contre toutes les démonstrations relatives aux nerfs, démontre ma main que je viens de lever et d’abaisser. »

[…]

« La source principale des erreurs que commettent les hommes réside dans cette façon de rechercher et de déterminer les causes des phénomènes de la vie humaine, de ces phénomènes organiques vitaux qui découlent de la combinaison d’une quantité innombrable de nécessités. Voltaire a dit, je crois, que la nuit de la Saint-Barthélémy n’aurait pas eu lieu si le roi n’avait pas été constipé. C’est aussi juste que de dire que si les troubles qui précédèrent la nuit de la Saint Barthélémy n’avaient pas existé, le ventre du roi aurait fonctionné plus correctement. C’est aussi juste que de dire que la cause de la nuit de la Saint Barthélémy fut le fanatisme du Moyen Âge, les intrigues des catholiques, etc., etc., ce sur quoi on peut s’informer dans tous les ouvrages historiques. La nuit de la Saint Barthélémy représente l’un de ces phénomènes de la vie qui s’accomplissent inéluctablement selon des lois de toute éternité spécifiques à l’humanité : tuer dans son milieu un nombre excessif d’individus et faire coïncider ses passions avec ce meurtre. » (Léon Tolstoï, « La guerre et la paix », éditions Points du 16/09/2010, pages 1051 à 1053).

Et pour compléter ces réflexions, voici une publication très intéressante qui m’est parvenue via Facebook, sans oublier de vous rappeler que vous pouvez retrouver cet article sur ma page.

ARTICLE 10 du 30 mars 2022 : l’Univers vu par Baudelaire et Spinozza

« La Nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L’homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l’observent avec des regards familiers. »

Merci à Baudelaire de nous avoir résumé, dans les quatre premiers vers de son sonnet « correspondances » (Les Fleurs du Mal, IV), les lois universelles. Pour compléter, voici un texte de Spinoza sur le Créateur de l’Univers, qu’il appelle Dieu. J’ignore de quel livre cet extrait est tiré.

« Je ne sais pas si Dieu a réellement parlé mais s’il le faisait, voici ce que je crois qu’il dirait au croyant :

Arrête de prier et de te frapper à la poitrine ! Ce que je veux que tu fasses, c’est que tu sortes dans le monde pour profiter de ta vie. Je veux que tu t’amuses, que tu chantes, que tu t’instruises… que tu profites de tout ce que j’ai fait pour toi.

Arrête d’aller dans ces temples sombres et froids que tu as construit toi-même et dont tu dis que c’est ma maison ! Ma maison est dans les montagnes, dans les bois, les rivières, les lacs.

C’est là où je vis avec toi et que j’exprime mon amour pour toi.

Arrête de m’accuser de ta vie misérable. Je ne t’ai jamais dit qu’il y avait quelque chose de mal en toi, que tu étais un pécheur, que ta sexualité ou ta joie étaient une mauvaise chose ! Alors ne me blâme pas pour tout ce qu’ils t’ont dit de croire.

Arrête de ressasser des lectures sacrées qui n’ont rien à voir avec moi. Si tu ne peux pas me lire à l’aube, dans un paysage, dans le regard de ton ami, de ta femme, de ton homme, dans les yeux de ton fils…Tu ne me trouveras pas dans un livre !

Arrête de te faire peur. Je ne te juge pas, je ne te critique pas, je ne rentre pas en colère et je ne punis pas. Je suis pur amour… je t’ai rempli de passions, de limitations, de plaisirs, de sentiments, de besoins, d’incohérences…et je t’ai donné le libre arbitre… Comment puis-je te blâmer si tu réponds à quelque chose que j’ai mis en toi ? Comment puis-je te punir d’être ce que tu es, si je suis celui qui t’ai fait ?

Tu penses réellement que je pourrais créer un endroit pour brûler tous mes enfants qui se comportent mal, pour le reste de l’éternité ? Quel genre de Dieu peut faire ça ? Si j’étais ainsi, je ne mériterais pas d’être respecté. Si je voulais juste être vénéré, je n’aurais peuplé la terre que de chiens. ..

Respecte tes semblables et ne fais pas ce que tu ne veux pas pour toi.

Tout ce que je te demande, c’est que tu fasses attention à ta vie, que ton libre arbitre soit ton guide. Toi et la nature vous constituez une seule entité ….alors ne crois pas que tu as un pouvoir sur elle. Tu fais partie d’elle. Prends-soin d’elle et elle prendra soin de toi. J’y ai mis et rendu accessible tout ce qu’il y a de bien pour toi et j’ai rendu difficile d’accès ce qui ne l’est pas.

Ne mets pas ton génie à y chercher ce qui est mauvais pour cet équilibre.

A toi de garder intact cet équilibre. La nature, elle, sait très bien le garder, juste ne la trouble pas !

Je t’ai rendu absolument libre. Tu es absolument libre de créer dans ta vie un paradis ou un enfer.

Je ne peux pas te dire s’il y a quelque chose après cette vie, mais je peux te donner un conseil. Arrête de croire en moi de cette façon. Croire, c’est supposer, deviner, imaginer. Je ne veux pas que tu crois en moi, je veux que tu me sentes en toi. Que tu me sentes en toi quand tu t’occupes de tes moutons, quand tu abordes ta petite fille, quand tu caresses ton chien, quand tu te baignes dans la rivière….

Exprime ta joie et habitue-toi à prendre juste ce dont tu as besoin ! La seule chose sûre, c’est que tu es là, que tu es vivant, que ce monde est plein de merveilles…et que dans toutes ces merveilles tu es capable de savoir exactement ce dont tu as vraiment besoin.

Ne me cherche pas en dehors,

Tu ne me trouveras pas….

Je suis là… La nature, Le cosmos… C’est moi. » (Baruch Spinoza)

ARTICLE 9 du 09 février 2022 : Quelques bonnes raisons de rester à la maison pour les prochaines élections françaises, si elles ont effectivement lieu. (section II)

QUELQUES BONNES RAISONS DE RESTER À LA MAISON POUR LES PROCHAINES ÉLECTIONS FRANÇAISES, SI ELLES ONT EFFECTIVEMENT LIEU ! (section II).

« Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira ». (Alexis de Tocqueville 1805-1859).

En date du 7 janvier dernier, j’ai publié un appel à ne pas aller voter aux présidentielles du mois d’avril prochain. J’avais intitulé cet article : « Aux urnes citoyens » ! Par la suite, j’ai eu la confirmation que certains lecteurs se sont arrêtés au titre sans en percevoir le second degré. Mea culpa. J’ai donc rectifié l’en-tête afin d’enlever toute ambiguïté sur le sens de ma requête. Cependant, depuis cette publication, certains éléments d’actualité m’ont fait prendre conscience que ces élections pourraient ne pas avoir lieu car, entre-temps, notre gouvernement aura vraisemblablement utilisé l’article 18 de feu notre Constitution. Cet article donne les pleins pouvoirs au président dans les situations de crise majeure, naturelle ou fabriquée. Le voici dans son intégralité :

« Le Président de la République communique avec les deux Assemblées du Parlement par des messages qu’il fait lire et qui ne donnent lieu à aucun débat.

Il peut prendre la parole devant le Parlement réuni à cet effet en Congrès. Sa déclaration peut donner lieu, hors sa présence, à un débat qui ne fait l’objet d’aucun vote.

Hors session, les assemblées parlementaires sont réunies spécialement à cet effet. »

Ceci implique que, d’ici ces élections, un pourrissement paroxystique de la situation va être organisé en France sous réserve qu’entre-temps, ne survienne quelque évènement populaire décisif, comme le blocage du pays. Cette paralysie totale ou partielle pourrait par ailleurs être la justification de l’utilisation de cet article. Nous verrons bien. Mon pressentiment va de plus en plus vers cette extrémité et j’espère sincèrement que mon intuition me trompe, ce qui est assez rare. Quoiqu’il arrive, tenez bon ! Ce n’est pas le moment de lâcher. Voici à nouveau la publication du 7 janvier à laquelle j’ai apporté quelques retouches, tout en faisant comme si ces élections auront bien lieu.


AUX URNES CITOYENS ! (section I du 7 janvier 2021)

« Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira ». (Alexis de Tocqueville 1805-1859).

En France, nous entamons les trois derniers mois qui nous conduiront aux élections présidentielles. Il sera alors l’heure de nous exprimer par les urnes, en nous rendant aux bureaux de vote ou… en restant à la maison. Si vous n’êtes pas français et ne vous sentez pas concerné par cet évènement national, ne vous enfuyez pas car cette communication reste valable pour la plupart des pays du monde, francophones ou non. Seuls quelques détails de scénario peuvent diverger.

Utiliser le droit de suffrage universel comme référendum pour dire « NON » aux pouvoirs en place, lesquels, depuis des décennies, nous ont conduits à la situation actuelle, me semble être la seule attitude méritant le qualificatif de responsable. Seulement voilà, dans cette campagne prévue pour amener l’un des candidats au palais de l’Élysée, il y en a une autre imbriquée : celle de la lutte contre les abstentionnistes. Ceux-ci formant, de loin, le premier parti de France, nous ne manquerons pas d’avoir une opposition d’union extrêmement violente. Le plaidoyer habituellement servi est que l’abstention favorise les extrêmes, et ça marche à tous les coups depuis de nombreux scrutins, comme si ceux qui tiennent ce discours n’étaient pas foncièrement des extrémistes ! Unis dans la v.a.c-ci.nologie anti-c.o-v.i.d, le néolibéralisme et l’écologie politicienne, ils seront toujours là pour repousser les contradicteurs en les étiquetant comme sectaires, populistes, obscurantistes ou la pire de toutes les catégories : complotistes.

Le premier acte citoyen avant de ne pas se rendre aux urnes les dimanches 10 et 24 avril prochains, est, paradoxalement, d’obtenir sa carte d’électeur. La date limite de la demande étant fixée au 2 mars 2 022, vous trouverez la marche à suivre au terme de cette publication, afin de gagner du temps. Les personnes qui ne seront pas inscrites sur les listes ne se verront pas comptabilisées dans les résultats car elles n’auront pas d’existence électorale. Leur éventuel « NON » à ce Référendum d’Initiative Populaire, ou Citoyenne (RIC) ne sera pas reconnu. Pareillement, les bulletins blancs et nuls ne seront pas inclus dans le décompte final et ne serviront à rien d’autre que faire croire que vous vous êtes exprimé puisque vous serez systématiquement enregistré dans la masse des votants. Ces bulletins passeront à la trappe et pour les retrouver, il faudra tout simplement aller sur les sites du ministère de l’intérieur ou du Conseil constitutionnel. Aux jours où je rédige ces lignes, il semblerait que les votes ne seront toujours pas obligatoires et que les procédures par correspondance ou électronique ne seront pas retenues, mais ce sera pour la toute dernière fois. La maxime de Alexis de Tocqueville, l’un des pères du libéralisme, et mise en exergue au début de ce message, pourra alors être amendée en celle-ci : « Nous n’avons rien à craindre du suffrage universel, nous programmerons à l’avance le vainqueur sur nos ordinateurs. » Par conséquent, ce sera bien la dernière opportunité qui nous sera offerte de dire STOP ! Le droit de vote utilisé pour mettre un terme aux agissements des absolutistes, des prévaricateurs et des propagandistes me semble être son ultime et plus belle vocation. A contrario, l’obéissance à l’ordre d’aller voter, travesti en devoir civique, et émanant de ces personnes, sera une injure faite à tous ceux qui se sont battus, tout au long de notre Histoire, pour les libertés et les droits de l’Homme. Ne nous trompons pas d’engagement.

Le RIC proposé dans cette publication doit donc être préparé assez tôt par une démarche administrative simple et par les réactions de ne pas nous laisser manipuler par les candidats, les médias et les intellectuels qui ne manqueront pas d’insister lourdement sur notre « irresponsabilité ». Le comportement qui va être ciblé est en fait de mettre un bulletin dans une urne afin de valider le principe de l’élection et du même coup, d’avaliser un candidat, alors que la très grande majorité des électeurs savent que les résolutions et les lois importantes sont dictées depuis longtemps par des instances plus haut placées dans la hiérarchie décisionnelle mondiale. Aller voter, c’est continuer à laisser le pouvoir aux marionnettistes qui manipulent nos « élus ». Rompre cette chaîne est notre devoir, mais seules les forces armées pourront définitivement en dissoudre les maillons, en s’imposantavant de faciliter l’avènement d’un nouveau paradigme. Ceci reste valable pour presque tous les pays du monde.

De plus, ceux qui, par attachement ou habitude, restent assez confiants pour croire que le candidat qu’ils choisiront sera le plus « efficace » pour relever (!) la France, ne se rendent pas compte que c’est l’ensemble des prétendants qu’ils cautionneront et que l’on pourrait en retrouver au prochain plébiscite, et ainsi de suite.

Dans notre pays, les dernières élections, qui étaient dédiées aux régionales, ont drainé, au second tour, 34,69 % des électeurs inscrits. Si l’on soustrait les bulletins blancs et nuls, estimés par mes calculs à environ 3 %, on obtient entre 31 et 32 % de suffrages exprimés. C’est un assez bon résultat mais, dans l’optique qui est celle de cette communication, il serait préférable qu’il soit dépassé pour pouvoir parler de victoire absolue des abstentionnistes. Un autre argument de poids mis en avant par les inconditionnels du vote est que, quel que soit le pourcentage de participation, il y aura un président : celui qui aura recueilli le plus grand nombre de voix. Mais quelle légitimité pourra être accordée à celle ou celui qui se targuera d’avoir acquis, au premier tour, trois à quatre millions de suffrages sur une cinquantaine de millions d’inscrits pour une population de 68 millions ? Aucune légitimité d’un point de vue purement démocratique. Il faudra le lui rappeler quoi que prévoie la Constitution dans ce cas précis. La non-investiture s’imposera d’elle-même puisque c’est le peuple qui l’aura décidée. En cas de déni de démocratie, nous devrons continuer à bloquer complètement le pays, immédiatement, pacifiquement, si ça n’a pas pu se faire antérieurement. Les drames qui en résulteront ne seront rien par rapport aux conséquences de l’inertie. Les armées et les forces de l’ordre, si elles ne sont pas intervenues précédemment, pourront prendre provisoirement les commandes d’un pouvoir devenu démocratiquement vacant. Ce sera alors le moment de passer à autre chose, en y mettant le temps qu’il faudra. Je vous renvoie à mes publications Facebook des 22 novembre et 28 décembre 2021 et à d’autres articles de ce blog pour le traitement de ces sujets. Quoi qu’il en soit, j’y reviendrai ultérieurement.

