ARTICLE 12 du 12 août 2022 : des commandos pour prendre soin de notre santé ?

DES COMMANDOS POUR PRENDRE SOIN DE NOTRE SANTÉ ?

Je suis resté silencieux, sans voix même, pendant plusieurs semaines, conséquence d’une ambiance globale dans laquelle étaient imbriqués un certain nombre d’évènements (co*ro.nav*iru.s, élections françaises, guerres, crise climatique, destruction du Georgia Guidestones) qui ne concouraient pas à m’inspirer des communications cohérentes. Un décret paru au journal officiel le dimanche 31 juillet 2022, et annonçant la création d’un nouveau comité d’experts en santé, m’a sorti de cette apathie en me ramenant à une lucidité inspirée par la situation vers laquelle nous nous dirigeons. En vérité, pas de quoi se réjouir dans l’immédiat.

Pour les champs de bataille en général et les hostilités à l’est de l’Europe en particulier, j’ai confié ma pensée à la plume de l’écrivain russe Léon Tolstoï sur le post Facebook du 1er avril 2022 et l’article 11 de mon blog (https://guyfaureblog.fr/). Sur ce plan, comme sur bien d’autres, nous sommes sur la même longueur d’onde.

Pour ce qui concerne les élections françaises, j’ai exprimé mon opinion dans différentes autres publications et n’y reviendrai certainement pas avant les prochains scrutins. Vous pourrez les retrouver sur ma page et sur le blog.

Quant aux gaz à effets de serre soi-disant à l’origine du réchauffement planétaire, je les ai rejetés depuis longtemps, en impliquant un phénomène naturel cyclique et j’ai insisté sur l’adaptation comme seule réponse admissible ( https://guyfaureblog.fr/ : articles 4 et 6 ; post FB des 29 octobre et 11 décembre 2021).

Mon blog contient des précisions sur lesquelles je ne peux pas m’étendre dans le cadre restreint de cet exposé. C’est pour cette raison que je vous y renvoie constamment.

Ce qui va m’occuper à présent, c’est ce décret du 31 juillet dernier car il augure bien du scénario des pi*qû.res forcées à venir. Je vais vous en faire un résumé en plaçant des guillemets à son contenu original ainsi qu’aux commentaires des personnes autorisées à s’exprimer sur ce sujet. Je rappelle que les décisions à venir font bien partie d’un scénario d’in-jec*ti.ons répétitives à toute la population mondiale. Pour les détails des objectifs, du plan sous-jacent et de la présence de na*no-part-icul*es dans les cocktails inoculés, je vous renvoie encore à mes précédentes publications sur FB (31 janvier 2021) et mon blog (article 1 du 7 août 2 021).

Voici sans plus tarder quelques morceaux choisis du décret annoncé, sans toutefois qu’il puisse être question d’un hors contexte puisque j’ai seulement pris soin d’ôter les redondances et le superflu. Je me suis sciemment abstenu de mentionner les prérogatives liées « aux polluants environnementaux et alimentaires, et aux changements climatiques », car secondaires pour mon propos.

Ce « comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires » a été créé pour remplacer l’action du Conseil scientifique présidé jusqu’à présent par le professeur Jean-François Delfraissy. Cette nouvelle instance, inspirée par des conseillers spéciaux, et prescrite par le ministre de la santé, aura pour mission, entre autres choses, de « veiller sur les risques sanitaires liés aux agents infectieux » et « d’émettre des recommandations lorsqu’une projection fera apparaître un risque sanitaire » et en outre « d’émettre des recommandations sur les mesures envisagées par les autorités publiques afin de contrer une crise sanitaire et sur la stratégie v*ac*c*ina.le mise en œuvre, le cas échéant, face à une menace sanitaire. »

Le 27 juillet, Christian Braun, l’actuel ministre de la santé a déclaré, sur franceinfo et le plus sérieusement du monde, que ce comité serait « un peu une équipe commando de scientifiques de très haut niveau » et « serait indépendant, transparent dans ses avis, et extrêmement réactif. » Les missions du comité « dépasseront le c*o.vi*d vu les risques d’émergence d’autres v*iru-s. » (Christian Braun)

Quant à Jean-François Delfraissy, sa déclaration dans un entretien au Parisien dimanche (édition du 31 juillet) laisse perplexe : « on aura de nouveaux outils, mais on sera surpris par un nouveau v*i-ru*s qui aura d’autres propriétés. » Pas de surprise en réalité puisque nous voici prévenus. Je vous invite à relire attentivement cette déclaration de l’ancien président du Conseil scientifique.

