SAUT QUANTIQUE DE LA TERRE ET CHANGEMENTS CLIMATIQUES
La perspective de la 25e Conférence of the Parties, ou COP 26 (celle de 2020 a été annulée pour cause de pandémie) qui se déroulera à Glasgow entre les 1er et 12 novembre prochains m’a réveillé et incité à ressortir une étude que j’avais rédigée juste avant la vingt et unième et que je n’avais d’ailleurs communiquée qu’à un nombre très restreint de personnes. Pour cette nouvelle version je me suis très largement inspiré de ce travail initial en le mettant simplement à jour. La COP 21 a été la plus mémorable, surtout pour les Français, car elle se déroulait à Paris, fin 2015, sous la présidence de Laurent Fabius, devenu depuis Président du Conseil constitutionnel. Je dois vous avertir que les conclusions auxquelles j’étais arrivé sont d’autant plus déroutantes qu’elles vont à l’encontre du consensus scientifique. Le propos majeur de cette publication est en effet de revenir sur une croyance, solidement ancrée dans l’opinion, concernant les fondements des changements climatiques. Il n’y a pas, en réalité, de gaz à effet de serre (GES) dans la genèse du réchauffement de la Terre. Comme pour tous les remaniements climatiques du passé, récents ou lointains, les facteurs sont naturels et les agitations humaines n’y sont pour rien, ou alors pour une part infime. Voici sans plus tarder de quoi il retourne.
En premier lieu, et puisqu’il est question de réchauffement, synonyme de hausse de température, il est indispensable de savoir exactement ce que celle-ci évalue, ce que ce terme recouvre précisément, sans quoi il ne vous serait pas possible de suivre le cours de mes explications. Ce préliminaire pourrait sembler inutile tant cette notion est simple et commune. Toutefois, à la question : Qu’ est-ce que la température ? Qui peut répondre avec clarté et exactitude ? À franchement parler, pas grand monde hormis les scientifiques. En fait, la température mesure le mouvement des atomes ou des molécules au sein d’un solide, d’un liquide ou d’un gaz et, de manière plus générale, l’agitation dans toute entité physique. Quand on parle de réchauffement planétaire, on relève tout simplement une intensification de l’activité de toutes les molécules et de tous les atomes qui composent notre planète et son atmosphère. C’est le même processus qui se produit lorsque la température du corps s’élève et se transforme, ou non, en fièvre. Dans ce cas, nous avons une réactivité de notre organisme qui se met en route dans le but de se défendre contre un dérèglement, comme l’apparition de virus. Selon la théorie qui nous est pour l’heure infligée, sans alternative possible, ce phénomène est provoqué par des gaz qui surchargent l’atmosphère terrestre et engendrent une amplification de l’effet de serre à la surface de la Terre. Propulsée au rang de doctrine universelle, c’est cette théorie qui est désormais exclusivement privilégiée depuis le rapport du Groupe Intergouvernemental des Experts en Climatologie (GIEC) paru en 2000-2001. Certains des « experts » qui l‘ont développée et exaltée y adhèrent en toute bonne foi, mais ils ont misé sur le mauvais cheval : le réchauffement observé dérive directement de l’accélération des mouvements des électrons au sein même de chaque atome, suivant pour cela un mécanisme dont je vais m’efforcer de vous donner un aperçu, le plus simplement possible.
Notre Système solaire se promène actuellement, et ce depuis plusieurs années, dans un champ énergétique majoritairement constitué de photons. Cette énergie imprègne chaque atome et se transmet à eux. Ce sont les électrons qui en sont les bénéficiaires. Leurs vitesses de rotation autour du noyau et de leur axe (le spin des physiciens), s‘intensifient. Ces modifications cinétiques ont pour répercussion, au niveau sensible, l’amplification de la chaleur émise. C’est cela que l’on évalue, au final, sur nos thermomètres. C’est l’élévation du niveau d’énergie de chaque atome qui est le moteur du réchauffement climatique et non l’augmentation du taux de certaines molécules dans l’atmosphère terrestre. Il est capital de comprendre que la mutation de l’état quantique des atomes est cumulative et irréversible. Cette transformation est cumulative parce que ses effets s’additionnent au cours du temps (comme pour les rayons X dans notre corps) : ce qu’il se passe à un instant (t +1) s’ajoute à ce qu’il s’est passé à l’instant (t), et ainsi de suite. Il en résulte que le processus du réchauffement va en s‘accélérant, dans un cheminement vaguement exponentiel. Mathématiquement, ce terme décrit un comportement qui se différencie d’un accroissement dit linéaire, plus lent et régulier, comme le décrivent quasiment les modèles version GES. Il est vrai que certains experts en climatologie ont maintenant intégré cette accélération mais ils restent malgré tout bien loin de la réalité. Les rapports qui ont suivi celui de 2001 ont bien sûr confirmé les conclusions des précédents et nous attendrons les prochains pour voir sur quelles nouvelles fictions les scientifiques du GIEC, seuls spécialistes autorisés à s’exprimer sur ce sujet, vont s’appuyer pour justifier leur doctrine. D’autre part, le processus est irréversible parce que, lorsque le Système solaire sortira de ce champ d‘énergie, le résultat persistera, les atomes étant alors stabilisés dans un nouvel état quantique. Si vous êtes curieux et investigateur, vous ne manquerez pas d’aller vous informer et vous constaterez que le mécanisme de réchauffement est passé à la vitesse supérieure depuis 2013. Je parle bien sûr ici des moyennes mondiales et non pas seulement françaises.