Donc, dans un premier temps, s’inscrire sur les listes électorales est bien le geste élémentaire vraiment utile et constructif à accomplir, avant le 2 mars 2 022. Cette initiative grossira mécaniquement le taux des abstentionnistes. Il est bon de savoir qu’actuellement, 2 à 3 millions de Français éligibles ne figurent pas sur les listes électorales. Le site du « service public » dont l’adresse est indiquée ci-dessous vous détaillera la marche à suivre. Ce manifeste est à partager sans retenue. GUY FAURE

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15311

À SUIVRE

ARTICLE 8 du 07 janvier 2022 : Aux urnes citoyens ! (section 1)

AUX URNES CITOYENS ! (section 1)

« Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira ». (Alexis de Tocqueville 1805-1859)

En France, nous entamons les trois derniers mois qui nous conduiront aux élections présidentielles. Il sera alors l’heure de nous exprimer par les urnes, en nous rendant aux bureaux de vote ou… en restant à la maison. Si vous n’êtes pas français et ne vous sentez pas concerné par cet évènement national, ne vous enfuyez pas car cette communication reste valable pour la plupart des pays du monde, francophones ou non, seuls quelques détails de scénario peuvent diverger.

Utiliser le droit de suffrage universel comme référendum pour dire « NON » aux politiciens, lesquels, depuis des décennies, nous ont conduits à la situation actuelle, me semble être le seul acte méritant le qualificatif de responsable. Seulement voilà, dans cette campagne prévue pour amener l’un des candidats au palais de l’Élysée, il y en a une autre imbriquée : celle de la lutte contre les abstentionnistes. Ceux-ci formant, de loin, le premier parti du pays, nous ne manquerons pas d’avoir une opposition d’union extrêmement violente. Le plaidoyer habituellement servi est que l’abstention favorise les extrêmes, et ça marche à tous les coups depuis de nombreux scrutins, comme si ceux qui tiennent ce discours n’étaient pas eux-mêmes des extrémistes ! Unis dans la v.a.c-ci.nologie anti-c.o-v.i.d, le néolibéralisme et l’écologie politicienne, ils seront toujours là pour repousser les contradicteurs sous les étiquettes de sectaires, populistes, obscurantistes ou la pire de toutes : complotistes.

Le premier acte citoyen pour ne pas se rendre aux urnes les dimanches 10 et 24 avril prochain, est, paradoxalement, d’obtenir sa carte d’électeur. La date limite de la demande étant fixée au 2 mars 2 022, vous trouverez la marche à suivre en fin de publication afin de gagner du temps. Les personnes qui ne seront pas inscrites sur les listes ne se verront pas comptabilisées dans les résultats car elles n’auront pas d’existence électorale. Leur « NON » à ce Référendum d’Initiative Populaire, ou Citoyenne (RIC) ne sera pas reconnu. Pareillement, les bulletins blancs et nuls ne seront pas inclus dans le décompte final et ne serviront à rien d’autre qu’à faire croire que vous vous êtes exprimé puisque vous serez compris dans la masse des votants. Ces bulletins passeront à la trappe et pour les retrouver, il faudra tout simplement aller voir sur les sites du ministère de l’intérieur ou du Conseil constitutionnel. Aux jours où je rédige ces lignes, il semblerait que les votes ne seront toujours pas obligatoires et que les procédures par correspondance ou électronique ne seront pas retenues, mais ce sera la toute dernière fois. La maxime de Alexis de Tocqueville, l’un des pères fondateurs du libéralisme, et mise en exergue au début de ce message, pourra alors être amendée en celle-ci : « Nous n’avons rien à craindre du suffrage universel, nous programmerons à l’avance le vainqueur sur notre ordinateur. » Par conséquent, c’est bien la dernière opportunité qui nous est offerte de dire STOP ! Le droit de vote utilisé pour mettre un terme aux agissements des absolutistes, des prévaricateurs et des propagandistes me semble être son ultime et plus belle vocation. A contrario, l’obéissance à l’ordre d’aller voter, travesti en devoir civique, et émanant de ces personnes, est une injure faite à tous ceux qui se sont battus, tout au long de notre Histoire, pour les libertés et les droits de l’Homme. Ne nous trompons pas d’engagement.

Le RIC proposé dans cette publication doit donc être préparé assez tôt par une démarche administrative simple et par les réactions de ne pas nous laisser manipuler par les candidats et les médias qui ne manqueront pas d’insister lourdement sur notre « irresponsabilité ». Le comportement qui va être ciblé est en fait de mettre un bulletin dans une urne afin de valider le principe de l’élection et du même coup, d’avaliser un candidat, alors que la très grande majorité des futurs inscrits savent que les résolutions et les lois importantes sont dictées depuis longtemps par des instances plus haut placées dans la hiérarchie décisionnelle mondiale. Aller voter, c’est continuer à laisser le pouvoir aux marionnettistes qui manipulent nos « élus ». Rompre cette chaîne est de notre responsabilité, mais seules les forces armées pourront définitivement en dissoudre les maillons, en s’imposant. De plus, ceux qui, par attachement ou habitude, restent assez confiants pour croire que le candidat qu’ils choisiront sera le plus efficace, ne se rendent pas compte que c’est l’ensemble des prétendants qu’ils cautionneront et que l’on pourrait en retrouver au prochain plébiscite, et ainsi de suite.

Dans notre pays, les dernières élections, qui étaient dédiées aux régionales, ont drainé, au second tour, 34,69 % des électeurs inscrits. Si l’on soustrait les bulletins blancs et nuls estimés à environ 3 % par mes calculs, on obtient entre 31 et 32 % de suffrages exprimés. C’est un assez bon résultat mais, dans l’optique qui est celle de cette communication, il serait préférable qu’il soit dépassé pour pouvoir parler de victoire absolue des abstentionnistes. Un autre argument mis en avant par les inconditionnels du vote est que, quel que soit le pourcentage de participation, il y aura un Président, celui qui aura recueilli le plus grand nombre de voix. Mais quelle légitimité pourra être accordée à celle ou celui qui se targuera d’avoir recueilli trois à quatre millions de suffrages sur une cinquantaine de millions d’inscrits pour une population de 68 millions ? Aucune d’un point de vue purement démocratique. Il faudra le lui rappeler quoi que prévoie la Constitution dans ce cas précis. La non-investiture s’imposera d’elle-même puisque c’est le peuple qui l’aura décidée. En cas de déni de démocratie, nous devrons bloquer le pays, immédiatement, sans violence, si ça n’a pas pu se faire antérieurement. Les armées et les forces de l’ordre, si elles ne sont pas intervenues précédemment, pourront prendre les commandes d’un pouvoir devenu démocratiquement vacant. Il sera alors grand temps de passer à autre chose. Je vous renvoie à mes publications Facebook des 22 novembre et 28 décembre 2021 et sur mon blog pour le traitement de ces sujets (cliquer sur l’onglet Fb). Quoi qu’il en soit, j’y reviendrai ultérieurement.

Donc, dans un premier temps, s’inscrire sur les listes électorales est bien le geste élémentaire vraiment utile et constructif à accomplir, avant le 2 mars 2 022. Cette initiative grossira mécaniquement le taux des abstentionnistes. Le site du « service public » dont l’adresse est indiquée ci-dessous vous détaillera la marche à suivre. GUY FAURE

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15311

À SUIVRE

ARTICLE 7 du 28 décembre 2021 : quelques bonnes raisons d’espérer l’intervention des forces armées

QUELQUES BONNES RAISONS D’ESPÉRER L’INTERVENTION DES FORCES ARMÉES

Difficile pour moi de m’adresser à des personnes qui appartiennent à des corporations que je connais mal, pas du tout même, et je ne vois pas par quelle médiation un appel pourrait se retrouver sur le bureau d’un destinataire haut placé de l’armée française. Cette publication est donc tout simplement une suite à l’une de mes précédentes, celle du 22 novembre dernier : « Appel aux consciences ». Vous retrouverez ce post à la fin de celui-ci. Je voudrais apporter quelques éléments qui pourraient persuader certains lecteurs que plusieurs responsables militaires sont de notre côté et les armées prêtes à intervenir pour mettre fin à la situation dans laquelle nous nous enfonçons sans même que les gouvernements essaient de s’en cacher. Cette communication a donc pour objectif premier de redonner du courage et des raisons d’espérer à ceux qui voient arriver le pire. Pour bien comprendre la suite de mon propos, il est indispensable de ne pas y voir une prise de position politique particulière. Je pars d’une situation de crise effective et je m’appuie sur des faits vérifiables pour ébaucher la solution la plus vraisemblable et au dénouement le plus optimiste. C’est tout.

L’ouverture, en France, des inj.ec.tion.s aux enfants est une nouvelle ligne rouge qui a été franchie avec un cynisme effrayant : « Nous ouvrirons les vax.i.na.tions aux 5-11 ans le 22 décembre, si tout va bien ». En guise de cadeau de Noël et en attendant la prochaine étape (notes de l’auteur). Les éléments que je vais vous communiquer nous amèneront à conclure que les armées ne sont pas systématiquement au « garde-à-vous » devant l’exécutif. Bien sûr, leur chef suprême est constitutionnellement le président de la République, mais nous pouvons nous demander de quoi celui-ci, dans la situation actuelle, pourrait bien être représentatif. Le premier élément nous renvoie à l’été 2017 et plus précisément au 19 juillet. Ce jour-là, le chef d’état-major des armées en poste, le général Pierre de Villiers présentait sa démission. D’après mes informations, il s’agissait d’une première depuis 1958. Quelque temps avant cette surprenante décision, nous avions assisté à un recadrage du général de la part du Président, devant d’autres responsables militaires et les caméras de télévision. Cela ne se fait pas dans un système hiérarchisé, même au niveau de petites entreprises. Pour certains, le respect des règles fondamentales de la communication n’est apparemment pas un problème. Macron avait alors insisté publiquement sur le fait que c’est bien lui le chef des armées, et non pas l’autre… C’était Jupiter qui faisait des remontrances publiques à Mars. Pierre de Villiers a donc naturellement démissionné en invoquant d’obscures raisons budgétaires et fut remplacé par le général François Lecointre, lui-même démissionnaire en juillet 2021, par conséquent une « deuxième » depuis 1958. Actuellement, c’est le général Thierry Burkhard qui est en poste depuis le 22 juillet 2021. Tout ceci nous amène à penser que les relations entre l’exécutif et les responsables militaires ne sont pas au beau fixe. Je mentionne rapidement la tribune publiée au printemps 2021 par le magazine « Valeurs actuelles ». Cet appel à l’insurrection déguisé en avertissement émanait de haut gradés pour la plupart à la retraite. Il concernait l’insécurité et le délitement de certaines valeurs qui leur sont chères, sans rapport patent avec la situation sanitaire.

Entre ces deux départs anticipés, il y eut deux faits qu’il est bon de rappeler et qui se sont déroulés sur l’avenue des Champs-Élysées lors du défilé du 14 juillet 2018, une année après la démission de Pierre de Villiers. Ils sont passés un peu inaperçus et pourtant, ils valent leur pesant de cacahuètes, comme vous allez pouvoir le constater. Le premier nous montre le télescopage et la chute de deux motards de la garde républicaine. C’est un accident qui n’est pas rarissime compte tenu de la complexité des chorégraphies présentées, mais d’après mes recherches, c’était la première fois qu’un tel incident se produisait juste devant la tribune présidentielle. S’agissait-il d’un acte exécuté sur ordre hiérarchique ou d’une simple péripétie ? Nous ne le saurons sans doute jamais. La deuxième fausse note est beaucoup plus significative et éminemment chargée de symboles, même pour les plus sceptiques. Cela s’est produit ce même jour du 14 juillet 2018. Comme chaque année, les cérémonies se sont terminées par un passage de la patrouille de France. Neuf avions dessinent dans le ciel de Paris le drapeau tricolore. Les trois premiers lâchent une fumée bleue, couleur traditionnellement attachée à notre pays ; c’est aussi la couleur des armées de Clovis, premier roi de France. Les trois appareils du centre de la patrouille larguent une fumée blanche qui représente la monarchie de droit divin. Les trois derniers avions dégagent des traînées rouges, symbole de la révolte, de la patrie en danger et du sang versé. Ce jour-là, une énorme « erreur » a été visible derrière l’appareil externe, côté bleu. Au lieu de cette traditionnelle couleur, c’est du rouge qui est apparu, rouge comme la couleur de la ligne à ne pas franchir… Lorsque l’on connaît la minutie apportée à la préparation de telles démonstrations, il est difficile de croire à une simple bévue surtout après celle des motards. D’après mes recherches, c’était la première fois qu’une telle incongruité se produisait dans l’histoire de l’aviation. Il est donc difficile de continuer à croire que les deux incidents relatés et oubliés depuis, soient autre chose que les conséquences d’ordres donnés pour manifester des désaccords avec le gouvernement. Je me suis laissé dire que dans les armées, ce mode de communication indirecte est fréquent. Il pourrait aussi s’agir de « la main de Dieu. » La position du rouge de la révolte précisément à la place du bleu de la France est loin d’être anodine. À n’importe quel autre emplacement, le symbole aurait été beaucoup moins fort. Voici ce que j’avais à communiquer pour vous aider à prendre conscience que les armées sont toujours du côté du peuple en danger, ce qui est par ailleurs leur vocation première, dans un rôle comparable à celui des forces de l’ordre, originellement dénommées « les gardiens de la Paix ». Vous tirerez les conséquences qui vous conviennent, mais, d’ores et déjà, je me dois d’informer certains que les explications fournies à l’époque par les médias ne m’intéressent pas puisque je les connais déjà.