Si l’on résume les missions du « Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires » à partir de quelques mots-clés relevés, on se retrouve avec le condensé suivant :

Des scientifiques de très haut niveau et très réactifs pourront, par projection de risques sanitaires à venir, rédiger par anticipation des décrets liés à ces risques et à d’autres vi.r-u*s, sur les mesures à envisager.

Voilà qui change tout. Une explication de texte n’est pas vraiment indispensable mais je la fais tout de même en m’appuyant sur ce que nous avons vécu ces deux dernières années. Bien sûr, ceux auxquels il manque encore quelques éléments de compréhension sur l’état des lieux verront là une interprétation, alors qu’il ne s’agit que d’un constat avec ses projections les plus prévisibles.

1) Les v*ir.u*s vont proliférer et varier, de nouveaux vont apparaître en fonction des besoins des in-jec-tio*ns forcées.

2) Le comité se verra dicter directement ses décisions par l’OMS et les laboratoires pharmaceutiques. Elles seront relayées par le gouvernement, leurs porte-parole et les médias.

3) Les experts ne se tromperont pas dans leurs conclusions car tous seront des scientifiques de très haut vol, ce qui n’était pas le cas du Conseil scientifique dont les membres, quoique tous excellents, étaient sans doute d’un niveau inférieur. Ceci m’a fait penser au vieux sketch de Coluche sur la lessive qui lave plus blanc que blanc : à présent, il s’agira de se faire in*jec*té.s plus profond que profond !

4) Ces nouveaux spécialistes, à coup sûr largement rémunérés, plus que leurs prédécesseurs, communiqueront leurs conclusions empaquetées dans des discours propagandistes qui ont fait leurs preuves tout au long des deux années passées.

Ce sont les protocoles sanitaires qui vont être profondément modifiés. Ils vont s’appuyer sur ce qui avait été essayé lors de la pseudo-épidémie de grippe H1*N1 de 2009.

En effet, il n’a pas pu échapper aux autorités qu’un taux d’au moins 30 à 60 % des personnels habilités à piquer ont simulé pour eux-mêmes et que les produits se sont retrouvés dans les éviers au lieu de rejoindre leur circulation sanguine. J’ai quelques exemples autour de moi mais je ne citerai évidemment personne. Malgré les recommandations et les injonctions de l’Ordre, on ne peut pas faire plusieurs années d’études dans le domaine de la médecine pour, en fin de compte, se livrer sur soi à des pratiques expérimentales contraires à tout ce qui avait été enseigné dans les facultés. C’est donc un très grand nombre de médecins, biologistes, pharmaciens, infirmières et infirmiers, leurs familles, amis et relations diverses qui sont détenteurs de vrais faux pa*s.s, sans que l’on puisse un jour savoir plus précisément combien au total. Il faudra bien sûr remédier à cet inconvénient incontrôlable par les procédures actuelles. Le comité va donc créer des centres dits de vac*in-at.o.ns dédiés, comme en 2009 pour H1*N1, sans qu’il ne soit possible d’aller ailleurs. Chaque centre était formé d’une équipe de 10 à 12 personnes dont 2 ou 3 seulement médicalement habilitées à piquer. Le reste était composé d’administrateurs et de « surveillants » issus de je ne sais où… Les doses étaient le plus souvent uniques et chaque élément (produit, seringue, aiguille) doté d’un code-barres précisant, entre autres, les compositions en na*no-par-ti*cules. Il ne fallait surtout pas se tromper dans la transcription des informations, ce qui explique la présence d’un si grand nombre de superviseurs. Bien sûr, aucun des membres de ces centres n’était au courant de la finalité de leurs actions, pas plus qu’ils ne le seront au prochain épisode. Chacun fera son métier en toute bonne foi, et obéira aux ordres, comme d’habitude… Pour éviter les « tricheries » inévitables, les médecins n’étaient pas autorisés à pratiquer dans leur cabinet. Bis repetita dans quelques mois.