Voilà ce que j’avais à vous transmettre sur ce problème. Des renseignements complémentaires plus techniques pourront vous être fournis par les hauts responsables de la NASA qui sont plus ou moins contraints de garder le silence jusqu’au grand déballage à venir, le saut quantique de la Terre n’étant pas encore à l’ordre du jour. Tout ce que je peux dire, c’est que ce champ d’énergie émane de la constellation des Pléiades et se trouve donc hors du Zodiaque. Les cycles de Milankovitch et solaires ne sont pas plus impliqués. On se trouve dans une situation similaire à celle que nous avons connue il y a quelques siècles lorsque l’obscurantisme de l’Église catholique dictait au soleil de graviter autour de notre planète. La divergence avec aujourd’hui est que cette représentation de l’univers ne faisait courir aucun risque capital à l’humanité pour sa survie. Bien sûr, l’attiédissement du climat mondial entraîne toutes les autres altérations climatiques, et ces retombées sur les paramètres météorologiques étant largement étudiées par les experts du GIEC, il est superflu que je m’y appesantisse.
La montée des moyennes de la température est donc concomitante de la position du Système solaire dans notre galaxie. On pourrait trouver bien d’autres incidences. Entre autres choses, les scientifiques vont bientôt constater, si ce n’est déjà fait, des fluctuations dans la durée de vie de certaines particules élémentaires et dans la période de certains éléments radioactifs, sans trop pouvoir interpréter ce qu’il se passe. C’est en définitive toute la matière qui est en mutation, avec des impacts considérables et imprévisibles dans les sphères auxquelles cette matière sert de support : la vie, la pensée, les affects. C’est ici que réside le facteur primordial de l’exacerbation, depuis quelques décennies, de tous les comportements humains dans ce qu’ils ont de pire, mais aussi de meilleur. Quoique ce meilleur soit pour le moment largement surclassé par le pire, c’est dans cette quintessence que notre imagination devra puiser pour trouver les adaptations cruciales à l’ensemble des variations climatiques, et non dans des recherches de productivité et de croissance à tout prix, même lorsque celles-ci incluent des motivations dites “respectueuses de l’environnement”.
L’épilogue de tout cela coule de source : les résolutions incertaines dans le but de contenir ces modifications de températures seront totalement inadaptées comme pour les 24 conférences précédentes, mais elles pourraient continuer à nous faire adhérer à l’idée d’une maîtrise du climat. Si de nouveaux accords pouvaient être signés dans la suite des précédentes réunions, les conséquences seraient certainement positives pour l’ensemble de nos émissions polluantes. Ce ne serait déjà pas mal, bien que je ne croie pas du tout à de tels engagements, dans l’état actuel des choses. Quoi qu‘il arrive, et comme je viens de vous l‘expliquer, il n’y aura pas d’incidence sur le contrôle du réchauffement planétaire et encore moins sur l’ensemble des mutations climatiques. Celles-ci étant inévitables car naturelles, seule l’adaptation doit prévaloir.
L’objectif déclaré de ces conférences aussi inutiles que dispendieuses est de ne pas dépasser 2 degrés d’augmentation par rapport à l’ère préindustrielle (avant 1850). Certains vont même jusqu’à proposer la limite de 1,5 °C, alors que nous y sommes presque. Vous pourrez vérifier que tout cela ne peut pas être pris au sérieux en vous penchant sur les données fournies par les organismes “compétents”, tout en prenant garde, pour les résultats consultés, à bien considérer la période de référence à laquelle les moyennes sont comparées. Par exemple, pour l’année 2016, la moyenne présente une anomalie de +0,64 °C par rapport à la période 1981-2010 (les 30 années de référence pour l’estimation des normales de saison) tandis que cette anomalie est de +1,28 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Dans les prévisions et les analyses, il faut vérifier si c’est bien cette référence qui est prise en compte. En d’autres termes, je tiens à vous prévenir de l’argumentation des spécialistes, prix Nobel ou non, qui n’hésitent pas à « moduler » les données brutes pour les faire entrer dans leurs théories, ou leurs intérêts, tout comme les astronomes du passé inventaient des mouvements planétaires pour expliquer la révolution du soleil autour de la Terre. À chaque époque, ses égarements et ses rectifications éventuelles. Pour vous faire une idée de l’ampleur des mensonges consciemment formulés, je vous renvoie à la vieille affaire de la “crosse de hockey” du rapport de 2000-2001, et à la courbe présentée par Al Gore dans le film sorti en 2006 “Une vérité qui dérange” (à ne pas confondre avec le film français ”La vérité si je mens”).
Pour terminer, je voudrais mettre en relief la position des dirigeants du monde entier. Ils se moquent complètement de l’état de la planète, comme de votre santé d’ailleurs, et ils ont de plus en plus de mal à nous faire croire le contraire. Ils s’en foutent en dehors des périodes électorales, car ils savent très bien qu’ils n’ont aucun pouvoir décisionnel sur ces sujets, lesquels appartiennent à d’autres, financiers par exemple. Ils se sentent d’autant moins concernés qu’ils imaginent l’existence d’un plan B pour eux et leur proche. Et c’est bien là leur erreur capitale. Ils auront en effet, tôt ou tard, à répondre de leurs agissements.