Mais ce n’est pas tout et nous allons entrer dans le vif du sujet. Le général Pierre de Villiers a un frère. Il s’appelle Philippe et il a fait paraître en 2021 un livre intitulé « Le jour d’après », certainement en écho au film éponyme du réalisateur Roland Emmerich. De quoi est-il question dans cet ouvrage ? Des mêmes informations que nous avait révélées le documentaire « Hold-up ! » du journaliste Pierre Barnérias et paru fin 2020. Tout concorde, les détails, les témoignages et les références vérifiables par tout un chacun. Le livre de Philippe de Villiers n’est cependant pas un copier-coller du film de Pierre Barnérias car il contient un surcroît d’informations. Celles-ci ont vraisemblablement été fournies en « off » par son frère Pierre qui, en tant que chef d’état-major des armées durant près de quatre années, détient quelques renseignements complémentaires en provenance directe des services secrets des armées. Vous pourrez voir ou revoir « Hold-up ! », lire ou relire « Le jour d’après », consulter mes publications depuis le 31 janvier 2021, et mettre le tout en perspective avec les évènements qui ont suivi et ceux auxquels nous pouvons nous attendre. Ces révisions vous indiqueront, sans ambiguïté, que les injec-tions n’ont pas été créées pour lutter contre une quelconque agression virale. C’est exactement l’inverse : les co.ro.na-virus ont été fabriqués pour ces injec-tions. Ils ont été rendus plus « méchants » par des manipulations géniques, et plus létaux, par l’interdiction de tous les traitements efficaces connus, tout ceci afin de laisser le champ libre aux v.a.x-ins. Le plan de vax.i.na-tion mondiale est préparé depuis longtemps et nous sommes en mesure de comprendre que les états-majors militaires le connaissent parfaitement. La pharmacie des armées avait bien anticipé cette politique sanitaire du « tout-v.a.ccin » en se faisant livrer, en avril 2020, « un achat de précaution » de 70 kg de chloroquine. Tout ceci est clairement détaillé dans les publications compilées dans ce blog.

Non, un appel aux armées et aux forces de l’ordre pour mettre un terme aux aberrations sanitaires ambiantes n’est pas vain car un grand nombre de leurs responsables connaissent le véritable ennemi : les v.a.xin.s. Un retour à une normalité antérieure n’est cependant pas à projeter car il n’est pas raisonnable d’imaginer que les conditions qui ont mené au chaos actuel puissent être renouvelées de façon pérenne. Il s’agira plutôt d’installer un nouveau paradigme sur les décombres de l’ancien.

En France, les deux mois à venir, janvier et février 2022, se présentent comme les plus cruciaux de toute l’Histoire du pays. Tout dépendra des décisions des parents d’épargner, ou non, leurs enfants et adolescents, de la résistance des pompiers et des personnels soignants, et pour une très large part des choix des 30 à 40 % de ceux qui ont cédé au chant des sirènes des deux premières doses. Refus d’in.ject.ions, blocages d’activités et de routes, désobéissance civile, boycottes, le tout dans un climat de NON-VIOLENCE, voilà les clés de la conquête de la vraie liberté. Et n’oubliez jamais que les pires périodes de l’Histoire, dans tous les pays du monde, sont précisément celles qui ont été amenées par les pires dirigeants. Et par-dessus tout, il ne faudra pas oublier que, jusqu’à nouvel ordre, les forces armées de France et d’ailleurs, sont sous la tutelle de leur gouvernement et que la forme de désobéissance préconisée ici, n’est pas un droit. C’est ce qu’on appelle un coup d’État militaire, ou putsch. II entraînera systématiquement une dictature pouvant être plus ou moins longue. Personnellement, à la place des actions sans fin des vac.ci.nologues avec leurs unités de vaccination armées de seringues, je fais le choix de celles, pacifiques, de nos militaires avec leurs patrouilles de proximité et leurs interventions d’apaisement. Dans une opération pleinement réussie, aucun coup de feu ne devrait être tiré. Les seules violences incontournables seront celles infligées aux coupables dans le cadre des assignations à résidence surveillée. Je parle bien de culpabilité et non pas seulement de responsabilité, mot inapproprié. La stratégie la plus probable à suivre par les chefs militaires me semble assez facile à décrire : dans un premier temps, ils attendront les ordres gouvernementaux pour intervenir dans la campagne de vax.i.na-tion forcée. Il s’agira alors de déployer les forces un peu partout sur le territoire, peut-être même d’activer les lois martiales, voire de décréter l’état de siège. Il ne faudra pas interpréter ce déploiement comme autre chose que la préparation à réagir au refus manifesté par les peuples. Ce sera alors le moment de s’aligner sur leur cause. Il n’y aura donc pas de raison de céder à la panique une fois bien comprise la nécessité de ces grandes perturbations passagères. Une autre manœuvre, tout aussi probable, serait une intervention directe et plus précoce. Il existe d’autres scénarios possibles, plus modérés ou, au contraire, plus douloureux : cela dépendra de nous. L’intervention d’êtres venus d’ailleurs est à prévoir. Quels que soient les évènements à venir, il suffira de résister pacifiquement selon les principes énoncés plus haut et dans mon message du 22 novembre 2021. Les forces armées existent pour être au service des peuples contre l’ennemi, quel qu’il soit, y compris lorsqu’il est incarné par le gouvernement censé les commander. Je ne sais pas ce que dit la Constitution au sujet de l’attitude à tenir face à une hiérarchie surprise en flagrance de folie ou de trahison, mais je crois savoir qu’il y a des textes qui traitent de ces situations particulières. Quant aux gardiens de la Paix, ils sont formés pour garantir la sécurité de chacun face aux débordements d’ordre civique et ils trouveront donc facilement leur place dans cette tourmente.

Je vous avais prévenus d’entrée de jeu que cette publication serait un message d’espoir. J’ai fait de mon mieux pour qu’il le soit soit et réponde à vos attentes. GUY FAURE

APPEL AUX CONSCIENCES (22 novembre 2021)

Peut être une image de texte


ARTICLE 6 du 10 décembre 2021 : prolégomènes à l’assaut final

AVANT-PROPOS

Le programme de wordpress que j’ai choisi pour mon blog ne me permet pas de l’organiser comme je l’entends, aussi je dois m’adapter. Dorénavant, sur cette page d’accueil ne figurent que cet avant-propos et le dernier article publié. Les autres sont rangés, par ordre chronologique, sous l’onglet « publications ». Toutefois, pendant encore un certain temps, ils resteront consultables sur cette même page, dans l’ordre inverse de publication.

Ce sixième article fait suite à celui du 29 octobre dernier sur les relations entre les changements climatiques et le saut quantique de la Terre. J’en étais alors resté aux mutations de la matière formant notre planète et son atmosphère. À défaut d’informations satisfaisantes, j’ai dû escamoter le mécanisme astronomique à l’origine de ces modifications. Le hasard faisant souvent bien les choses, je suis tombé, quelques jours plus tard, sur un schéma montrant l’implication de la constellation des Pléiades dans ce processus. C’est à peu près l’idée que je me faisais de la situation et c’est avec plaisir que je vous en fais profiter, en attendant les précisions à venir de la NASA. Cette illustration met bien en évidence le rôle de la ceinture de photons, appelée parfois « nébuleuse d’or » ou encore champ énergétique dans ma publication du 29 octobre. Sur le schéma qui m’est parvenu, j’ai ajouté des numéros aux neuf sœurs (les étoiles) à partir d’une carte du ciel que j’avais à ma disposition. L’orientation dans l’espace à partir d’un tel document n’étant pas ma tasse de thé, je ne peux garantir l’exactitude de cette numérotation. Peu importe. J’avais mentionné ce cycle dans mon livre « Khéops : le sceau de l’architecte » sans donner plus de précisions, faute d’en avoir de suffisamment fiables. Nous sommes au centre de ce cycle et aussi de celui de la précession des équinoxes. Un message laissé par le Créateur de L’Univers dans la Grande Pyramide de Gizeh nous avertit des changements liés à ces deux cycles. C’est ce que j’ai traduit dans l’ouvrage cité plus haut. La ceinture de photons se présente sous l’aspect d’un tore stabilisé autour de Alcyone. Cette étoile est le Soleil central autour duquel gravite notre Système solaire dans un cycle de 26 000 ans. Tout au long de cette révolution, il traverse ce nuage à deux reprises et y demeure, d’après ce schéma, environ 2 000 ans à chaque hémicycle. J’ai tendance à penser qu’il y reste en fait beaucoup moins de temps, seulement quelques décennies, au cours desquelles de grands bouleversements s’opèrent dans l’Humanité. Je n’ai en fait pas de certitude dans ce domaine. La dernière immersion correspond à la fin de la phase atlante de notre évolution, et le passage actuel, aux évènements que nous vivons de nos jours. Certains qualifient la ceinture de photons d’accoucheuse d’Humanité. C’est tout dire. Je ne suis pas tout à fait d’accord avec l’expression « years of darkness » (années de ténèbres) pour évoquer les 22 000 ans de pérégrinations en dehors de la ceinture de photons, car, à mon avis, ils couvrent les expériences de gestation qui mènent aux grands chambardements. Il ne saurait donc être question de considérer ces années comme sombres. Je tiens à signaler que les Pléiades occupent une place importante dans les mythologies, sauf que les neuf étoiles sont en général sept, les seules visibles à l’œil nu. Il est intéressant de noter que « Les Neuf Sœurs » est également le nom donné à l’une des plus prestigieuses loges maçonniques, celle dont Benjamin Franklin a été, un temps, le « Vénérable Maître » et où Voltaire a été initié. Je parle ici de l’époque révolue où la franc-maçonnerie envoyait ses lumières au siècle du même nom. Depuis, elle a subi plusieurs coups dont ceux des Perfectibles, ou illuminés de Bavière (illuminati), et du darwinisme social. Voici le schéma proposé :

Dans la foulée, j’ai repéré cette vidéo que je vous transmets également. Elle illustre de façon simple le mécanisme du cycle et les commentaires le mettent clairement en relation avec les évènements que nous vivons actuellement. Elle anticipe en plus ceux à venir. Le visionnage de cette vidéo ne dure que 8 minutes et 21 secondes au lieu des 21’ 21” annoncées. Curieusement, les dernières minutes sont un arrêt sur image ; il est donc inutile d’aller jusqu’à la fin. L’animation nécessite des « mise sur pause » si l’on veut bien visualiser les mouvements présentés.

Grâce à ces deux premiers documents, vous comprendrez que la catastrophique gestion de la situation qu’en font présentement les plus basses instances de l’Univers est inscrite dans une succession logique d’évènements qui dépassent notre espace-temps terrestre. Ce n’est qu’un passage transitoire, mais obligé, vers la Lumière. Tout le monde sait que c’est juste avant que le Soleil ne pointe à l’horizon que la nuit est la plus profonde et au maximum de sa fraîcheur. Pour prolonger cette partie de mon exposé, je joins un agenda imaginé par un internaute et qui me semble correspondre au scénario le plus plausible :

Il faudra à chacun beaucoup de patience et de courage pour faire face à l’assaut qui est donné à l’Humanité à l’approche des fêtes de fin d’année, en attendant que les assaillants soient détruits par la bête qu’ils ont eux-mêmes créée. Ce pourrissement n’est lié à aucun besoin sanitaire objectif et il est prévu depuis longtemps, sans aucune justification raisonnable. Ce durcissement, sans limites hors celles que nous lui imposerons en réaction, vise à en faire retomber la responsabilité sur ceux qui ont déjà fait un petit pas vers la Vérité, les réfractaires aux in-jections. La suite sera à la hauteur de nos attentes et des délires vax.i.naux ambiants.

Je suis parfaitement conscient que ce qui suit va être, pour beaucoup, très difficile à admettre. Je dois tout de même avertir tout le monde que l’un des objectifs des manœuvres autour de ces vax.i.nations, est de réduire drastiquement, à court et moyen terme, la population mondiale par l’action des n.a.n.o par-ti-cules d’oxydes de graphène contenus dans les doses in-jectées. Grâce à ces technologies, inspirées par des êtres venus d’ailleurs, on peut fabriquer les matériaux les plus durs et les plus résistants connus à ce jour. Avec des dimensions de l’ordre du milliardième de mètre, ces éléments artificiels s’immiscent et s’accumulent, au fil des piqûres, partout dans le corps humain, avec une très faible perte et l’impossibilité, pour l’organisme, de s’en débarrasser par les moyens habituels dont il dispose. Heureusement qu’il existe d’autres solutions faisant appel aux médecines énergétiques et à l’action divine directe. Veuillez considérer ce message comme le plus important de l’ensemble de cette publication. Il justifie à lui seul l’exposé de tout le reste. Nous aurons largement l’occasion d’en reparler, en temps utile. C’est sur le mode de lames de rasoirs n.a.n.o métriques qu’agissent les n.a.n.o part-icules d’oxydes de graphène. Au contact avec ces n.a.n.o armes de destruction massive d’un nouveau genre, les membranes des cellules et les parois des vaisseaux sanguins sont sectionnées. L’analogie avec les fameux couteaux japonais est flagrante. Les maîtres couteliers du pays du Soleil levant utilisent des aciers parmi les plus durs connus, et les affinent artisanalement jusqu’à les rendre le plus tranchant possible. Le fait de poser cet outil sur la chair suffit à la découper. Dans le cas qui nous préoccupe ici, c’est au niveau cardiovasculaire que se manifestent la plupart des conséquences que nous connaissons, mais qui restent ignorées des « grands médias » : crises cardiaques, phlébites, AVC, hémorragies, paralysies, crises d’épilepsie, malformations fœtales, troubles menstruels, myocardites, micro-thromboses, etc. Je parle bien ici de complications escomptées et non pas d’effets secondaires indésirables. Une autre supercherie va tomber : celle des tests PCR et antigéniques. Ils ne sont absolument pas fiables et dépendent de la sensibilité utilisée. Autrement dit, les analystes peuvent leur faire raconter ce qu’ils ont décidé de faire croire, sans que personne ne puisse dire quoi que ce soit d’autre. Vous comprenez que les marionnettes des gouvernements sont manipulées pour aller vite, avant que tout ceci ne se sache. L’échec est assuré car ça finira inévitablement par être connu, mais à quel prix ? Pareillement, il sera impossible de continuer de faire croire que les hospitalisations pour cause de Covid concernent majoritairement les non-vax.inés, car, en France, depuis le début du mois de décembre 2021, les courbes montrent une prédominance de vax.inés parmi les victimes. Selon les chiffres fournis officiellement et publiés le 3 décembre dernier par le journal « Libération » (rubrique CheckNews) ces derniers représentent 57 % des hospitalisés contre 43 % parmi les réfractaires aux piqûres. Les proportions sont de 50/50 pour les admissions en soins critiques et les décès de seulement 46 % parmi les non-vax.inés. Et bien sûr, l’âge moyen des morts tourne toujours autour de 81 ans, c’est-à-dire l’espérance de vie en France ! Il faut toutefois préciser que ces chiffres avaient été donnés par Libé en réponse au docteur Karine Lacombe qui affirmait, quelques jours plus tôt, que les non-vax.i.nés représentaient 80 % des hospitalisés. Étant donné que la proportion des vax.i.nés est, en France, de 90 % des plus de 12ans, la conclusion est sans appel : vax.i.nez-vous puisque vous aurez ainsi 7 fois moins de chance de finir à l’hôpital. Mais voilà, dans ces statistiques, aucun chiffre ne rend compte des effets secondaires et des complications génocidaires énumérées plus haut. Il va donc falloir attendre encore un peu et se garder de se fier aux statistiques publiées, d’où qu’elles proviennent.