Je me dois de rappeler que cette fausse pandémie avait été décrétée vers la fin du mois de mai 2009 par une certaine Madame Margaret Chan, alors directrice de l’OMS, et que tout était prêt dès la fin du mois de septembre de la même année, malgré les réticences de certains spécialistes. À cette époque reculée, ces derniers avaient encore la possibilité de s’exprimer. Je rappelle aussi que le bilan, en France, n’avait pas été vraiment catastrophique puisque, d’après le service de l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) qui s’occupe de recenser les décès et leurs causes, le nombre de morts liés au redoutable H1*N1 avait été d’environ 500, dont 48 seulement en l’absence de comorbidité connue… Sans commentaire.

Puis, en toute logique, on avait prévu de former des unités militarisées (commandos ?) pour aller servir les personnes officiellement dénommées « captives » : résidents des EHPAD et des maisons de retraite, prisonniers, scolaires, etc. Je vous laisse deviner la suite.

Tout ceci est en fait mal connu ou oublié du public car les médias n’en avaient pas fait étalage à l’exception notoire de la journaliste française Élise Lucet dans son magazine « Pièces à conviction » programmé sur France 3, le 31 mars 2010. Vous y puiserez certaines informations intéressantes et y rencontrerez quelques similitudes avec la « crise » actuelle.

Nous voici à présent bien avertis de ce qui nous attend dans un avenir très proche, dès le début du mois de septembre à mon avis. Les médias officiels ont récemment annoncé que le gouvernement dévoilera le nouveau protocole sanitaire applicable aux scolaires, une dizaine de jours avant la rentrée. Patientons donc, mais nous n’aurons certainement pas à attendre longtemps, afin que les complications liées aux précédentes pi*qu-res n’attirent pas l’attention de trop de monde.

La réussite, ou l’échec, de l’opération est donc nettement de notre responsabilité, mais je gage que les réactions des personnels soignants ayant choisi, en connaissance de cause, de se soustraire aux obligations de santé, seront un écueil difficile à franchir pour le gouvernement. Je peux me tromper, il faudra alors compter sur d’autres contingences…

Pour terminer, je pense qu’il est important de rappeler l’adresse de mon blog sur lequel vous pourrez retrouver cet article et bien d’autres que, pour différentes raisons, j’ai décidé de ne pas poster sur Facebook :

https://guyfaureblog.fr/

Et bien sûr, je vous invite à télécharger gratuitement mon livre « KHEOPS : LE SCEAU DE L’ARCHITECTE » en cliquant sur ce lien :

https://vu.fr/W0PA

Cet ouvrage publié en décembre 2019 sera une aide précieuse à la compréhension de la situation actuelle dans sa globalité.

J’insiste pour vous reporter à ces précédentes publications car elles contiennent des informations qui préparent la présente et la complètent. (GUY FAURE)

NB : Au moment où je publie cet article, les membres du comité n’avaient toujours pas été désignés.

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Auteur : Guy FAURE

Je pense qu’une petite présentation est quand même utile. La voici. Je suis né à Marengo en Algérie (actuellement Hadjout), le 9 février 1952 vers 12 h 40, mais j’ai vécu en France, en Avignon. J’ai subi ma scolarité au lycée Frédéric Mistral avant de jouer les prolongations dans diverses facs de l’université Aix-Marseille où je me suis familiarisé avec les mathématiques, la physique, la chimie, la psychologie et la biologie avant de me tourner vers des formations plus universelles telle que la naturopathie, l’astrologie, la kinésiologie, la PNL et les traditions ésotériques. Sans diplôme utilisable, j’ai pu rester libre et indépendant, autant que faire se peut. Mon parcours m’a amené à exercer l’activité de moniteur de plongée subaquatique au Club Med pendant plusieurs années…Mais c’est ma curiosité pour les mythologies et l’Histoire, en particulier l’Antiquité, qui a alimenté l’essentiel de ma connaissance. Je vis actuellement en Cerdagne, dans les Pyrénées orientales après être passé par les Hautes Alpes (Ceillac en Queyras), le Var (Six-Fours-les-Plages) et bien sûr des endroits où l’on peut visiter de superbes fonds sous-marins, entre 1978 et 1990 (Guadeloupe, Martinique, Mexique, Bahamas, Maldives, Tahiti, Israël...). C’est terminé pour ce synopsis qui permettra peut-être à certaines personnes perdues de vue de me retrouver.

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