QUELQUES BONNES RAISONS D’ESPÉRER L’INTERVENTION DES FORCES ARMÉES
Difficile pour moi de m’adresser à des personnes qui appartiennent à des corporations que je connais mal, pas du tout même, et je ne vois pas par quelle médiation un appel pourrait se retrouver sur le bureau d’un destinataire haut placé de l’armée française. Cette publication est donc tout simplement une suite à l’une de mes précédentes, celle du 22 novembre dernier : « Appel aux consciences ». Vous retrouverez ce post à la fin de celui-ci. Je voudrais apporter quelques éléments qui pourraient persuader certains lecteurs que plusieurs responsables militaires sont de notre côté et les armées prêtes à intervenir pour mettre fin à la situation dans laquelle nous nous enfonçons sans même que les gouvernements essaient de s’en cacher. Cette communication a donc pour objectif premier de redonner du courage et des raisons d’espérer à ceux qui voient arriver le pire. Pour bien comprendre la suite de mon propos, il est indispensable de ne pas y voir une prise de position politique particulière. Je pars d’une situation de crise effective et je m’appuie sur des faits vérifiables pour ébaucher la solution la plus vraisemblable et au dénouement le plus optimiste. C’est tout.
L’ouverture, en France, des inj.ec.tion.s aux enfants est une nouvelle ligne rouge qui a été franchie avec un cynisme effrayant : « Nous ouvrirons les vax.i.na.tions aux 5-11 ans le 22 décembre, si tout va bien ». En guise de cadeau de Noël et en attendant la prochaine étape (notes de l’auteur). Les éléments que je vais vous communiquer nous amèneront à conclure que les armées ne sont pas systématiquement au « garde-à-vous » devant l’exécutif. Bien sûr, leur chef suprême est constitutionnellement le président de la République, mais nous pouvons nous demander de quoi celui-ci, dans la situation actuelle, pourrait bien être représentatif. Le premier élément nous renvoie à l’été 2017 et plus précisément au 19 juillet. Ce jour-là, le chef d’état-major des armées en poste, le général Pierre de Villiers présentait sa démission. D’après mes informations, il s’agissait d’une première depuis 1958. Quelque temps avant cette surprenante décision, nous avions assisté à un recadrage du général de la part du Président, devant d’autres responsables militaires et les caméras de télévision. Cela ne se fait pas dans un système hiérarchisé, même au niveau de petites entreprises. Pour certains, le respect des règles fondamentales de la communication n’est apparemment pas un problème. Macron avait alors insisté publiquement sur le fait que c’est bien lui le chef des armées, et non pas l’autre… C’était Jupiter qui faisait des remontrances publiques à Mars. Pierre de Villiers a donc naturellement démissionné en invoquant d’obscures raisons budgétaires et fut remplacé par le général François Lecointre, lui-même démissionnaire en juillet 2021, par conséquent une « deuxième » depuis 1958. Actuellement, c’est le général Thierry Burkhard qui est en poste depuis le 22 juillet 2021. Tout ceci nous amène à penser que les relations entre l’exécutif et les responsables militaires ne sont pas au beau fixe. Je mentionne rapidement la tribune publiée au printemps 2021 par le magazine « Valeurs actuelles ». Cet appel à l’insurrection déguisé en avertissement émanait de haut gradés pour la plupart à la retraite. Il concernait l’insécurité et le délitement de certaines valeurs qui leur sont chères, sans rapport patent avec la situation sanitaire.