Je suis toujours tout à fait conscient que tout ceci, malgré sa simplicité de compréhension, va être impossible à accepter pour ceux qui ne veulent pas en entendre parler. J’estime cependant que je n’ai pas le droit de me taire. Je vous invite à consulter le premier article de mon blog pour en découvrir un peu plus sur les pouvoirs merveilleux des autres composants in-jectés et sur les relations entretenues par certains humains avec nos sympathiques visiteurs.

Pour terminer cette longue publication, je vous fais parvenir une photo du Georgia Guidestones. Ce célèbre monument se trouve aux États-Unis, dans l’état de la Géorgie. Il a été commandité en 1979 par un mystérieux personnage qui portait le pseudonyme de Robert C. Christian. Il n’est pas indispensable d’être calé en histoire de l’ésotérisme pour constater une ressemblance patronymique avec Christian Rozenkreutz (le chrétien à la rose et à la croix), pseudonyme d’un philosophe allemand ayant vécu entre les XIV° et XV siècle et auteur des premiers manifestes rosicruciens. L’ordre de la Rose-Croix a fourni au cours de son histoire d’innombrables maîtres spirituels qui ont guidé l’Humanité et apporté leurs connaissances à différentes époques de l’Histoire.

Ce monument est constitué de six blocs de granite de 5,87 mètres de haut comportant dix inscriptions, ou « commandements », rédigés en plusieurs langues. Le Georgia Guidestones a été édifié pour avertir les êtres humains en quête de vérité, de spiritualité ou plus simplement d’humanisme, de ce qui les attendait. C’est en partie pour les mêmes raisons que la Grande Pyramide de Gizeh avait été construite, il y a de cela 12 000 ans… Ces dix « commandements » ne doivent pas nécessairement être interprétés au pied de la lettre, ni être imputés à des entités malveillantes, ce que certains ont tendance à faire. Il s’agit plutôt de messages adressés à ceux qui veulent bien les comprendre. Il comporte plusieurs niveaux d’entrée et d’interprétation. Tout d’abord, plutôt que de « commandements », il serait plus approprié de parler d’alertes et de suggestions concernant le proche avenir de l’Humanité. Ces propositions pourraient laisser entrevoir des intentions pernicieuses, avec en filigrane, celles du Dieu universel. Connaissant un peu la philosophie rosicrucienne et son respect pour le libre arbitre de chacun, le moteur de l’évolution, c’est vers cette exégèse que j’ai tendance à pencher. C’est à vous de voir…

Voici à présent la traduction française de ces inscriptions. Ce sont surtout les deux premières injonctions qui interpellent, et il n’est pas anodin de les trouver en tête. S’agit-il d’une mise en garde contre l’eugénisme et le transhumanisme, ou de l’énoncé de lois naturelles ? GUY FAURE.

(1) Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

(2) Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.

(3) Unissez l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.

(4) Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération.

(5) Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.

(6) Laissez toutes les nations gérer leurs affaires intérieures, et régler les dissensions externes devant un tribunal mondial.

(7) Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles.

(8) Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux.

(9) Faites primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.

(10) Ne soyez pas un cancer sur la terre, laissez une place à la nature.

Vous pourrez retrouver cette publication sur ma page Facebook, accessible à partir de l’onglet Fb de ce blog.

Rappel du lien de téléchargement du livre « Kheops : le sceau de l’architecte » : https://vu.fr/W0PA

ARTICLE 5 du 20 novembre 2021 : appel aux consciences

APPEL AUX CONSCIENCES

Si vous êtes foncièrement ou partiellement en accord avec les ripostes actuelles du peuple guadeloupéen, alors cette publication vous est destinée, que vous habitiez en France, que vous soyez francophone, ou plus largement habitant de la planète Terre. Ce message est un appel au soulèvement pacifique des consciences, pas pour l’immédiat, mais dans un avenir très proche. Le b.l.o.c.age pacifique du pays par un mouvement populaire est la seule alternative à la dictature sanitaire en marche. L’heure est à l’action et non plus aux discours, aux manifestations répétitives ou aux grèves ponctuelles. Tout ceci fait le jeu des médias propagandistes et donc, automatiquement, des pouvoirs en place.

Cet appel est également destiné aux forces de l’ordre et à celles de défense (armées) afin qu’ils se joignent à ce mouvement en le canalisant vers les lieux stratégiques ou symboliques. Le départ doit venir des peuples, dans le calme général et l’apaisement mental. Loin de moi l’idée de l’instauration d’une dictature militaire, et si les corporations susnommées doivent coordonner un plan, ce sera pour une courte période, afin de garantir la paix et la sécurité de TOUS, le temps qu’une gouvernance de sages humanistes s’installe. La sécurité de tous inclut naturellement celle des actuels maîtres du chaos vers lequel nous glissons. Ces derniers devront donc être assignés à résidence, surveillés et protégés. Il faut bien comprendre cette double nécessité.

Si vous êtes, par principe, en résonance avec quelques-unes de ces propositions, je vous invite à le faire savoir en likant, en partageant, en commentant, et surtout en nous rejoignant sur mon blog. Les détails de l’opération ne sont pas encore à l’ordre du jour. Un mot d’ordre pour résumer : NON-VIOLENCE. (GUY FAURE).

ARTICLE 4 du 24 octobre 2021 : saut quantique de la terre et changements climatiques

SAUT QUANTIQUE DE LA TERRE ET CHANGEMENTS CLIMATIQUES

La perspective de la 25e Conférence of the Parties, ou COP 26 (celle de 2020 a été annulée pour cause de pandémie) qui se déroulera à Glasgow entre les 1er et 12 novembre prochains m’a réveillé et incité à ressortir une étude que j’avais rédigée juste avant la vingt et unième et que je n’avais d’ailleurs communiquée qu’à un nombre très restreint de personnes. Pour cette nouvelle version je me suis très largement inspiré de ce travail initial en le mettant simplement à jour. La COP 21 a été la plus mémorable, surtout pour les Français, car elle se déroulait à Paris, fin 2015, sous la présidence de Laurent Fabius, devenu depuis Président du Conseil constitutionnel. Je dois vous avertir que les conclusions auxquelles j’étais arrivé sont d’autant plus déroutantes qu’elles vont à l’encontre du consensus scientifique. Le propos majeur de cette publication est en effet de revenir sur une croyance, solidement ancrée dans l’opinion, concernant les fondements des changements climatiques. Il n’y a pas, en réalité, de gaz à effet de serre (GES) dans la genèse du réchauffement de la Terre. Comme pour tous les remaniements climatiques du passé, récents ou lointains, les facteurs sont naturels et les agitations humaines n’y sont pour rien, ou alors pour une part infime. Voici sans plus tarder de quoi il retourne.

En premier lieu, et puisqu’il est question de réchauffement, synonyme de hausse de température, il est indispensable de savoir exactement ce que celle-ci évalue, ce que ce terme recouvre précisément, sans quoi il ne vous serait pas possible de suivre le cours de mes explications. Ce préliminaire pourrait sembler inutile tant cette notion est simple et commune. Toutefois, à la question : Qu’ est-ce que la température ? Qui peut répondre avec clarté et exactitude ? À franchement parler, pas grand monde hormis les scientifiques. En fait, la température mesure le mouvement des atomes ou des molécules au sein d’un solide, d’un liquide ou d’un gaz et, de manière plus générale, l’agitation dans toute entité physique. Quand on parle de réchauffement planétaire, on relève tout simplement une intensification de l’activité de toutes les molécules et de tous les atomes qui composent notre planète et son atmosphère. C’est le même processus qui se produit lorsque la température du corps s’élève et se transforme, ou non, en fièvre. Dans ce cas, nous avons une réactivité de notre organisme qui se met en route dans le but de se défendre contre un dérèglement, comme l’apparition de virus. Selon la théorie qui nous est pour l’heure infligée, sans alternative possible, ce phénomène est provoqué par des gaz qui surchargent l’atmosphère terrestre et engendrent une amplification de l’effet de serre à la surface de la Terre. Propulsée au rang de doctrine universelle, c’est cette théorie qui est désormais exclusivement privilégiée depuis le rapport du Groupe Intergouvernemental des Experts en Climatologie (GIEC) paru en 2000-2001. Certains des « experts » qui l‘ont développée et exaltée y adhèrent en toute bonne foi, mais ils ont misé sur le mauvais cheval : le réchauffement observé dérive directement de l’accélération des mouvements des électrons au sein même de chaque atome, suivant pour cela un mécanisme dont je vais m’efforcer de vous donner un aperçu, le plus simplement possible.

Notre Système solaire se promène actuellement, et ce depuis plusieurs années, dans un champ énergétique majoritairement constitué de photons. Cette énergie imprègne chaque atome et se transmet à eux. Ce sont les électrons qui en sont les bénéficiaires. Leurs vitesses de rotation autour du noyau et de leur axe (le spin des physiciens), s‘intensifient. Ces modifications cinétiques ont pour répercussion, au niveau sensible, l’amplification de la chaleur émise. C’est cela que l’on évalue, au final, sur nos thermomètres. C’est l’élévation du niveau d’énergie de chaque atome qui est le moteur du réchauffement climatique et non l’augmentation du taux de certaines molécules dans l’atmosphère terrestre. Il est capital de comprendre que la mutation de l’état quantique des atomes est cumulative et irréversible. Cette transformation est cumulative parce que ses effets s’additionnent au cours du temps (comme pour les rayons X dans notre corps) : ce qu’il se passe à un instant (t +1) s’ajoute à ce qu’il s’est passé à l’instant (t), et ainsi de suite. Il en résulte que le processus du réchauffement va en s‘accélérant, dans un cheminement vaguement exponentiel. Mathématiquement, ce terme décrit un comportement qui se différencie d’un accroissement dit linéaire, plus lent et régulier, comme le décrivent quasiment les modèles version GES. Il est vrai que certains experts en climatologie ont maintenant intégré cette accélération mais ils restent malgré tout bien loin de la réalité. Les rapports qui ont suivi celui de 2001 ont bien sûr confirmé les conclusions des précédents et nous attendrons les prochains pour voir sur quelles nouvelles fictions les scientifiques du GIEC, seuls spécialistes autorisés à s’exprimer sur ce sujet, vont s’appuyer pour justifier leur doctrine. D’autre part, le processus est irréversible parce que, lorsque le Système solaire sortira de ce champ d‘énergie, le résultat persistera, les atomes étant alors stabilisés dans un nouvel état quantique. Si vous êtes curieux et investigateur, vous ne manquerez pas d’aller vous informer et vous constaterez que le mécanisme de réchauffement est passé à la vitesse supérieure depuis 2013. Je parle bien sûr ici des moyennes mondiales et non pas seulement françaises.

Voilà ce que j’avais à vous transmettre sur ce problème. Des renseignements complémentaires plus techniques pourront vous être fournis par les hauts responsables de la NASA qui sont plus ou moins contraints de garder le silence jusqu’au grand déballage à venir, le saut quantique de la Terre n’étant pas encore à l’ordre du jour. Tout ce que je peux dire, c’est que ce champ d’énergie émane de la constellation des Pléiades et se trouve donc hors du Zodiaque. Les cycles de Milankovitch et solaires ne sont pas plus impliqués. On se trouve dans une situation similaire à celle que nous avons connue il y a quelques siècles lorsque l’obscurantisme de l’Église catholique dictait au soleil de graviter autour de notre planète. La divergence avec aujourd’hui est que cette représentation de l’univers ne faisait courir aucun risque capital à l’humanité pour sa survie. Bien sûr, l’attiédissement du climat mondial entraîne toutes les autres altérations climatiques, et ces retombées sur les paramètres météorologiques étant largement étudiées par les experts du GIEC, il est superflu que je m’y appesantisse.

La montée des moyennes de la température est donc concomitante de la position du Système solaire dans notre galaxie. On pourrait trouver bien d’autres incidences. Entre autres choses, les scientifiques vont bientôt constater, si ce n’est déjà fait, des fluctuations dans la durée de vie de certaines particules élémentaires et dans la période de certains éléments radioactifs, sans trop pouvoir interpréter ce qu’il se passe. C’est en définitive toute la matière qui est en mutation, avec des impacts considérables et imprévisibles dans les sphères auxquelles cette matière sert de support : la vie, la pensée, les affects. C’est ici que réside le facteur primordial de l’exacerbation, depuis quelques décennies, de tous les comportements humains dans ce qu’ils ont de pire, mais aussi de meilleur. Quoique ce meilleur soit pour le moment largement surclassé par le pire, c’est dans cette quintessence que notre imagination devra puiser pour trouver les adaptations cruciales à l’ensemble des variations climatiques, et non dans des recherches de productivité et de croissance à tout prix, même lorsque celles-ci incluent des motivations dites “respectueuses de l’environnement”.

L’épilogue de tout cela coule de source : les résolutions incertaines dans le but de contenir ces modifications de températures seront totalement inadaptées comme pour les 24 conférences précédentes, mais elles pourraient continuer à nous faire adhérer à l’idée d’une maîtrise du climat. Si de nouveaux accords pouvaient être signés dans la suite des précédentes réunions, les conséquences seraient certainement positives pour l’ensemble de nos émissions polluantes. Ce ne serait déjà pas mal, bien que je ne croie pas du tout à de tels engagements, dans l’état actuel des choses. Quoi qu‘il arrive, et comme je viens de vous l‘expliquer, il n’y aura pas d’incidence sur le contrôle du réchauffement planétaire et encore moins sur l’ensemble des mutations climatiques. Celles-ci étant inévitables car naturelles, seule l’adaptation doit prévaloir.

