ARTICLE 14 du 3 septembre 2022 : relations entre les nombres pi, phi et les dimensions de « la chambre du roi » de la Grande Pyramide de Gizeh

INTRODUCTION: Après les nombreuses réactions Facebook à mes deux communications du 27 août dernier sur les relations entre la vitesse de la lumière et la Grand Pyramide de Gizeh, j’ai décidé, sans hésitation et avec allégresse de continuer dans cette voie. Je prépare quelque chose de solide et inédit, donc pas connu en dehors de ceux qui ont parcouru le livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE. Pour patienter, voici encore une particularité à la fois élégante, simple et étonnante.

RELATIONS ENTRE LES NOMBRES PI, PHI ET LES DIMENSIONS DE LA « CHAMBRE DU ROI » DE LA GRANDE PYRAMIDE DE GIZEH

Je ne parle pas ici de la gigantesque cavité située au-dessus de la grande galerie, dévoilée voici trois ans par les chercheurs de la mission ScanPyramids, et dont nous sommes sans nouvelle depuis, mais bien de la pièce que l’histoire officielle appelle, arbitrairement et sans partage, la « chambre du roi », et qui est, en fait, le lieu des initiations majeures qui débutèrent bien avant la très lointaine Égypte prédynastique, après que nous eûmes terminé la phase atlante de notre Évolution. La pseudo-chambre de la reine, plus petite et située plus bas, était, elle, dédiée aux mystères mineurs.

L’Architecte a conçu la pièce consacrée à ces initiations aux mystères majeurs de façon à inclure, encore une fois, les nombres Pi (π) et Phi (φ) dans ses dimensions. Le nombre Pi est connu de tout le monde, du moins de nom, et il représente, dans un cercle, le rapport du périmètre à son diamètre. Quant à Phi, il est moins familier bien qu’un grand nombre de livres lui soient consacrés. On l’appelle le nombre d’or ou encore la divine proportion. Il a été utilisé pour la construction d’une multitude d’édifices depuis la plus haute Antiquité, et par des peintres comme Léonard de Vinci, Poussin, Degas, Monet, Dali, afin d’harmoniser leurs œuvres avec les lois universelles, ou divines si vous préférez.

Les constantes π et φ valent respectivement 3,14 et 1,618.

La longueur de la pièce est de 4 φ2,, sa largeur, de 2 φ2, toutes deux choisies de telle manière que le périmètre soit congruent à π. J’ai pris pour habitude d’appeler « congruence » entre deux nombres, la particularité qu’ils présentent de s’écrire avec la même série de chiffres, indépendamment des unités de mesure et des décimales. Je ne peux pas donner de justification de ce choix dans le cadre restreint de cette communication. Autrement, il faudrait entrer dans des notions de métamathématiques que j’aborde ailleurs et qui seront le sujet d’un article à paraître ultérieurement.

Voici, par les chiffres, ce que cela donne, en prenant pour les dimensions de la chambre, les valeurs usuelles au centimètre près, car c’est tout ce que j’ai à ma disposition :

Longueur de la chambre du roi : 10,47 m et 4 φ2 = 10,47

Largeur : 5,23 m et 2 φ2 = 5,23

Périmètre de cette chambre :

( 10,47 + 5,23 ) x 2 = 31,4 m

et π = 3, 14

Et rien qui dépasse !

Il existe bien sûr beaucoup d’autres particularités mathématiques dans cette pièce et son « sarcophage », mais j’ai pris pour habitudes de rester simple et de garder ce qui est aisément communicable, car il est très facile de se perdre dans ce dédale de chiffres ou de rester coincer dans une galerie ou un puits…

Pour des éclaircissements sur la structure de l’édifice et des explications sur ses singularités, je vous renvoie bien évidemment au livre KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE dont vous pouvez télécharger librement le PDF en cliquant sur le lien suivant :

https://vu.fr/W0PA

Pour l’objet de cet article et ses corrélations métaphysiques, rendez-vous aux pages 99 à 101.

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Auteur : Guy FAURE

Je pense qu’une petite présentation est quand même utile. La voici. Je suis né à Marengo en Algérie (actuellement Hadjout), le 9 février 1952 vers 12 h 40, mais j’ai vécu en France, en Avignon. J’ai subi ma scolarité au lycée Frédéric Mistral avant de jouer les prolongations dans diverses facs de l’université Aix-Marseille où je me suis familiarisé avec les mathématiques, la physique, la chimie, la psychologie et la biologie avant de me tourner vers des formations plus universelles telle que la naturopathie, l’astrologie, la kinésiologie, la PNL et les traditions ésotériques. Sans diplôme utilisable, j’ai pu rester libre et indépendant, autant que faire se peut. Mon parcours m’a amené à exercer l’activité de moniteur de plongée subaquatique au Club Med pendant plusieurs années…Mais c’est ma curiosité pour les mythologies et l’Histoire, en particulier l’Antiquité, qui a alimenté l’essentiel de ma connaissance. Je vis actuellement en Cerdagne, dans les Pyrénées orientales après être passé par les Hautes Alpes (Ceillac en Queyras), le Var (Six-Fours-les-Plages) et bien sûr des endroits où l’on peut visiter de superbes fonds sous-marins, entre 1978 et 1990 (Guadeloupe, Martinique, Mexique, Bahamas, Maldives, Tahiti, Israël...). C’est terminé pour ce synopsis qui permettra peut-être à certaines personnes perdues de vue de me retrouver.

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