Entre ces deux départs anticipés, il y eut deux faits qu’il est bon de rappeler et qui se sont déroulés sur l’avenue des Champs-Élysées lors du défilé du 14 juillet 2018, une année après la démission de Pierre de Villiers. Ils sont passés un peu inaperçus et pourtant, ils valent leur pesant de cacahuètes, comme vous allez pouvoir le constater. Le premier nous montre le télescopage et la chute de deux motards de la garde républicaine. C’est un accident qui n’est pas rarissime compte tenu de la complexité des chorégraphies présentées, mais d’après mes recherches, c’était la première fois qu’un tel incident se produisait juste devant la tribune présidentielle. S’agissait-il d’un acte exécuté sur ordre hiérarchique ou d’une simple péripétie ? Nous ne le saurons sans doute jamais. La deuxième fausse note est beaucoup plus significative et éminemment chargée de symboles, même pour les plus sceptiques. Cela s’est produit ce même jour du 14 juillet 2018. Comme chaque année, les cérémonies se sont terminées par un passage de la patrouille de France. Neuf avions dessinent dans le ciel de Paris le drapeau tricolore. Les trois premiers lâchent une fumée bleue, couleur traditionnellement attachée à notre pays ; c’est aussi la couleur des armées de Clovis, premier roi de France. Les trois appareils du centre de la patrouille larguent une fumée blanche qui représente la monarchie de droit divin. Les trois derniers avions dégagent des traînées rouges, symbole de la révolte, de la patrie en danger et du sang versé. Ce jour-là, une énorme « erreur » a été visible derrière l’appareil externe, côté bleu. Au lieu de cette traditionnelle couleur, c’est du rouge qui est apparu, rouge comme la couleur de la ligne à ne pas franchir… Lorsque l’on connaît la minutie apportée à la préparation de telles démonstrations, il est difficile de croire à une simple bévue surtout après celle des motards. D’après mes recherches, c’était la première fois qu’une telle incongruité se produisait dans l’histoire de l’aviation. Il est donc difficile de continuer à croire que les deux incidents relatés et oubliés depuis, soient autre chose que les conséquences d’ordres donnés pour manifester des désaccords avec le gouvernement. Je me suis laissé dire que dans les armées, ce mode de communication indirecte est fréquent. Il pourrait aussi s’agir de « la main de Dieu. » La position du rouge de la révolte précisément à la place du bleu de la France est loin d’être anodine. À n’importe quel autre emplacement, le symbole aurait été beaucoup moins fort. Voici ce que j’avais à communiquer pour vous aider à prendre conscience que les armées sont toujours du côté du peuple en danger, ce qui est par ailleurs leur vocation première, dans un rôle comparable à celui des forces de l’ordre, originellement dénommées « les gardiens de la Paix ». Vous tirerez les conséquences qui vous conviennent, mais, d’ores et déjà, je me dois d’informer certains que les explications fournies à l’époque par les médias ne m’intéressent pas puisque je les connais déjà.
Mais ce n’est pas tout et nous allons entrer dans le vif du sujet. Le général Pierre de Villiers a un frère. Il s’appelle Philippe et il a fait paraître en 2021 un livre intitulé « Le jour d’après », certainement en écho au film éponyme du réalisateur Roland Emmerich. De quoi est-il question dans cet ouvrage ? Des mêmes informations que nous avait révélées le documentaire « Hold-up ! » du journaliste Pierre Barnérias et paru fin 2020. Tout concorde, les détails, les témoignages et les références vérifiables par tout un chacun. Le livre de Philippe de Villiers n’est cependant pas un copier-coller du film de Pierre Barnérias car il contient un surcroît d’informations. Celles-ci ont vraisemblablement été fournies en « off » par son frère Pierre qui, en tant que chef d’état-major des armées durant près de quatre années, détient quelques renseignements complémentaires en provenance directe des services secrets des armées. Vous pourrez voir ou revoir « Hold-up ! », lire ou relire « Le jour d’après », consulter mes publications depuis le 31 janvier 2021, et mettre le tout en perspective avec les évènements qui ont suivi et ceux auxquels nous pouvons nous attendre. Ces révisions vous indiqueront, sans ambiguïté, que les injec-tions n’ont pas été créées pour lutter contre une quelconque agression virale. C’est exactement l’inverse : les co.ro.na-virus ont été fabriqués pour ces injec-tions. Ils ont été rendus plus « méchants » par des manipulations géniques, et plus létaux, par l’interdiction de tous les traitements efficaces connus, tout ceci afin de laisser le champ libre aux v.a.x-ins. Le plan de vax.i.na-tion mondiale est préparé depuis longtemps et nous sommes en mesure de comprendre que les états-majors militaires le connaissent parfaitement. La pharmacie des armées avait bien anticipé cette politique sanitaire du « tout-v.a.ccin » en se faisant livrer, en avril 2020, « un achat de précaution » de 70 kg de chloroquine. Tout ceci est clairement détaillé dans les publications compilées dans ce blog.