L’objectif déclaré de ces conférences aussi inutiles que dispendieuses est de ne pas dépasser 2 degrés d’augmentation par rapport à l’ère préindustrielle (avant 1850). Certains vont même jusqu’à proposer la limite de 1,5 °C, alors que nous y sommes presque. Vous pourrez vérifier que tout cela ne peut pas être pris au sérieux en vous penchant sur les données fournies par les organismes “compétents”, tout en prenant garde, pour les résultats consultés, à bien considérer la période de référence à laquelle les moyennes sont comparées. Par exemple, pour l’année 2016, la moyenne présente une anomalie de +0,64 °C par rapport à la période 1981-2010 (les 30 années de référence pour l’estimation des normales de saison) tandis que cette anomalie est de +1,28 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Dans les prévisions et les analyses, il faut vérifier si c’est bien cette référence qui est prise en compte. En d’autres termes, je tiens à vous prévenir de l’argumentation des spécialistes, prix Nobel ou non, qui n’hésitent pas à « moduler » les données brutes pour les faire entrer dans leurs théories, ou leurs intérêts, tout comme les astronomes du passé inventaient des mouvements planétaires pour expliquer la révolution du soleil autour de la Terre. À chaque époque, ses égarements et ses rectifications éventuelles. Pour vous faire une idée de l’ampleur des mensonges consciemment formulés, je vous renvoie à la vieille affaire de la “crosse de hockey” du rapport de 2000-2001, et à la courbe présentée par Al Gore dans le film sorti en 2006 “Une vérité qui dérange” (à ne pas confondre avec le film français ”La vérité si je mens”).

Pour terminer, je voudrais mettre en relief la position des dirigeants du monde entier. Ils se moquent complètement de l’état de la planète, comme de votre santé d’ailleurs, et ils ont de plus en plus de mal à nous faire croire le contraire. Ils s’en foutent en dehors des périodes électorales, car ils savent très bien qu’ils n’ont aucun pouvoir décisionnel sur ces sujets, lesquels appartiennent à d’autres, financiers par exemple. Ils se sentent d’autant moins concernés qu’ils imaginent l’existence d’un plan B pour eux et leur proche. Et c’est bien là leur erreur capitale. Ils auront en effet, tôt ou tard, à répondre de leurs agissements.

ARTICLE 3 du 20 septembre 2021 : l’histoire revisitée (2eme partie)

Cette troisième publication est la suite directe de l’article 2 et elle est donc à consulter dans la continuité des deux premières. Elle concerne plus particulièrement l’écrivain anglais Christopher Marlowe. Dès mon retour en France, au début de l’automne 1987, je me renseignai sur cet auteur dont je n’avais jamais entendu parler auparavant. C’est un dramaturge de l’époque élisabéthaine contemporain de William Shakespeare. Il est né vers le 23 février 1 564, soit environ deux mois avant l’auteur de Hamlet, et mort officiellement à l’âge de 29 ans, le 30 mai 1593. Nous avons très peu d’informations sur sa vie, mais nous connaissons en partie son œuvre dont « La Tragique Histoire du Docteur Faust », pièce de théâtre inspirée d’une vieille légende allemande et reprise plus tard par Goethe. Les termes que je vais utiliser pour en faire le synopsis sont ceux du livre et chacun pourra leur attribuer la signification qui lui convient. Il s’agit d’une fable contant le drame d’un homme qui vend son âme au diable. Celui-ci envoie un messager qui, sous la plume de Marlowe, prend le nom de Méphistophélès. Faust doit rédiger les clauses du pacte qui le lie à cette incarnation satanique avec son propre sang. Il l’échange contre les 24 années à venir. Durant cette nouvelle vie, il lui sera donné la possibilité de concrétiser, en utilisant la magie noire, ce qu’il n’a pas pu réaliser avec son savoir-faire passé. Le sang est le fluide par lequel le diable pourra manipuler Faust jusqu’à ce que son messager vienne le chercher afin de le conduire, pour l’éternité, là où l’on sait, un lieu qui n’existe évidemment que dans l’imaginaire de certaines religions. Depuis cette farce tragique, les procédés ont évolué et vous avez certainement compris, qu’à l’époque actuelle, Méphisto utilise toujours le sang, mais en injectant directement le mal par le biais de seringues, en échange d’avantages qui ne sont pas forcément diaboliques, mais dont le choix n’est pas autre chose qu’une reddition de la conscience (voir à ce sujet l’article 1 du 7 août 2021 et le post Facebook du 31 janvier). Cette dégradation du rôle de l’âme humaine dans le processus de l’évolution spirituelle est à mettre en opposition avec le plan du Dieu universel dévoilé dans mon livre « Kheops : le sceau de l’architecte » disponible en PDF à partir de ce blog. Dans la pièce de théâtre qui se joue présentement sur notre planète, et mise en parallèle avec les mésaventures du docteur Faust, le lecteur est évidemment libre de choisir la distribution des rôles.
J’en reviens à Marlowe et à ce qu’a pu me raconter mon amie Gracie à son sujet durant l’été 1987, lors de mon séjour aux Bahamas. Tout ce qui suit est basé sur ces révélations, augmenté des informations que j’ai pu collecter plus tard, l’ensemble enrobé des ingrédients que mon intuition m’a suggéré sur cette vie passée. Il s’agit d’un récit un peu romancé qui pourrait comporter quelques inexactitudes. J’estime cependant que je suis assez bien placé pour vous le proposer, sans vous l’imposer. Les découvertes à venir corrigeront ce qui doit l’être. En fait, le décès du jeune dramaturge survenu le 30 mai 1593, et confirmé par le légiste, n’était pas réel. Il s’agissait d’une mise en scène dont l’objectif était de le soustraire à une société londonienne dans laquelle il ne se reconnaissait pas du tout. Orchestrée par lui-même et quelques amis, sa mort serait survenue au cours d’une rixe dans laquelle il aurait eu le crâne fracassé, rendant ainsi son identification impossible. C’est ce rapport qui a été officiellement retenu par les historiens, avec toutefois quelques réserves, il faut bien le dire. La victime était en réalité une autre personne. Après ces faits, Marlowe a pu commencer une nouvelle vie et continuer à participer à l’œuvre collégiale faussement attribuée à William Shakespeare. Puis, il s’est rendu en Italie où les valeurs de la Renaissance italienne ont permis à son tempérament de libre-penseur de s’exprimer plus sereinement. Nos amis astrologues comprendront aisément ce départ, car 29 ans est précisément la durée d’une révolution saturnienne, et par conséquent, le bel âge pour mourir et renaître. Durant ses vies londoniennes et transalpines, il a notamment rédigé « Hamlet », « Othello », « Le Roi Lear », » Le Songe d’une Nuit d’été », et d’autres pièces dont l’action se situe en Italie. Je ne suis, hélas, pas en mesure de fournir la liste complète, ni de donner plus de précisions. Si vos recherches personnelles vous conduisent à une chronologie incohérente, ne vous tracassez pas car l’académique et la réalité nécessitent des approches complètement différentes, en Histoire comme dans tant d’autres disciplines (la virologie par exemple…)
L’œuvre shakespearienne comprenant l’ensemble de la quarantaine de pièces de théâtre (le nombre varie d’une source à l’autre) et les 154 sonnets connus, est en réalité celle d’un collectif d’écrivains constitué de quatre personnages principaux : Francis Bacon, Édward de Vere (comte d’Oxford), Ben Jonson (dramaturge auteur de « Volpone »), et Christopher Marlowe. Là encore, j’ignore les rôles exacts joués par chacun, leur production réelle, et si d’autres contemporains ont fait partie de cette aventure littéraire. Quant au natif de Stratford-upon-Avon, il n’a vraisemblablement rien écrit de toute sa vie car rien ne nous est parvenu qui attesterait du contraire. Nous avons à notre disposition, en tout et pour tout, six signatures apposées en bas de documents officiels, et absolument rien d’autre. En outre, il est bon de savoir qu’on ne trouve nulle part la trace d’éventuelles études supérieures contrairement à tous ses contemporains, et que selon son ami Ben Jonson, « il avait peu de latin et encore moins de grec », or à l’époque, la quasi-totalité des textes scientifiques et historiques étaient rédigés en latin et en grec. Enfin, le sociétaire et actionnaire du Théâtre du Globe, celui-ci un temps dirigé par Francis Bacon, n’aurait jamais voyagé au-delà de son lieu de naissance et de Douvres. Bien sûr, tout ceci ne démontre rien, et je ne veux d’ailleurs rien prouver, mais, avec ce que nous savons de Shakespeare, nous sommes en droit de nous demander comment il a pu acquérir le savoir nécessaire à l’élaboration de ces pièces, et là, nous nous approchons, sans toutefois les concurrencer, des délires officiels qui entourent la conception et la construction de la Grande Pyramide de Gizeh (celle dite de Khéops).
Une question vient immédiatement à l’esprit : pourquoi tant de mystère autour de l’œuvre shakespearienne et de ses contributeurs ? On trouve à cela quelques explications. Tout d’abord, il est bon de savoir que dans l’Angleterre élisabéthaine, très religieuse et puritaine, on était bien loin des valeurs nées de la Renaissance italienne. La dictature de Cromwell était encore lointaine, mais on sortait à peine des délires tyranniques et sanguinaires de la fin du règne de Henri VIII. C’est donc dans un contexte timoré que s’est épanouie la poussive Renaissance anglaise, dont l’apogée se situe dans la deuxième partie du XVIe siècle, sous le règne de la Reine vierge (Élisabeth, la première du nom). Dans cette conjoncture, le théâtre et la poésie étaient considérés comme de viles pratiques réservées à la population inculte. Il n’en demeure pas moins que certains aristocrates et hauts fonctionnaires s’y adonnaient, mais en se faisant le plus discrets possible. C’était le cas de Édward de Vere auquel on peut par ailleurs attribuer la paternité des Sonnets. Quant à Francis Bacon, qui a occupé plusieurs postes à responsabilités sous les règnes d’Élisabeth 1ere et Jacques 1er, en devenant même Grand Chancelier (Premier ministre) de ce dernier, il jouait le rôle de mécène protecteur des artistes de son époque et coordinateur de leurs différents rôles. Connaissant parfaitement les méandres du pouvoir, il est vraisemblablement l’auteur de certaines tragédies historiques et politiques. C’est lui qui s’est chargé de faire disparaître tous les manuscrits des vrais auteurs et à ce sujet, il a déclaré qu’ils ressurgiraient un jour. Je me dois de rapporter qu’une commission d’experts vient récemment de reconnaître officiellement la contribution de Marlowe à la rédaction des trois volets de Henri VI. Depuis ces conclusions, toute nouvelle édition de cette trilogie doit porter les noms des deux coauteurs.
Les restrictions imposées par les us et coutumes de la société élisabéthaine du XVIe siècle n’expliquent pas tout, tant s’en faut. J’en arrive donc tout naturellement à une exégèse plus approfondie de ce qui reste caché et que les historiens s’obstinent à ignorer. Ce qui reliait les acteurs de ce récit, c’est une société secrète dont en fait, je ne peux pas dire grand-chose sinon qu’il y avait à sa tête un Maître Rose-Croix dont l’influence fut comparable à celle qu’aura, cent cinquante ans plus tard, au Siècle des lumières, le comte de Saint Germain. Les « érudits » qui écrivent les manuels scolaires et dispensent des cours dans les universités n’ignorent pas l’existence de ces personnalités mais ils leur attribuent en général des rôles anecdotiques. Dans leur conception de l’Histoire, ils retiennent et enseignent principalement les faits dûment datés, les guerres et les batailles, les décrets et la succession des princes régnants. Dans cette approche tronquée, les personnages historiques connus, qui s’adonnaient aux pratiques occultes et aux recherches ésotériques en marge des activités qui les ont rendus célèbres, ne pouvaient le faire qu’à titre de loisirs condamnables ou d’égarements passagers, alors qu’en fait, leurs décisions, leurs actions et leurs découvertes étaient souvent dictées par des considérations issues de leurs propres recherches secrètes. Il me revient, à cette occasion, les propos d’un historien qui déplorait qu’Isaac Newton se soit préoccupé de sujets occultes au lieu de se consacrer uniquement à des recherches « sérieuses ». Si ce savant s’était rendu à la bibliothèque de l’université de Cambridge, il aurait eu accès aux manuscrits, récemment dévoilés, du célèbre scientifique, et aurait pu vérifier qu’il y est surtout question d’astrologie, d’alchimie, de philosophie rosicrucienne et de son intérêt pour les pyramides d’Égypte, les mathématiques et la physique n’occupant qu’une place secondaire. Je voudrais également souligner ce dont peu de personnes ont connaissance, à savoir que Newton est à l’origine de la création des premières loges maçonniques de Londres, parmi lesquelles, celle où fut initié Montesquieu. « Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » (Honoré de Balzac). Il me faut de plus préciser que les secrets soigneusement gardés par les confréries sont moins issus de caprices que de la nécessité de se protéger des foudres des religions officielles, et de préserver le commun des mortels de connaissances qui les déstabiliseraient. Il en a toujours été ainsi. En d’autres termes, il appartient à ceux qui se doutent qu’on leur cache des éléments de Vérité, de refuser les mensonges et d’aller voir ailleurs si, par hasard, elle n’y serait pas, cette Vérité…en premier lieu, dans leur conscience. Comme je pourrais me montrer intarissable sur ce chapitre, je préfère m’arrêter là et revenir au cœur du sujet de cette communication.
Malheureusement, je ne peux pas dire grand-chose de plus que ce que je viens de communiquer sur Marlowe et son époque. Je ne connais ni ses conditions de vie en Italie, ni la date de sa mort réelle. Il nous faudra donc attendre le retour des manuscrits et de documents complémentaires pour en savoir un peu plus sur ces questions. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la preuve que ces originaux existent réside justement dans leur disparition totale…en attendant leur retour. Comme ils n’ont pas pu s’autodétruire, quelqu’un les a fait disparaître . Cependant, il demeure toujours possible que, dans l’effervescence des évènements de notre Histoire, ils aient fini par se volatiliser, pour de bon cette fois. J’en profite pour lancer un appel à la société secrète qui les détient et aux autres confréries qui, depuis l’antiquité, ont pu sauvegarder tant de pièces à conviction de notre Histoire, la Vraie. Nous entrons dans la période des révélations (apokalupsis en grec) et il est temps de réagir afin d’en terminer avec l’obscurantisme matérialiste. J’essaie d’apporter ma part, du mieux que je le peux. GUY FAURE

Article 2 du 8 septembre 2021 : l’histoire revisitée (1ere partie)

La fin de l’article 1 publié le 7 août dernier intrigue, c’est le moins que l’on puisse dire. Il m’appartient donc d’en donner une suite, ce que je comptais faire à plus ou moins longue échéance. En effet, la signature qui ponctue le texte n’est pas banale puisqu’elle est triple. Trois signataires là où habituellement on n’en trouve qu’un ! Quelques explications s’imposent. En premier lieu, je voudrais apporter des précisions sur le cycle que l’on appelle la réincarnation. Il ne s’agit absolument pas d’en débattre et d’argumenter car il n’y a pas lieu. Tout est cyclique dans l’Univers et rien ne vient du néant pour y retourner. Aucun être humain n’échappe à cette loi universelle. Comme l’étymologie du mot l’indique, la réincarnation est tout simplement un retour dans la chair. Revenir dans un corps physique ne signifie pas retour de la personne. Lorsque l’Esprit s’incarne, ce n’est ni un état civil ni un curriculum vitæ qui le fait. C’est un autre être qui arrive pour vivre de nouvelles expériences avec la quintessence de tout le potentiel acquis par le passé et avec également les égarements à rectifier. Il n’est donc pas approprié de dire qu’Untel est de retour lorsque l’on sait qu’il est mort depuis longtemps. Mais l’Esprit, lui, ne meurt jamais et à la mort physique, Il se dégage de la matière avant de se réincarner plus tard. Une personne qui naît arrive donc dans un autre corps, avec dans ses bagages, du bon et du moins bon. Il fallait préciser ces nuances, bien que l’on puisse évidemment, par simplification de langage, parler de retour. Par la suite, je ne ferai jamais cette réduction afin de bien distinguer les personnes ayant vécu à des périodes différentes de l’Histoire. Une autre interprétation a tendance à dissocier le corps de l’Esprit. Ainsi, celui-ci choisirait « au petit bonheur » un nouveau venu. En fait, la réincarnation résulte d’un travail qui prend tout son sens dans l’entre-deux-vies durant lequel l’Esprit humain expérimente dans d’autres dimensions, et l’activité biologique commence dès que les gamètes mâle et femelle s’unissent.

Vous devez vous demander comment il est possible de connaître ses vies passées. Celles-ci restent en général cachées et inaccessibles à la conscience excepté lorsque les entités en charge de l’évolution humaine décident qu’il peut en être différemment. Ce fut mon cas. Il existe effectivement des procédures pour effectuer ce que l’on appelle des régressions mais le résultat n’est pas garanti quand il n’égare pas sur de fausses pistes. Je vais vous exposer comment cela s’est produit pour moi, à une époque où je n’éprouvais aucune curiosité de savoir. Attendez-vous à une histoire un peu étrange.

Le premier épisode se situe dans la nuit du vendredi 7 février 1975, en France, à Marseille. Nous verrons plus tard ce qu’il s’y est passé et je vais me transporter directement à l’été 1987, aux Bahamas. Je travaillais alors au Club Med en tant que moniteur de plongée subaquatique. On m’avait proposé un contrat de six mois au village situé sur l’île d’Eleuthera, non loin de la capitale Nassau. Parmi mes collègues de travail, une jeune femme en particulier semblait s’intéresser à ma personne. Pensant, de prime abord, qu’elle en voulait à ma vertu, ce qui arrive assez fréquemment dans le lieu où j’exerçais, j’ai rapidement compris qu’il y avait quelque chose d’autre. Les motivations n’étaient en fait que spirituelles. Ouf ! Je l’avais échappé belle. Bref, nous nous rencontrions souvent du fait que nous logions au même endroit et nos discussions portaient naturellement sur des sujets surnaturels. Gracie, une Américaine d’origine chinoise, avait développé la faculté de lire l’aura et nous nous amusions beaucoup à essayer de décrypter les gens autour de nous. Je sais qu’il ne faut pas faire ça, mais il n’y avait rien de bien méchant là derrière. Nous abordions divers sujets dont celui de la réincarnation, laquelle n’était plus depuis longtemps une croyance, mais bien une réalité. Au bout de quelques jours, je finis par comprendre qu’elle avait des informations à me communiquer sur mes vies antérieures et que le prélude était terminé. Je lui demandai alors : qui ? Pendant que je lui posais cette question pertinente, une impression vieille d’une douzaine d’années me revint, une forte réminiscence qui m’avait submergé en lisant Guerre et Paix. J’avais eu alors le sentiment bien connu de déjà-vu que j’étais la réincarnation de l’auteur dont j’étais en train de lire l’ouvrage. C’est ce qu’elle m’annonça. Je sentis ma vie basculer dans une autre dimension. Le choc rapidement absorbé, je lui demandai évidemment par quel biais elle était arrivée à cette information. Gracie me raconta que c’est son grand-père qui l’en avait informée quelques heures avant sa mort, survenue le 9 février 1975, date qui est aussi celle de mon anniversaire. Je trouvai cette coïncidence digne d’intérêt et lui posai d’autres questions. Voici ce qu’il en ressortit.

Cette année-là j’avais fêté mon anniversaire dans une salle de travail d’une cité universitaire de Marseille le vendredi 7 car le 9 tombait un dimanche et il n’y a pas beaucoup de monde dans les cités en fin de semaine. Ce soir-là, j’ai pris une cuite monumentale comme ça m’arrivait quelquefois à cette époque. La conséquence est que vers les 4 h du samedi 8, la conscience m’a quitté au point que quelqu’un (je n’ai jamais su qui) m’a ramené dans ma chambre. Je suis sorti de mon sommeil éthylique le samedi vers 11 h, curieusement frais et dispos, sans »gueule de bois ». Selon le récit de Gracie, dans la soirée de ce samedi, son grand-père lui avait demandé de le rejoindre car il avait des choses importantes à lui communiquer. Il lui fit savoir que dans l’après-midi, l’Esprit de Tolstoï lui était apparu pour lui dire qu’il était réincarné et que dans cette nouvelle vie, il avait une mission importante à accomplir, avec la participation de sa petite-fille. Celle-ci devrait inévitablement me rencontrer et me reconnaître par certains signes auriques. Ceci se produisit 12 ans plus tard aux Bahamas. Ces révélations me fournissaient un cap qui me correspondait tout à fait et je partis un peu plus tard pour la France mais sans plus d’informations sur cette mystérieuse mission. Dès lors, une grande aventure commença. Il y a cependant un point qui restait à éclaircir, celui des horaires, qui ne correspondaient pas. Ce détail a vite été réglé. Gracie étant d’origine chinoise, à l’époque des faits rapportés, elle vivait chez ses parents à Singapour, lieu qui présentait avec Marseille un décalage horaire de +7 heures, selon mes estimations. Dès lors, tout concordait.

Pour résumer, j’ai fait la fête dans la nuit du 7 au 8 février. Plutôt éméché, je me suis retrouvé dans un état de conscience très altérée (entre 4 h et 11 h du samedi 8) durant lequel mon esprit a quitté ce corps infréquentable afin d’aller chercher des ressources supplémentaires auprès d’un vieux chinois moribond habitant Singapour. La rencontre des deux esprits s’est produite quelque part entre 12 h et 18 h, heures locales, pendant que je « dormais » paisiblement. Redevenu provisoirement conscient, le vieil homme a pu parler à sa petite-fille dans la soirée, pour lui faire part de cette rencontre. En France, c’était l’après-midi. Puis, il s’est éteint le dimanche 9 février vers les 4 heures jour, de mon anniversaire (samedi 8 février 21 h à Marseille). Sans aucun souvenir de ce qu’il s’était tramé pendant mon inconscience, je mis néanmoins un terme à certains excès après cette nuit.

Voilà comment j’ai pu savoir ce que je n’avais, par ailleurs, pas du tout l’intention de connaître. Ça s’est fait tout seul, naturellement. Par la suite, j’ai eu des confirmations provenant de sources diverses, astrologiques entre autres, mais je n’en parlerai pas. Dans la foulée, j’ai demandé à Gracie si elle avait d’autres informations sur ce sujet. Elle me sortit un nom que je n’avais jamais entendu prononcer auparavant : Christopher Marlowe. Elle commença à me donner des informations et me précisa que c’était un écrivain anglais du XVI° siècle. Afin de ne pas être trop long, je m’arrête là pour cette deuxième publication. Je vous réserve la suite pour la prochaine.

Article 1 du 7 août 2021 : le plan de vaccination mondial

BIENVENUE À TOUS

Les articles de ce blog prolongent deux précédentes publications, le livre Kheops : le sceau de l’architecte et le post Facebook daté du 31 janvier 2021, toutes deux accessibles librement à partir des onglets du menu (livre PDF) et (post FB). Je vous invite à les consulter de préférence dans l’ordre de parution, bien que ça n’ait pas réellement beaucoup d’importance. J’ai choisi de m’exprimer dans un site par commodité, pour la facilité à y ajouter du contenu sans qu’il soit dispersé un peu partout ou qu’il se perde… J’y ai casé d’anciennes publications FB telles que textes et documents. J’approvisionnerai les onglets du menu en fonction de mes découvertes. Vous remarquerez que ce blog est très épuré dans sa présentation. Cette simplicité est davantage le fait d’une répulsion naturelle envers les outils Internet que celui d’une préférence personnelle. Il évoluera, de toute façon.

Chaque fois que je ferai paraître un nouvel article sur la page d’accueil, je laisserai les plus récents sur la page et je placerai les plus anciens, avec leur date d’édition, dans l’onglet « archives » où il rejoindra les autres.

Bien sûr, vous pouvez partager tous les contenus et liens et c’est même ce pour quoi j’ai créé ce site et maintenu ma page Facebook active. Vous pouvez me laisser un message en cliquant sur contact. GUY FAURE

RAPPEL : Cet article forme un tout avec le livre PDF téléchargeable et le post FB du 31 janvier 2021. Vous pouvez y accéder directement à partir du menu de cette page.

JE VOUS PROPOSE DÈS À PRÉSENT MA PREMIÈRE PUBLICATION

AVANT-PROPOS : Vous allez découvrir dans cet article des révélations que je ne partageais que de façon très confidentielle. Je ne pensais pas pouvoir les publier un jour. Après bien des hésitations, j’ai finalement décidé de les livrer car la situation actuelle nous pousse, tous, à aller plus loin. Je ne me suis donc pas trop retenu.

PREMIERE PARTIE : POST FACEBOOK DU 31 JANVIER 2021

Pour les évènements à venir, nous n’aurons plus besoin d’attendre les décisions gouvernementales pour comprendre que nous devrons vivre avec des restrictions s’appuyant sur masque et distanciation, et jouant sur confinement et couvre-feu, jusqu’à ce que toute la population mondiale ne se soit soumise à la vaccination, à moins bien sûr, que la volonté des peuples et l’intervention des unités de défense et de protection (armées et gardiens de la Paix) ne prennent l’affaire en main et mettent prématurément un terme à cette situation. Il n’y a plus de doute sur le fait que tout ceci est la mise en pratique d’un plan prévu depuis longtemps et qu’il doit se dérouler dans les mois à venir et les années qui suivront. S’il était réalisable, il viserait non pas à nous « protéger » de virus créés en laboratoire dans le cadre de ce projet, en même temps que les « thérapies » associées, mais bien à marquer la population entière et à la pister. Il n’y a pas non plus d’ambiguïté sur l’obligation vaccinale qui, à défaut d’être présentée comme telle, se métamorphose, petit à petit, en la contrainte de fournir un passeport sanitaire pour tout ce qui concerne notre vie quotidienne comme acheter, vendre, voyager, se soigner, aller au cinéma ou au restaurant, etc. Il est bien sûr prévu qu’après plusieurs injections plus ou moins liées aux variations du virus, ce certificat devienne rapidement électronique et numérique et intégré au corps humain, grâce à un système utilisant des technologies très sophistiquées venues d’ailleurs pour certaines. C’est cet appareil que je désigne comme la « marque de la bête » dans mon ouvrage « KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE ». Fonctionnant comme un émetteur-récepteur, il permettra alors une manipulation à distance.

C’est cette situation formelle que j’attendais pour rendre libre d’accès le PDF de ce livre, sans aucune contrepartie, comme je l’avais annoncé précédemment. Vous pouvez d’ores et déjà le télécharger en cliquant sur ce lien totalement sécurisé :

https://vu.fr/W0PA

Par cette initiative, je privilégie le partage et la diffusion des idées plutôt que la vente qui n’était qu’une option temporaire. C’est d’ailleurs dans cette totale liberté d’écriture que j’ai passé une trentaine d’années à la recherche des informations nécessaires à la rédaction du livre.

J’y dévoile le plan lumineux dans lequel nous sommes embarqués en dépit des efforts désordonnés et finalement pitoyables que déploient les forces obscures pour le contrarier. Celles-ci manipulent à l’extrême ceux qui ont le plus de difficultés à comprendre la Nature de l’Être humain, son Histoire et sa Destinée. Ce sont les financiers, les politiciens, les technocrates, les intellectuels ( ! ) et les scientifiques sans conscience, en somme toutes ces « élites » autoproclamées qui essaient de persuader les autres, médias compris, qu’ils sont les maîtres du monde. Vous allez bientôt pouvoir constater que la réalité est tout autre.

En effet, les compétences des pseudo-élites susnommées n’ont rien de commun avec le Pouvoir infini du Créateur de l’Univers. Les premiers, entre autres choses, savent assez bien contrôler le déroulement d’expériences de laboratoire et gérer leurs finances tandis que le second est le concepteur de l’Univers entier et compose avec toutes ses lois, y compris celles dont les hommes ignorent jusqu’à l’existence. D’un côté, nous avons bien des apprentis sorciers, de l’autre un thaumaturge que Platon situait à l’origine de tout l’Univers : le Démiurge, devenu plus tard le Dieu unique tant galvaudé par les religions monothéistes. Les forces obscures et leurs serviteurs ont pour mode d’action la manipulation mentale intéressée et le mépris, alors que le Démiurge communique dans l’amour par la suggestion bienveillante, et dans le respect du libre arbitre.