Non, un appel aux armées et aux forces de l’ordre pour mettre un terme aux aberrations sanitaires ambiantes n’est pas vain car un grand nombre de leurs responsables connaissent le véritable ennemi : les v.a.xin.s. Un retour à une normalité antérieure n’est cependant pas à projeter car il n’est pas raisonnable d’imaginer que les conditions qui ont mené au chaos actuel puissent être renouvelées de façon pérenne. Il s’agira plutôt d’installer un nouveau paradigme sur les décombres de l’ancien.
En France, les deux mois à venir, janvier et février 2022, se présentent comme les plus cruciaux de toute l’Histoire du pays. Tout dépendra des décisions des parents d’épargner, ou non, leurs enfants et adolescents, de la résistance des pompiers et des personnels soignants, et pour une très large part des choix des 30 à 40 % de ceux qui ont cédé au chant des sirènes des deux premières doses. Refus d’in.ject.ions, blocages d’activités et de routes, désobéissance civile, boycottes, le tout dans un climat de NON-VIOLENCE, voilà les clés de la conquête de la vraie liberté. Et n’oubliez jamais que les pires périodes de l’Histoire, dans tous les pays du monde, sont précisément celles qui ont été amenées par les pires dirigeants. Et par-dessus tout, il ne faudra pas oublier que, jusqu’à nouvel ordre, les forces armées de France et d’ailleurs, sont sous la tutelle de leur gouvernement et que la forme de désobéissance préconisée ici, n’est pas un droit. C’est ce qu’on appelle un coup d’État militaire, ou putsch. II entraînera systématiquement une dictature pouvant être plus ou moins longue. Personnellement, à la place des actions sans fin des vac.ci.nologues avec leurs unités de vaccination armées de seringues, je fais le choix de celles, pacifiques, de nos militaires avec leurs patrouilles de proximité et leurs interventions d’apaisement. Dans une opération pleinement réussie, aucun coup de feu ne devrait être tiré. Les seules violences incontournables seront celles infligées aux coupables dans le cadre des assignations à résidence surveillée. Je parle bien de culpabilité et non pas seulement de responsabilité, mot inapproprié. La stratégie la plus probable à suivre par les chefs militaires me semble assez facile à décrire : dans un premier temps, ils attendront les ordres gouvernementaux pour intervenir dans la campagne de vax.i.na-tion forcée. Il s’agira alors de déployer les forces un peu partout sur le territoire, peut-être même d’activer les lois martiales, voire de décréter l’état de siège. Il ne faudra pas interpréter ce déploiement comme autre chose que la préparation à réagir au refus manifesté par les peuples. Ce sera alors le moment de s’aligner sur leur cause. Il n’y aura donc pas de raison de céder à la panique une fois bien comprise la nécessité de ces grandes perturbations passagères. Une autre manœuvre, tout aussi probable, serait une intervention directe et plus précoce. Il existe d’autres scénarios possibles, plus modérés ou, au contraire, plus douloureux : cela dépendra de nous. L’intervention d’êtres venus d’ailleurs est à prévoir. Quels que soient les évènements à venir, il suffira de résister pacifiquement selon les principes énoncés plus haut et dans mon message du 22 novembre 2021. Les forces armées existent pour être au service des peuples contre l’ennemi, quel qu’il soit, y compris lorsqu’il est incarné par le gouvernement censé les commander. Je ne sais pas ce que dit la Constitution au sujet de l’attitude à tenir face à une hiérarchie surprise en flagrance de folie ou de trahison, mais je crois savoir qu’il y a des textes qui traitent de ces situations particulières. Quant aux gardiens de la Paix, ils sont formés pour garantir la sécurité de chacun face aux débordements d’ordre civique et ils trouveront donc facilement leur place dans cette tourmente.
Je vous avais prévenus d’entrée de jeu que cette publication serait un message d’espoir. J’ai fait de mon mieux pour qu’il le soit soit et réponde à vos attentes. GUY FAURE
APPEL AUX CONSCIENCES (22 novembre 2021)