Il nous a laissé une signature scellée dans le complexe formé par la Grande Pyramide de Gizeh et le Delta du Nil afin de se rappeler à notre souvenir au moment le plus crucial de notre évolution, c’est-à-dire maintenant. C’est précisément ce sceau que je mets mathématiquement en évidence dans mon livre. Vous pourrez en avoir un aperçu immédiat en vous rendant directement à la page 24. Tout ceci et le reste sont expliqués et détaillés tout au long de l’exposé de ce travail.

Bien évidemment, le plan pervers de ces malins (étymologiquement qui « engendre le mal ») mais qui se croient intelligents (intelligent signifie celui qui comprend, qui discerne) n’arrivera jamais à son terme car il est totalement incompatible avec celui que l’Univers a préparé pour l’Humanité, n’en déplaise à ceux qui ont pris pour habitude de se soumettre et obéir, parfois en toute bonne foi, à tout ce qui est enseigné et imposé depuis leur plus tendre enfance par nombre d’éducateurs « certifiés ».

Je tiens à préciser que mon ouvrage s’écarte largement de l’archéo-égyptologie conventionnelle et de l’histoire académique de la Grande Pyramide de Gizeh, exactement comme la réalité du programme de vaccination est bien loin du traitement médiatique de la « crise sanitaire ». Il fallait un titre et j’ai tout simplement choisi le libellé du premier chapitre. Il aurait tout aussi bien pu s’intituler « UNE INTRODUCTION AUX ANNÉES 2020 », ou bien « UN ESSAI SUR LES CIVILISATIONS POST DILUVIENNES », (ou POST ATLANTÉENNES) ou encore « LE RETOUR DU DÉMIURGE ». Son contenu prend tout son sens à la lueur des évènements présents et de ceux à se produire dans un avenir immédiat. Dans la mesure où vous trouveriez cet article ou ce livre dignes d’intérêt, je vous encourage vivement à les partager autant de fois que vous le souhaitez et sous quelques formes que ce soient. Toutefois, je demande légitimement que ces diffusions incluent l’intégralité des textes car des extraits pris hors de leur contexte peuvent produire des contresens et des fausses vérités parfois lourds de conséquences. Si vous décidiez de contribuer à la diffusion de certaines idées ou passages particuliers, je vous saurais gré de bien vouloir citer le titre du livre et le nom de l’auteur en référence, ce dont je vous remercie par avance.

Et pour terminer, rappelez-vous que le score atteint lors de l’inoubliable campagne de 2009 contre le « terrible » H1N1, a été de 6 % de vaccinés pour la France et 8 % pour l’ensemble de la population mondiale. Nous pouvons faire beaucoup moins, mais c’est loin d’être acquis. À nous de jouer et qu’on en finisse rapidement avec cette farce affligeante avant qu’elle ne se métamorphose en tragédie permanente ! Pour beaucoup, la partie est pratiquement terminée car, comme je l’explique dans mon livre, nous sommes bel et bien à la fin d’un cycle, et donc en pleine transition vers un nouveau. À mon avis, l’échec assuré de cette opération sera l’évènement fondateur de cette nouvelle ère que tant d’êtres humains pressentent et attendent, car il révélera bien d’autres faillites, en premier lieu celle de la théorie tenace des agressions microbiologiques. En réalité, ces micro-organismes que l’on appelle bactéries et virus, n’ont rien de belliqueux et n’ont jamais attaqué personne. En ramenant la matière vivante vers le minéral, les premières jouent un rôle primordial dans l’équilibre de la Vie sur notre planète. Quant aux seconds, ce ne sont pas des êtres vivants car ils sont dépourvus de l’équipement indispensable à leur reproduction. Il serait d’ailleurs temps de se pencher sérieusement sur le mystère de leur prolifération au sein des cellules. Il faudra bien sûr revenir sur la version officielle expliquant cette sorte de génération spontanée. En attendant, je peux en proposer une autre : c’est la cellule elle-même qui produit ces parasites dès qu’elle est mise en présence d’un catalyseur provenant de l’extérieur (processus exagérément qualifié de contagion). Ce qui rend ces cellules aussi « accueillantes » envers cet agglomérat de molécules tout à fait inoffensif, correspond tout simplement à un mauvais fonctionnement biologique. Et la production de ce que l’on appelle les virus est la conséquence d’une désorientation de l’ARN messager dans le cycle de la synthèse des protéines. Tous ces dysfonctionnements sont eux-mêmes liés à nos nombreuses erreurs comportementales, trop souvent en disharmonie avec les lois de l’Univers. « Le terrain est tout, les microbes ne sont rien » aurait dit Pasteur vers la fin de sa vie, suivant dans cet aveu tardif, les conclusions d’Antoine Béchamp et Claude Bernard. C’est donc sur ce registre qu’il est vital d’agir, en se donnant le temps de comprendre la Nature pour utiliser avec sagesse les énergies et les ressources qu’elle nous offre. Quant au pseudo-vaccin imposé actuellement par nos apprentis sorciers, je n’ose pas imaginer ce que la rencontre de son ARN messager viral avec celui souvent défaillant des cellules humaines pourra engendrer comme catastrophes supplémentaires…

DEUXIEME PARTIE DU 07 AOÛT 2021

J’ai appris récemment que l’Union européenne avait passé à Pfizer une commande de 1,8 milliard de doses à injecter dans les deux années à venir. Voilà de quoi réjouir les inconditionnels de ces produits puisque cette initiative promet plusieurs piqûres supplémentaires à chacun d’ici fin 2023. Il y a aussi de quoi s’interroger sérieusement sur tout ce que cette campagne pourrait cacher pour que les gouvernements décident d’anticiper à ce point. Je vais vous présenter les conclusions auxquelles je suis arrivé en tenant compte de toutes les informations que j’ai pu recueillir tout au long de ces derniers mois, s’ajoutant à celles collectées auparavant, depuis l’inoubliable épisode de la grippe H1N1 en 2009. Tout est maintenant clair et il y a de quoi se féliciter de comprendre les intentions dissimulées derrière tout ce vaste projet de santé publique, afin d’être en mesure de le contrecarrer. Il n’y a en fait rien à caractère sanitaire dans cette planification. Si les instances dirigeantes et décideuses s’intéressaient à notre santé, il y a longtemps que la faim dans le monde serait éradiquée, à moindres frais, et que les approches alternatives, holistiques et traditionnelles, seraient un peu plus considérées au lieu d’être marginalisées et souvent tournées en dérision… Alors, que peut-on s’attendre à trouver derrière tout cela ? Assurément, rien de bien réjouissant.

Tout d’abord, il faut savoir que c’est sur la variabilité des virus que tout repose. Les cocktails utilisés sont surtout des dispositifs à produire des variants. Je rappelle que les virus ne sont pas vraiment des êtres vivants car ils n’ont pas l’équipement indispensable à la reproduction. Sur l’échelle biologique, je les situe loin derrière les bactéries. Ils possèdent néanmoins des propriétés liées à la survie, en premier lieu celle de pouvoir se défendre, en se modifiant, contre toute intervention extérieure visant à les combattre. Ce sont ces facultés d’adaptation qui créent ce qu’on appelle les variants. Le coronavirus original a bien été créé en laboratoire à partir d’une souche naturelle à laquelle ont été ajoutées quelques séquences géniques venues d’autres virus afin de le rendre plus « féroce ». Puis, il a été délibérément lâché dans la nature pour le lancer dans la sinistre duperie que nous vivons depuis maintenant presque deux ans. En même temps que ces retouches étaient apportées, différentes techniques étaient expérimentées en vue de lutter contre la pandémie programmée pour faire croire, plus tard, en la mise au point de prophylaxies efficaces s’appuyant sur la popularité des vaccins classiques. Ceux qui se sentent contrariés par le côté audacieux de ces révélations dérangeantes peuvent toujours se rassurer, pour le moment, en se persuadant que les virus se sont échappés d’un laboratoire sans complicité, ou même qu’ils nous ont été transmis par le pangolin. Certains changeront d’avis lorsqu’ils réaliseront, plus loin, par qui tout cela est orchestré…

Depuis le début, les études « indépendantes » et les polémiques vont bon train et alimentent des débats stériles dans lesquels tout est embrouillé. Quand je parle de débats, c’est un euphémisme puisqu’il s’agit en fait des cheminements séparés de deux approches radicalement opposées, la mainstream et celle qui conduit à douter. Il n’y a pas d’échanges constructifs car ils sont soigneusement esquivés par les médias appartenant au premier genre. Tout ceci nous conduit à une cacophonie d’où il n’est plus possible de dégager une ligne de crédibilité le long de laquelle les personnes sincèrement en quête de vérité pourraient cheminer, les autres se laissant entraîner par le courant dominant. J’ai donc fini par laisser de côté ces pistes de recherche pour m’intéresser de plus près à la composition des produits injectés. Là, je me suis heurté aux mystères et secrets de fabrication, mais j’ai malgré tout dégagé une famille de constituants dont on ne parle pas très souvent, surtout du côté du courant officiel, et que je suis arrivé à considérer, en fin de compte, comme la clé de la compréhension du déroulement et de la finalité du plan. Ces composants, dont la présence dans les cocktails administrés est avérée sans contestation possible, sont les nanoparticules. Ce sont ces dernières qui vont nous occuper un certain temps dans la suite de ce travail.

Je rappelle brièvement que les nanotechnologies sont un ensemble d’opérations qui manipulent la matière au niveau de ses constituants élémentaires. En déstructurant énergétiquement les atomes, elles les rendent disponibles pour des combinaisons qui n’existent pas à l’état naturel. Il en résulte la formation de molécules nouvelles aux propriétés étonnantes, mais qui n’ont rien à faire dans la nature et encore moins dans le corps humain. Elles n’ont rien à y faire car elles sont nuisibles. Nous allons comprendre dans un instant comment les barrages fonctionnels qu’elles engendrent sont précisément les motifs pour lesquels ces nanoparticules sont injectées dans nos organismes, sous l’alibi vaccinal. Je ne me suis donc plus préoccupé des autres ingrédients après avoir toutefois essayé de dégager quelques constantes exploitables. En vain. L’écueil que représentaient ces premiers égarements étant contourné, la compréhension de la situation s’en est trouvé grandement simplifiée. Toutes les informations officielles, ou non, présentent en fait une conséquence majeure, celle de détourner l’attention du public de ce qui est essentiel. Demandez à des illusionnistes quelle est la condition principale à la réussite de leurs tours, la réponse récurrente sera : la diversion. Autrement dit : regardez ailleurs pendant que je vous berne. Les secrets concernant la fabrication des structures nanométriques et leurs propriétés étant bien gardés, et pas seulement pour des raisons financières, mon attention s’est focalisée sur une seule, leur capacité reconnue à cibler les tissus et les organes de notre organisme afin de s’y agglomérer et d’y demeurer indéfiniment ou presque. Dès lors, tout est devenu lumineux et la logique a fait son travail.

Ces particules, dont les dimensions sont de l’ordre de quelques milliardièmes de mètres, vont donc s’acheminer vers les destinations de notre corps pour lesquelles elles ont été fabriquées. Ce sont principalement les centres cérébraux qui sont visés par les expérimentateurs. L’agglomération de molécules contre-nature amoindrit l’activité vitale de la partie visée de telle sorte que la fonction naturelle qui lui incombe se trouve de plus en plus inhibée au fur et à mesure que ces particules s’y agglutinent. Elles ne peuvent pas être expulsées, car notre organisme n’est pas équipé du système de défense adapté. C’est surtout la glande pinéale qui est l’objet de toutes les attentions des préparateurs. Cet organe, qui présente la particularité unique d’être à la fois endocrinien et nerveux, était considéré par René Descartes comme le siège de l’âme ; c’est tout dire ! On l’appelle aussi parfois le « troisième œil ». Les autres centres cérébraux et circuits neuroniques importants bénéficiaires des injections sont ceux impliqués dans les mécanismes de la volonté. Ces opérations répétées visent donc aussi à transformer, petit à petit, piqûre après piqûre, les infectés en êtres avolontaires, inconscients de leurs décisions qu’ils se laisseront donc de plus en plus imposer de l’extérieur. Ces intrusions invalidantes couperont imperceptiblement les victimes de leur dimension spirituelle et par conséquent seront des entraves à leur évolution. Ce processus arrivera à son terme après un certain nombre de doses. Je suis persuadé que les deux premières inoculées à ce jour nous maintiennent encore très éloignés des effets attendus de perte de volonté et je pense qu’il faudra plusieurs années et un grand nombre d’injections avant que l’objectif ne puisse être atteint.

Arrivés à ce stade de mon travail, vous devez commencer à comprendre que nous sommes bien loin des visées sanitaires relayées non-stop par l’ensemble des médias mainstream. Le projet de nous restreindre est la véritable perspective. Le philosophe Rudolf Steiner avait parfaitement anticipé ces évènements et des intellectuels visionnaires comme George Orwell et Aldous Huxley nous avaient avertis, en vain. Deux ou trois injections me semblent être la limite à ne pas dépasser pour pouvoir rester des hommes et des femmes intègres. Au-delà, c’est le transhumanisme qui nous attend. Il s’agit d’estimations personnelles qui ne sauraient engager ma responsabilité. Je donne un avis pour rassurer, c’est tout. Il n’est donc absolument pas prévu que le plan s’arrête à deux ou trois piqûres. Il en faudra beaucoup plus avant que les avatars subis par la glande pinéale et les centres cérébraux de la volition nous transforment en citoyens grégaires et soumis. L’existence de chacun pourra alors être dictée par ceux qui auront été exemptés de piqûre ou qui se seront fait injecter du sérum physiologique, parfois devant les caméras. La vie de chacun sera rythmée par la double dictature du travail et des loisirs, ce qui est déjà, de fait, le lot d’une grande majorité de citoyens.

Les variants ont été prévus lors des essais en laboratoire et c’est la raison pour laquelle les commandes de doses se portent bien, à nos frais évidemment. Les facultés d’adaptation des virus fourniront autant de variants que nécessaire, toujours plus endurcis à résister, et nous auront de moins en moins la capacité de dire « NON ». C’est donc dès à présent qu’il faut dire « STOP », avant la troisième injection prévue pour les semaines à venir.

Par la suite, lorsque les volontés seront largement inhibées, après « n » variants et « x » piqûres, il sera temps de passer à l’étape suivante, dans notre métamorphose transhumaniste, avec l’implantation de la fameuse puce électronique sous-cutanée, ou R.F.I.D. Celle-ci ne sera pas incluse dans les aiguilles ou dans les flacons doses et il ne sera plus nécessaire de l’imposer car la proposition nous sera faite, via les médias, sans que nous puissions avoir la réaction de refuser. Cela nous paraîtra tout à fait normal et dans l’ordre de choses.

J’ouvre une parenthèse, qui mériterait un livre entier, pour expliquer un peu ce que sera cette puce R.F.I.D (Radio Frequency IDentification). Tout d’abord, elle contiendra un grand nombre de données nous concernant et remplacera la pièce d’identité, la carte vitale, tous les moyens de paiement, et bien sûr, elle sera le passeport sanitaire pour vérifier que nous sommes bien à jour des injections de dernière génération. Ce sera en outre un émetteur-récepteur miniaturisé capable d’émettre des signaux pour nous localiser, c’est-à-dire de nous suivre à la trace. Je voudrais tout spécialement attirer votre attention sur le fait que, de par sa fonction de récepteur, elle pourra recevoir l’indication d’émettre en retour un signal ayant pour longueur d’onde la fréquence de résonance du corps humain. Si cette notion ne vous est pas familière, je vous renvoie à la vidéo du pont de Tacoma aux États-Unis. Elle vous montre ce pont qui commence à bouger légèrement sous l’effet du vent, puis à osciller à sa fréquence de résonance jusqu’à ce que ces oscillations le démantèlent complètement. En assistant à cet effondrement, vous aurez un aperçu de ce que cet émetteur-récepteur pourra faire comme dégâts dans notre organisme, pour peu que les opérateurs choisissent la fréquence propre d’un organe ou du corps entier. À terme, c’est comme ça que l’on pourra régler le problème des personnes âgées ou malades, lesquelles, c’est bien connu, coûtent plus qu’ils ne rapportent. Ce n’est pas moi qui l’affirme, je ne fais que relayer les propos de plusieurs élites autoproclamées dont je ne préciserai pas les noms. Vous pourrez aisément vous procurer une riche documentation authentique sur ce sujet et ses théories concomitantes. Cette puce mérite donc amplement le nom que je lui ai attribué dans des précédentes publications, celui de « marque de la bête » prophétisée voilà déjà 2 000 ans. Surtout, il ne faut pas perdre de vue qu’une bonne prophétie est une prophétie qui est faite pour ne pas se réaliser. Sinon, franchement, à quoi bon prophétiser ? Fin de parenthèse et surtout pas d’affolement. Tout ceci ne devrait jamais entrer en application. Ne devrait…

Nous voici à présent mieux informés sur les véritables raisons de ce plan déguisé en opération sanitaire. Il y a d’autres objectifs, dont certains à plus court et moyen terme, car nos apprentis sorciers œuvrant dans les laboratoires de recherche ont plus d’un tour dans leurs sacs à malice. Chaque fabricant suit bien sûr des protocoles différents afin de tester plusieurs produits. La composition des doses à injecter va du sérum physiologique aux pires cocktails. Autant dire que chaque injection est une partie de roulette russe. Nous ne devons pas oublier que cette campagne est expérimentale. Les analystes pourront suivre les réactions des victimes grâce à la lecture des codes-barres. Je ne m’étendrai pas sur les subtilités des possibilités envisageables, mais il ne faut pas perdre de vue que toutes les fonctions et tous les organes peuvent être ciblés, si ce n’est pas maintenant, ce sera plus tard. Je ne sais pas quand la situation va basculer, ni dans quelles conditions dramatiques, ou non, et je ne suis même pas certain que nous pourrons y mettre un coup d’arrêt. Nous en avons pourtant encore le potentiel et nous pouvons espérer que cela se produira avant le forçage des personnels soignants, de l’injection de la troisième dose et surtout avant que des unités de « vaccination » ne se déploient dans les collèges et les lycées pour commencer le travail de neutralisation de nos adolescents et plus tard, des plus jeunes. Je rappelle qu’en France, pays des lumières et des droits de l’Homme, ces opérations dictatoriales sont prévues pour les semaines à venir.

Nous avons bien avancé sur le sentier qui conduit à la vérité, grâce à l’abandon des fausses pistes et des approches qui nous baladaient dans les bas-fonds de la pensée et du savoir. En dépoussiérant le superflu, nous sommes allés à l’essentiel. Il reste pourtant une partie du chemin à parcourir, la plus abrupte. Allons-y ! Vous pourriez en effet espérer que le plus gros du travail est accompli, mais ce n’est pas le cas puisqu’il reste à remonter la chaîne des responsabilités qui part du personnel soignant, contraint de nous piquer, jusqu’au sommet des pouvoirs de décision. Pour cette approche, j’ai sauté toutes les étapes et me suis projeté directement en haut de la pyramide, là où se trouve le Pouvoir suprême. Et je n’y ai pas trouvé les « élites » auxquelles le lecteur pourrait s’attendre. Dans mon post du 31 janvier 2021, j’ai donné un indice en mentionnant, vers la fin du premier paragraphe, des « technologies venues d’ailleurs ». La plupart des lecteurs auront sans doute passé sur ce détail sans sourciller, d’autres auront compris. Cet « ailleurs » nous amène évidemment loin de notre monde et du Système solaire. Ce mot se réfère à d’autres planètes, d’autres malignités agissant pour s’emparer de ce qui les intéresse sur la Terre. Vous y êtes, les concepteurs du plan sont des extraterrestres. Tous ceux qui les servent ne sont que des marionnettes manipulées. Par la chaîne des réseaux d’influence existants, ils reçoivent des « conseils » et ils les suivent. En somme, ils obéissent plus ou moins consciemment.

Les questions qui viennent alors à l’esprit sont : Pourquoi ? Quel est le mobile du crime ? Car sans mobile, impossible de comprendre le crime. Le point de départ des éclaircissements est que ces extraterrestres n’ont pas lu, ou pas compris Rabelais et ont ignoré que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Par voie de conséquence, sur ces planètes, des technologies de tout ordre ont prospéré sans discernement, sans le contrôle de la raison, hors des grandes lois de l’Univers, et sans que ne s’imposent de limites au libre arbitre. Ainsi, un peu partout dans notre galaxie, et plus loin encore, se sont développées des civilisations sans humanité, sans amour, mais avec les moyens d’aller chercher loin, très loin de leurs bases ce qui leur fait défaut. Ce qui intéresse ces envahisseurs, ce ne sont pas nos ressources alimentaires, minières ou autres, mais bien notre conscience. Ils viennent se ravitailler en ce qu’ils n’ont plus chez eux et que nous risquons également de perdre si nous continuons à obéir : la conscience humaine telle que nous l’avons développée depuis 12 000 ans. Je ne parle pas ici de l’Esprit, qui, lui, ne peut être volé, détruit ou squatté.

À ce stade, une autre parenthèse importante s’impose pour préciser les concepts de conscience, d’âme, de corps et d’esprit afin qu’il n’y ait pas de confusion. Dans l’approche qui est celle de cet exposé, l’esprit est l’homme réel et éternel qui fait des retours sur Terre dans un corps physique, pour y vivre des expériences qui lui permettront de « grandir ». L’âme est la quintessence des expériences vécues au cours d’une incarnation. Après la mort, l’esprit l’emporte tandis que les composants du corps retournent à la terre. La conscience est une sorte de filtre qui s’intercale entre l’âme et les expériences vécues dans l’incarnation. L’âme s’enrichit d’autant que les niveaux de conscience s’élèvent, conscience et estime de soi, conscience de sa place dans l’Univers et parmi les autres. … C’est à ce niveau que les forces obscures peuvent agir, car les registres de l’âme et plus encore de l’esprit, leur sont inaccessibles. Ils sont intouchables car reliés directement au Créateur. Seulement voilà, dans un état inhibé de conscience, l’évolution spirituelle stagne et crée du chaos dans l’harmonie universelle. Les entités transhumaines sont donc en étroite relation avec la Terre pour nourrir leurs âmes affamées en faisant tout pour avilir les nôtres. Elles utilisent les méthodes que j’ai tenté d’expliquer précédemment et qui ont par le passé fait leurs preuves ailleurs. L’ensemble des savoir-faire terrestres ne peut en effet être suffisant pour planifier et piloter une telle opération, même si certains hauts placés croient en être les instigateurs. Ils sont en réalité les plus vulnérables et par suite, les plus manipulables.

PAS D’AFFOLEMENT. Il n’y a pas plus de motifs de panique à ces révélations qu’il y en a face à une tempête qui s’annonce. Tout est dualité dans notre Univers, le jour ne peut exister sans la nuit, le froid sans le chaud, le bien sans le mal… Et après la pluie vient le beau temps. Donc, à ces forces obscures, malveillantes et destructrices, s’opposent leurs antinomiques. Ce sont les entités extraterrestres bienveillantes, le bien en chacun de nous et bien sûr l’omniprésence du Démiurge, le Créateur de l’Univers dont j’ai mathématiquement révélé le message dans mon livre.

Quant aux forces obscures qui s’ingénient à vampiriser nos consciences, elles agissent de multiples façons. Tout d’abord, il y a les contacts directs avec certains humains accueillants de par leurs dispositions. Ces entités peuvent également s’incarner et se mélanger aux terriens que nous sommes. Mais le gros du travail s’effectue dans l’invisible, par des champs d’énergie qui se forment à partir des intentions, des émotions, des idées et des désirs communs à un grand nombre de terriens et d’extraterrestres. C’est ce qu’on appelle, en langage ésotérique, des égrégores. Ceux-ci fonctionnent de façon autonome et influencent en retour les êtres dont les comportements génèrent les énergies qui leur avaient donné naissance. La peur est l’affect négatif qui constitue la matière première de celui qui nous occupe ici. Reliés à un égrégore, les prédateurs agissent en pleine conscience sur des terriens qui, eux, restent complètement inconscients de ces manœuvres. Les groupes humains concernés sont essentiellement ceux qui sont lourdement impliqués dans la chaîne qui conduit à la piqûre. On y retrouve des scientifiques sans conscience, des milliardaires financiers, des politiciens et bien sûr les médias mainstream qui font office de porte-parole. La connexion à un égrégore est à différencier du phénomène de possession, que ce soit dans ses acceptions religieuse ou dostoïevskienne. La possession est une manifestation tyrannique, enracinée chez un seul être tandis que l’égrégore rassemble un nombre important d’âmes qui peuvent assez facilement s’en déconnecter. Il suffit pour cela que la personne s’écarte physiquement de la corporation à laquelle elle appartient. Certains analystes aiment parler de « matrice », en référence aux films de la série éponyme, lesquels, à défaut d’être excellents, sont très parlants. Ceci explique leur succès auprès d’un large public à l’instar d’autres sagas telles que La guerre des étoiles ou encore des films de Roland Emmerich. Et puisque nous sommes dans les cahiers du cinéma, restons-y pour mentionner une réalisation de Tim Burton, Mars Attacks ! La fin de ce film déjanté nous propose une illustration des solutions à notre portée, car il ne s’agit pas, évidemment, d’aller bombarder un égrégore ou d’autres planètes. C’est en diffusant une musique mélodieuse et langoureuse que le réalisateur nous débarrasse des importuns. Si vous êtes amené à visionner cette féroce satire, vous remarquerez que ces « Martiens » dupent souvent les humains en conformant leurs attitudes à celles de leurs victimes… Bien sûr, dans notre réalité actuelle, quelques notes de musique mélodieuses, harmonieuses et gentiment rythmées ne sont pas, heureusement, les seuls atouts à notre disposition pour écarter un tel égrégore, tant s’en faut. C’est cependant la notion d’harmonie (du grec harmonia, la juste proportion) qu’il faut retenir et appliquer, harmonie des couleurs, des mouvements, des paroles, des formes, des relations humaines, des nombres… C’est de cette façon que nous nous reconnecterons aux lois de la Nature et de l’Univers et c’est par les apports énergétiques résultants que les « vaccinés » pourront se défaire de tout ce qu’on leur aura injecté. Les déesses Harmonie et Victoire sont avec nous. Elles finiront par l’emporter sur Tyrannie qui tend à nous asservir, pour peu que nous cessions de la servir.

Lorsque suffisamment de consciences se seront réveillées, nous verrons des naturopathes, des énergéticiens, des médecins holistiques, des astrologues et bien d’autres « charlatans » se substituer progressivement aux professeurs de médecine. Les sages remplaceront les philosophes agrégés et agréés et les intellectuels humanistes suppléeront les politiciens. Les forces de l’ordre redeviendront les gardiens de la Paix. De nouveaux paradigmes nous attendent et non la vie « normale », qui ne reviendra donc jamais. En effet, comment voulez-vous que les conditions qui nous ont conduits à la situation actuelle puissent être restaurées de façon pérenne ? Nous n’aurons certainement pas à attendre très longtemps avant de faire nos premiers pas vers l’ère nouvelle. Du moins, c’est ce que nous pouvons espérer. En suis-je pleinement convaincu ? Hélas non, car les scénarios qui se sont déroulés sur d’autres planètes peuvent très bien se répéter sur la nôtre. Tout dépend de nos décisions au niveau individuel. À défaut de réactions, nos « élites » manipulées continueront à imposer leur pass sanitaire jusqu’à ce que cette pseudo-vaccination devienne obligatoire. Cela pourrait se produire lorsque suffisamment de victimes auront été contraintes, par le chantage et pour leur survie sociale, de se soumettre aux exigences sanitaires inventées de toutes pièces pour alimenter des causes bien différentes. Il sera alors facile de traquer les dissidents pour terminer le travail. GUY FAURE (antérieurement Léon Tolstoï, Christopher Marlowe, etc.). À SUIVRE

RAPPEL: Cet article forme un tout avec le livre PDF téléchargeable et le post FB du 31 janvier 2021. Vous pouvez y accéder directement à partir du menu de cette page.